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  • Confitures avec Atout Fruit

    atout fruitMercredi 16 novembre, l’association Atout Fruit propose un atelier confiture de mûres de 9 h à 12 h 30 sur les hauts de Canterate, commune de Montbel. Inscriptions auprès de Christine au 06 56 80 23 66.

    Le vendredi 25 novembre, un atelier confiture de « gratte-cul » sera animé aux Jardins de la Haute Vallée à Couiza, de 8 h 30 à 17 h. Inscriptions auprès de Brigitte au 07 85 85 27 52.     

  • C’était hier : C’était un vendredi 13

    t2l chimie

    Le stock de résines synthétiques est parti en fumée

    Photos archives, novembre 1987

    C’était en novembre 1987 et c’était un vendredi 13 à 13 h, une épaisse colonne de fumée s’échappait du site industriel installé au pied de la colline du Calvaire. Malgré l’intervention immédiate des sapeurs-pompiers de la caserne Jean-Cabanier, le sinistre aussi soudain que dévastateur allait rayer du paysage en moins de quatre-vingt-dix minutes, une unité de pointe implantée en Kercorb, dix ans auparavant. La nuit tombera sur une vision de ruines et de désolation, il ne reste alors plus rien de T2L Chimie.

    Paul Diatchenko, Patrick Privat et Didier Arnou rassembleront leur énergie et l’entité au sigle mystérieux renaîtra de ses cendres un mois et demi plus tard, sur la plaine de Quillan. La suite est une autre histoire mais en ce vendredi 13 novembre 1987, le champignon noirâtre visible depuis les contreforts de la Montagne noire avait fait craindre une catastrophe écologique. Inquiétudes vite dissipées puisque le seuil de dilution des fumées toxiques ne fut ce jour-là jamais critique. Seul en définitive, le poumon industriel du Kercorb allait souffrir des retombées de ce nuage chimique.

    t2l chimie

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  • Un oiseau chante à nouveau sur la colline du Calvaire

    chapelle du calvaire chalabre

    Une œuvre d’Alain Poincheval sur les hauts de Chalabre

    Photo Novembre 2022  

    C’était au mois de septembre 2018, lors des Journées européennes du patrimoine, la chapelle du Calvaire avait successivement accueilli Martine Rouche pour une conférence sur le peintre François Vidalat, la violoniste Consuelo Lepauw pour un superbe récital autour des sonates de Jean-Sébastien Bach, avant que l’assemblée ne se déplace jusqu’au belvédère, où était dévoilée une oeuvre d’Alain Poincheval, conjointement réalisée avec le concours de Christophe Dechaine-Vallade.

    Mais en juin 2021, il fallait se rendre à l’évidence, la belle symbolique d’une colombe prenant son envol avait perdu de son élégance, l’oiseau blanc coupé dans son élan venait d’être délibérément dégradé. Un peu moins d’une année après ce triste constat et en ce mois de novembre 2022,  l’oeuvre pétrie d’indulgence est revenue se poser et s’exposer aux quatre vents de la colline du Calvaire.

    chapelle du calvaire chalabre

    Photo archives, 16 septembre 2018

    chapelle du calvaire chalabre

    Photo archives, 16 septembre 2018

    chapelle du calvaire chalabre

    Photo archives, 16 septembre 2018

    chapelle du calvaire chalabre

    Photo archives, 17 novembre 2016

  • C'était hier : « Un nom, une vie », un projet sur les traces des Poilus

    L’article mis en ligne avait paru dans l’Indépendant, édition du lundi 12 novembre 2007.

    collège antoine-pons,hélène cortèsAux côtés de Yannick Callat (principal) et d'Hélène Cortès (professeur), les élèves du collège Antoine-Pons se sont recueillis sur les tombes du carré militaire (Photo archives, Novembre 2007).

    Dans le cadre d’un projet pédagogique initié par Hélène Cortès, professeur d’histoire et géographie, intitulé « Un nom, une vie », les élèves du collège Antoine-Pons ont entrepris un travail de mémoire sur les Chalabrois tombés au front lors du premier conflit mondial. L’objectif de ce travail interdisciplinaire est de rendre une vie aux nombreux noms gravés    sur le monument aux Morts réalisé en 1923 par le sculpteur Jean Magrou.

    Les élèves ont ainsi été amenés à répondre à nombre de questions qui leur permettront de savoir par exemple qui était Antoine Sérié, mort dans la Somme, le 4 septembre 1916 à l’âge de 28 ans ? Quelle était sa situation familiale lorsqu’il a été appelé au front ? Quel était son travail ?

    Et si c’était un aïeul ?     Certains élèves dont la famille réside depuis plusieurs générations dans le canton, ont choisi des hommes portant leur patronyme, peut-être retraceront-ils ainsi une page familiale oubliée. D’autres élèves ont été attirés par un prénom, ou encore la consonance d’un nom. A l’issue de ces recherches, le nom sera associé à un visage afin de perpétuer chez les élèves le souvenir des sacrifices consentis aux côtés de leurs milliers de compagnons d’infortune, par les Poilus de la cité chalabroise.

    collège antoine-pons,hélène cortès

    Août 1934