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C'était hier - Page 203

  • C’était hier : « Viendra, viendra pas ? »

    L’écho mis en ligne avait été publié dans l’Indépendant, édition du samedi 4 avril 1998.

    badaluc

    Malgré des mesures renforcées, la lignée des Badaluc survivra-t-elle à cette fin de siècle ?

    Photo archives, Mars 1994

    Badaluc XXXe du nom, prince de l’éphémère et héritier d’une prestigieuse lignée honorera-t-il cette année encore notre accueillante cité chalabroise ? Ou bien gardera-t-il en mémoire cette cruelle mésaventure survenue en 1993, quand son illustre ancêtre, avait été victime au petit matin de juges noctambules très expéditifs ? Un forfait sans précédent d’ailleurs non élucidé à ce jour, et qui avait plongé les carnavaliers du Chalabrais dans le désarroi le plus complet.

    Depuis lors et afin de préserver l’intégrité d’un invité illustre, les sociétaires de l’OPVC se voient contraints d’utiliser les grands moyens, au risque de se mettre hors-la-loi, comme l’indique ce cliché d’archives. « Viendra, viendra pas ? », Certes Badaluc est bon prince et n’a pas la rancune tenace mais un flou insupportable est tout de même en train d’envelopper la capitale du Kercorb.  

  • C'était hier : Carnaval : Effet de manche fatal pour Badaluc XXXV

    L'article mis en ligne avait paru dans l'Indépendant, édition du jeudi 3 avril 2003.

    badaluc chalabre

    Aladin et sa lampe n'ont rien pu faire pour Badaluc

    Photo archives, Mars 2003

    La nouvelle en a surpris plus d'un, sa majesté Badaluc le XXXVe a péri dans les flammes de l'enfer, dimanche peu avant le coucher de soleil. Que dire de plus sinon que rien ne laissait présager cette issue fatale pour celui qui, la veille, avait conquis la confiance des gens du Kercorb.

    Bâti comme un chêne, ce digne descendant de Saint-Louis avait non seulement la prestance de Salomon mais aussi le bagout du célèbre juge Roy Bean, représentant de la loi à l'ouest du Fécos. Ainsi, depuis le hameau du Tatauba jusqu'à la Borde des Défabaïres, tous étaient venus pour réserver un accueil triomphal à Badaluc. Mais ce dernier, chargé expressément de traquer les « cerca rambalh » qui fourmillent sur les cours chalabrois, a tout au contraire filé la parfaite entente avec les musiciens de l'OPVC.

    Un agissement coupable au demeurant très compréhensible, au regard de la maestria avec laquelle ces virtuoses de la croche et du contre-ut auront animé les artères chalabroises, constellées de superbes masques. Enivré par ce tourbillon carnavalesque, ce qui devait arriver arriva, Badaluc tombait sur une patrouille, en l'occurrence un quintet de bric et de broc en robe rouge et noire. Il n'en fallait pas plus à Mestre Doulentizo pour faire envoyer ad patres sa sérénissime seigneurie, malgré la brillante intervention de la défense, en la personne de Mestre Refresco Barrals. Trahi par ses pairs et emporté par de divines volutes de fumée, Badaluc XXXV trône désormais aux côtés des siens, même pas en colère.

  • C’était hier : Anciens combattants médaillés lors du 19 mars

    L’article mis en ligne avait été publié dans l’Indépendant, édition du lundi 31 mars 2003.

    comité cantonal fnacaYves Bachère, Pierre Calvet, Yves Olive, Bernard Noble et Aristide Peyronnie, au pied du monument qui rappelle le souvenir de Jean Courtade, Paul Hernandez et Jean Roussel, camarades tombés au combat (Photo archives, Mars 2003).

    La cérémonie annuelle commémorée à l’occasion du cessez-le-feu en Algérie a permis à plusieurs anciens-combattant du comité cantonal de la Fnaca d’être mis à l’honneur. Yves Bachère, Pierre Calvet et Yves Olive se sont vus remettre la médaille du combattant, Aristide Peyronnie a reçu la médaille du titre de reconnaissance de la nation, Bernard Noble la médaille du porte-drapeau. Toutes nos félicitations aux récipiendaires.

  • C'était hier : Un prêtre rouge sur les boulevards

    L'article mis en ligne avait été publié dans l'Indépendant, édition du jeudi 28 mars 2013.

    bespoked,paul kaye,game of thrones,will compstonPaul Kaye en compagnie de son hôte chalabrois, Will Compston (Photo archives, Mars 2013).

    Pour les spécialistes de fantastique médiéval, la date du dimanche 31 mars va coïncider avec la sortie très attendue de la saison 3 de « Game of Thrones », en français « le Trône de fer ». Pour les néophytes, cette série télévisée se déroule dans un univers chimérique, et décrit les complots et rivalités qui se jouent entre plusieurs familles du Royaume des Sept Couronnes, à la lutte pour s'emparer du Trône de fer. Parmi les personnages de cette saga, le prêtre Thoros de Myr, grand amateur de vin, devenu prêtre rouge, « car le rouge de ses robes dissimule mieux les tâches de vin ».

    Voilà pour l'histoire, quant à la petite histoire, elle se prolonge en Kercorb, où Thoros de Myr, alias Paul Kaye, se trouvait tout dernièrement, afin de se refaire une santé après des mois de tournage éprouvants, en Irlande et en Islande notamment. En villégiature à la « maison carrée », cet acteur d'origine anglaise, a pleinement apprécié une pause au cours de laquelle il aura fait montre de ses qualités artistiques.

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    Invité au n° 8 de la rue du Pont-de-l'Hers, transformé en théâtre de poche l'espace d'un soir, Paul Kaye a rejoint la troupe de fantaisistes en herbe inscrite à l'affiche. Pour une performance inédite et drôle, loin des conspirations qui se trament sur le continent de Westeros. Conquis par les paysages du pays chalabrais, Paul Kaye a assuré qu'il renouerait le contact. A la condition qu'il soit rapidement délivré de ses pouvoirs surnaturels.