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C'était hier - Page 15

  • C'était hier : Les Badalucs en assemblée générale

    L'article mis en ligne avait paru dans l'Indépendant, édition du mercredi 18 mars 2009

    badalucs xv

    Les Badalucs cultivent amour du beau jeu et fair-play

    Photo archives, Juillet 2007

    Dimanche 22 Mars à 11 h 30 aura lieu au théâtre municipal l’assemblée générale de l’association des Badalucs, rugbymen frappés par la limite d’âge mais néanmoins brillants prédécesseurs du quinze de l’U.S.C Kercorb XV. Sous l’impulsion de Titou, jeune vétéran retiré des prés, l'association a pour objectif de remettre à jour une liste d'amoureux du rugby, regroupant vétérans, anciens dirigeants, supporters fidèles, en bref toute personne se sentant des atomes crochus avec le ballon ovale. Tout ce beau monde se retrouverait au moins une fois l’an, autour du cuir, et afin de disputer le Bouclier Raymond Fort à l'occasion des grandes fêtes du Cazal.

    Pour l’heure, les Badalucs sont invités à se retrouver le dimanche 22 mars prochain, ils fêteront par la même occasion l’arrivée du printemps autour d’un repas mode créole et ouvert à tous, participation 10 € par personne (apéritif et repas). Les inscriptions se font par téléphone auprès de Thierry Cnocquart (06 74 94 75 46) ou José Sanchez (04 68 69 24 16). Au menu, apéritif  « punch badalucien », salade et boudin antillais, rougail de saucisses, salade de fruits. Les organisateurs certifient que le repas sera terminé à 14h 45 afin que chacun puisse rejoindre le stade Lolo Mazon pour la dernière sortie à domicile de l’USCK, face à Villenouvelle.

  • C'était hier : Escapade marseillaise

    L'article mis en ligne avait été publié dans l'Indépendant, édition du vendredi 18 mars 1994.

    1994 Mars Manif à Marseille Eglise des Réformés en haut de la Canebière 002.jpg

    La Haute-Vallée descend sur la Canebière

    Photos archives, Mars 1994

    A l'appel du mouvement syndical de la Haute-Vallée de l'Aude, un convoi d'autocars a pris samedi matin de très bonne heure, la direction des Bouches-du-Rhône via Narbonne, où un buffet campagnard dressé à la gare SNCF a rassasié les participants de cette journée placée sous le signe de la revendication. Rassemblés par les mêmes motivations, les Chalabrois se sont joints aux représentants des entreprises Formica, T2L Chimie, Pyrénéenne de charges minérales, Equipement, La Chausseria, Myrys, Garros, lesquels ont rejoint le cortège autour de la célèbre porte d'Aix à Marseille aux environs de 15 heures.

    1994 Mars Manif à Marseille Eglise des Réformés en haut de la Canebière  001.jpg

    Sous un ciel clément et dans une ambiance bon enfant, la Haute-Vallée a pu défiler et apprécier dans le même temps, les deux magnifiques flèches de l'église des Réformés, la descente vers le Vieux Port, pour terminer au pied du superbe Neptune, galion du film Pirates de Roman Polansky, amarré non loin du « Bar de la Marine ». Au-delà du caractère particulier de cette journée, lutte syndicale et tourisme ont fait bon ménage le samedi 12 mars sur la Canebière.

  • C'était hier : Deux minutes de trop pour les footballeurs

    L'article mis en ligne avait paru dans l'Indépendant, édition du mercredi 17 mars 1999.

    fc chalabre football

    Les Poussins eux, ont dû aller jusqu'à la séance des penalties

    De gauche à droite, debout, Philippe Gérard, Florian Guilhemat, Davy Dumay, Quentin Seyve, Cyril Gérard, Thomas Iles, Hugo Roussel, Alain Guilhemat. Accroupis, Frédéric Noy, Elie Franot, Shane Bailey, Alexandre Barrière, Benjamin Courthez, Pierre-Quentin Lanes, Michel Dufour.

    Photo archives, Février 1999

    Engagé dimanche en quart de finale de la coupe Georges-Favre, le team fanion du Kercorb défendait ses chances de qualification sur la pelouse de Cazilhac. Classées en bas de tableau de la PH avec le même nombre de points, les deux formations qui misaient sur la coupe pour sauver leur saison ont disputé une rencontre serrée et indécise. Une rencontre qui laissera beaucoup de regrets dans le camp chalabrois puisqu'à la fin du temps réglementaire, le FCC était qualifié grâce à un but de Christophe Robin inscrit à la 77e mn.

    Alors que le staff chalabrois surveillait le sifflet de Robert Nézereau l'homme en noir, Cazilhac va marquer le but égalisateur (92') envoyant du même coup les 22 joueurs aux prolongations. Ces dernières seront fatales au FCC qui s'inclinera finalement sur le score de 3 à 1, laissant ainsi échapper un billet pour les demi-finales qui lui semblait promis.

    Les jeunes en coupe     Samedi, l'école de football chalabroise était engagée en coupe de l'Aude et sur trois fronts. En déplacement à Saissac, les Poussins de Philippe et Alain ont fait jeu égal avec les locaux (0-0) avant de s'incliner lors de la cruelle séance des penalties. Les Minimes de Raymond et Jean-Philippe se déplaçaient à Bram où ils rencontraient l'Entente Bram-Villepinte. Après un but de Aloïs Croison et un pénalty manqué par Fabien Conte, l'effectif chalabrois subira la loi des locaux pour s'incliner sur la marque de 2 à 1. En déplacement également, les Benjamins de Roger et Christian se rendaient à Castelnaudary où ils étaient opposés à leurs homologues du COC. Volontaires en diable, les partenaires du capitaine Lionel Martinez n'ont jamais cédé au découragement, malgré un penalty manqué et un but encaissé dès la reprise de la seconde période. Solidaires et enfin collectifs, les petits Chalabrois vont inverser le cours du match dans les dix dernières minutes grâce à deux superbes mouvements conclus par Aurélien Barrière d'abord, Anthony Rosich ensuite. Malgré un forcing désespéré des Cocistes, l'arbitre Zacary Abdelmoumen siffle la fin de la rencontre et les Benjamins du FCC décrochent une place en demi-finale de la coupe de l'Aude.

  • C'était hier : C'est la réconciliation avec les « taggers », et Fluris reviendra

    L'article mis en ligne avait été publié dans l'Indépendant, édition du mardi 16 mars 1999.

    fluris

    Eclipsé l'espace d'une enquête, le fantôme de Fluris réapparaîtra en décembre prochain

    Photo archives, Décembre 1997

    Descendus dans la rue le 12 décembre dernier, les Chalabrois avaient bruyamment commémoré l'anniversaire de la mort du sieur Jacques Fleury, collecteur d'impôts expédié « ad patres » en 1697, au hasard d'une nuit froide et obscure. 301 ans après, par une nuit assez froide et aussi obscure, le traditionnel charivari était à son tour victime d'un coup bas, porté par une poignée de « sauvageons » en herbe furieusement habités par le dada du tag. Tristesse et désolation au lendemain de Fluris, volets, piliers, façades, rien n'avait été épargné par des « taggers » plutôt en panne d'inspiration, le mal pourtant était fait. Les voix des détracteurs s'élevaient aussitôt dans le ciel du Kercorb où s'amoncelaient de gros nuages noirs susceptibles d'anéantir une coutume tricentenaire. La mort dans l'âme, le tonitruant et pacifique cortège des « arrossegaïres » cédait la place à l'enquête menée par la brigade de gendarmerie chalabroise.

    D'interpellations en dépositions, la boucle allait être rapidement bouclée, et les artistes cernés. Invités à se présenter le mercredi 10 mars à 14 heures dans les locaux de la mairie, les « taggers » ont été accueillis par Jacques Montagné, maire de Chalabre désireux de s'entretenir avec les maîtres de la bombe aérosol. Amende ou punition, il fallait trouver une médiation pénale et c'est ainsi que les 17 adeptes du barbouillis mural ont unanimement choisi de laisser le tag pour le TIG. Travaux d'intérêt général effectués dans l'après-midi même et qui ont donné aux repentis, l'opportunité de se réconcilier avec les plaignants et peut-être aussi avec la mémoire de Fluris. Et puisque tous ont décidé de passer l'éponge, rendez-vous le samedi 11 décembre prochain, il faudra faire du bruit, beaucoup de bruit, mais rien que du bruit.

    fluris

    Inauguration de la stèle Fluris, Décembre 1997