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  • C'était hier : Les services du bureau de poste du Pont-Neuf révisent leurs gammes

    L'article mis en ligne avait été publié dans l'Indépendant, édition du dimanche 7 juin 2009.

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    Roland Fourcassa et le bureau du Pont-Neuf se sont mis au diapason

    Photo archives, Mai 2009

    Depuis plusieurs semaines, les usagers de la Poste amenés à pousser la porte du bureau du Pont-Neuf effectuent leurs opérations dans un espace où partition et métronome donnent la mesure. Grâce au prêt effectué par la société spécialisée « Luthès-Paris », dont les ateliers se trouvent dans l’ancienne gare de Chalabre, le public peut admirer de magnifiques instruments de musique, exposés jusqu’à la fin du mois de juillet.

    Remis au niveau de tous les standards de qualité attendue par la clientèle, le bureau récemment rénové renvoie vers un univers musical où se côtoient violons, altos, violoncelles et contrebasse. Eléments de base du quatuor, ces instruments à cordes importés de Chine sont réalisés en matériau de qualité et présentent une finition irréprochable. La poste de Chalabre partenaire de cette exposition de qualité invite la population à venir découvrir de véritables oeuvres d’art, et effectuer ainsi un voyage virtuel vers Crémone, berceau de Antonio Stradivari et Andrea Guarneri, maîtres luthiers.

    Dans la perspective d’une fête de la musique annoncée, Roland Fourcassa s’est spontanément converti en « conseiller es quatuor », accueillant et informant avec la gentillesse et la compétence qui le caractérisent une moyenne quotidienne de 150 usagers.

  • « Ils étaient nos enfants »

    Un poème de JIEL, à découvrir, 80 ans après le débarquement sur les plages de Normandie. 

    jielIls étaient nos enfants

    En ce jour noir de juin choisi par le destin
    Une aurore vermeille écrivit l’Histoire.
    Jeunes hommes perdus au sentier de la gloire
    Dans le feu dévorés en ultime festin.
    Déjà quatre-vingts ans, ils n’avaient que vingt ans.

    Ils connurent l’enfer dans ce petit matin,
    Plages de sable fin pour cibles expiatoires,
    Avenirs sacrifiés offerts pour la victoire.
    Sans n’avoir rien vécu, leur flambeau s’est éteint.
    Déjà quatre-vingts ans, ils n’avaient que vingt ans.

    Unis, tels les alliés dans les mêmes prières,
    Les croix, les étoiles et les croissants de lunes
    Ne faisaient qu’un dans le ciel au dessus des dunes,
    Allégeant le fardeau des âmes en colère.
    Déjà quatre-vingts ans, ils n’avaient que vingt ans.

    Le cœur brisé par tant d’horreur et de souffrance,
    Au soir d’un jour sans fin dans leur vie de fierté,
    Héros venus d’ailleurs sauver la liberté
    Par leur sang répandu sur la terre de France.
    Déjà quatre-vingts ans, ils étaient nos enfants.

    JIEL

  • C'était hier : les communiants de la Pentecôte

    L'article mis en ligne avait paru dans l'Indépendant, édition du lundi 6 juin 1994.

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    Les communiants au pied de l'autel

    Photo archives, Juin 1994

    Les jardins de l'église Saint-Pierre offraient ce dimanche un superbe cadre à une très traditionnelle cérémonie, au cours de laquelle nombre d'enfants chalabrois ont accompli leur communion solennelle.

    La messe célébrée par l'abbé Omar Rincòn est venue mettre en lumière la démarche des jeunes communiants, et la grande émotion qui régnait sous la nef de Saint-Pierre a démontré la place prépondérante qu'occupe cette célébration dans la religion catholique.

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