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C'était hier - Page 136

  • C'était hier : Les Foulées du Kercorb à Paris

    L’article mis en ligne avait été publié dans l’Indépendant, édition du dimanche 6 avril 2003.

    foulées du kercorbLes coureurs de fond en partance pour la capitale (Photo archives, Mars 2003).

    En ce dimanche 6 avril, les coureurs du club des Foulées du Kercorb battront le pavé des Champs-Elysées, au départ du 27e marathon international de Paris. Attentifs aux ordres du starter qui à 9 heures précises devrait libérer près de 33 000 concurrents, les représentants de la capitale du Kercorb prendront un premier virage place de la Concorde, direction La Bastille, les Tuileries et le Bois de Vincennes. Ils essaieront alors de porter les couleurs chalabroises aussi rapidement que possible, jusqu’au Bois de Boulogne et l’avenue Foch où sera jugée l’arrivée. Si tout se déroule comme prévu, les 42,195 km au programme devraient être négociés sans trop de dommages, résultat de deux long mois d’une vie quasi monacale.

    Honneur au plus ancien, Jean-Pierre Silvestre sera le capitaine de route d’un trio complété par Francis Amouroux et Christian Moralès, auquel se joindront Joëlle Conan et Daniel Solis, Chalabrois de coeur. A l’évidence le sablier a prévu de s’en donner à cœur joie, mais l’équipe des supporters ne sera pas en reste, elle sera présente tout au long du circuit afin d’assurer vivres et encouragements à nos fondeurs. Détenteurs du trophée de la Course Internationale à la Brouette, Francis Amouroux et son co-pilote savent que l’expérience acquise sur les pentes surchauffées du Cazal ne suffira peut-être pas, mais une chose est certaine, ils s’attaqueront ce matin à un nouveau challenge, animés par le même « fighting spirit ».              

  • C’était hier : « Viendra, viendra pas ? »

    L’écho mis en ligne avait été publié dans l’Indépendant, édition du samedi 4 avril 1998.

    badaluc

    Malgré des mesures renforcées, la lignée des Badaluc survivra-t-elle à cette fin de siècle ?

    Photo archives, Mars 1994

    Badaluc XXXe du nom, prince de l’éphémère et héritier d’une prestigieuse lignée honorera-t-il cette année encore notre accueillante cité chalabroise ? Ou bien gardera-t-il en mémoire cette cruelle mésaventure survenue en 1993, quand son illustre ancêtre, avait été victime au petit matin de juges noctambules très expéditifs ? Un forfait sans précédent d’ailleurs non élucidé à ce jour, et qui avait plongé les carnavaliers du Chalabrais dans le désarroi le plus complet.

    Depuis lors et afin de préserver l’intégrité d’un invité illustre, les sociétaires de l’OPVC se voient contraints d’utiliser les grands moyens, au risque de se mettre hors-la-loi, comme l’indique ce cliché d’archives. « Viendra, viendra pas ? », Certes Badaluc est bon prince et n’a pas la rancune tenace mais un flou insupportable est tout de même en train d’envelopper la capitale du Kercorb.  

  • C'était hier : Carnaval : Effet de manche fatal pour Badaluc XXXV

    L'article mis en ligne avait paru dans l'Indépendant, édition du jeudi 3 avril 2003.

    badaluc chalabre

    Aladin et sa lampe n'ont rien pu faire pour Badaluc

    Photo archives, Mars 2003

    La nouvelle en a surpris plus d'un, sa majesté Badaluc le XXXVe a péri dans les flammes de l'enfer, dimanche peu avant le coucher de soleil. Que dire de plus sinon que rien ne laissait présager cette issue fatale pour celui qui, la veille, avait conquis la confiance des gens du Kercorb.

    Bâti comme un chêne, ce digne descendant de Saint-Louis avait non seulement la prestance de Salomon mais aussi le bagout du célèbre juge Roy Bean, représentant de la loi à l'ouest du Fécos. Ainsi, depuis le hameau du Tatauba jusqu'à la Borde des Défabaïres, tous étaient venus pour réserver un accueil triomphal à Badaluc. Mais ce dernier, chargé expressément de traquer les « cerca rambalh » qui fourmillent sur les cours chalabrois, a tout au contraire filé la parfaite entente avec les musiciens de l'OPVC.

    Un agissement coupable au demeurant très compréhensible, au regard de la maestria avec laquelle ces virtuoses de la croche et du contre-ut auront animé les artères chalabroises, constellées de superbes masques. Enivré par ce tourbillon carnavalesque, ce qui devait arriver arriva, Badaluc tombait sur une patrouille, en l'occurrence un quintet de bric et de broc en robe rouge et noire. Il n'en fallait pas plus à Mestre Doulentizo pour faire envoyer ad patres sa sérénissime seigneurie, malgré la brillante intervention de la défense, en la personne de Mestre Refresco Barrals. Trahi par ses pairs et emporté par de divines volutes de fumée, Badaluc XXXV trône désormais aux côtés des siens, même pas en colère.

  • C’était hier : Anciens combattants médaillés lors du 19 mars

    L’article mis en ligne avait été publié dans l’Indépendant, édition du lundi 31 mars 2003.

    comité cantonal fnacaYves Bachère, Pierre Calvet, Yves Olive, Bernard Noble et Aristide Peyronnie, au pied du monument qui rappelle le souvenir de Jean Courtade, Paul Hernandez et Jean Roussel, camarades tombés au combat (Photo archives, Mars 2003).

    La cérémonie annuelle commémorée à l’occasion du cessez-le-feu en Algérie a permis à plusieurs anciens-combattant du comité cantonal de la Fnaca d’être mis à l’honneur. Yves Bachère, Pierre Calvet et Yves Olive se sont vus remettre la médaille du combattant, Aristide Peyronnie a reçu la médaille du titre de reconnaissance de la nation, Bernard Noble la médaille du porte-drapeau. Toutes nos félicitations aux récipiendaires.