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C'était hier - Page 215

  • C’était hier : « Pas assez de femmes au conseil général »

    L’article mis en ligne avait paru dans l’Indépendant, édition du vendredi 15 novembre 2002. Il s’inscrivait dans le cadre des élections cantonales partielles du 17 novembre 2002, qui avaient donné la victoire (1er tour) à Roger Rosich, après la démission le 23 septembre précédent du conseiller général sortant Jacques Montagné.

    nicole lucasLa candidate Nicole Lucas a le soutien du Parti Communiste Français (Photo archives, Octobre 2002).

    Aux côtés des animateurs habituels du collectif électoral de Nicole Lucas, des personnalités très connues ont accepté de parrainer sa candidature. Citons notamment les noms de Jojo Navarro, ancien adjoint au maire de Laroque-d’Olmes, Gilbert Combes, maire de Roullens et président de l’association départementale des élus communistes et républicains, ou encore Henry Garino, secrétaire départemental du PCF, conseiller municipal de Carcassonne. Alain Marcaillou, vice-président du conseil général de l’Aude, et Gilbert Pla, maire et conseiller général de Coursan, se disent « heureux que Nicole défende nos couleurs, et impatients qu’elle vienne renforcer le groupe communiste du conseil général de l’Aude ».

    Christine Sanchez, conseillère régionale, membre du conseil national du PCF invite « les femmes du canton à porter très haut sa candidature : trois femmes au conseil général, ce n’est pas assez… ». Nous avons aussi relevé les soutiens de Maxime Gremetz, député de la Somme, qui souligne : «  A l’heure où la droite s’en prend aux plus pauvres… ta combativité sera nécessaire aux habitants de ton canton, afin de la mettre en échec… ». Georges Hage, député du Nord et doyen de l’Assemblée nationale, « pays » de Nicole Lucas, rappelle qu’elle a passé son enfance dans les corons des mines et que ses parents ont participé ardemment à toutes les luttes des bassins miniers. « De cette enfance… dans des conditions de vie difficiles, Nicole a gardé un grand sens de la solidarité et un dévouement sans limite. Elle a toujours apporté son aide aux plus démunis, elle continue dans le canton… ».        

  • C’était hier : Le FCC cède à Conques

    L’article mis en ligne avait paru dans l’Indépendant, édition du mercredi 14 novembre.

    fc chalabre footballSamedi, Alban Borie et les Poussins avaient montré la voie (Photos archives, novembre 2007).

    En déplacement à Conques pour le compte de la septième journée de championnat de promotion honneur, le FCC I n’a pas réussi la passe de trois et s’incline sur le score de 1 à 2. Logées à la même enseigne, les deux formations à la lutte pour s’extraire de la zone rouge ont livré un duel que les Conquois se sont adjugés grâce à une meilleure maîtrise du milieu de terrain. Un but concédé dès la 7e minute sur corner et un second juste avant la pause obligeront le FCC à courir après un score réduit sur coup franc par Raphaël Morin à l’entrée du dernier quart d’heure. Coup d’arrêt pour le onze de Vincent Spina qui devra se remettre das le sens de la marche dimanche avec la venue de l’Entente Limoux-Pieusse.

    Le FCC II en déplacement à Preixan a réussi à arracher les deux points du match nul en toute fin de rencontre. Menés 0-2, les joueurs du coach Raymond Dumay ont comblé leur retard grâce à deux buts de Sylvain Bouillat et Mathieu Milanese. Les Moins de 13 ans qui accueillaient le leader quillanais ont vu leur série victorieuse stoppée net, ils s’inclinent sur la marque de 0 à 5. Les joueurs de Bernard Floch ont bouclé ainsi la première phase du championnat qu’ils terminent dans le trio de tête.

    Samedi, les Poussins de Philippe Gérard accueillaient l’Entente Limoux-Pieusse en ouverture de la deuxième phase du championnat. Une première sortie en première division conclue par un beau succès sur la marque de 6 à 1. Tenus en échec à la pause (1-1), les partenaires de Thibault Laffont ont passé la vitesse supérieure après les mandarines. Pour un succès obtenu grâce à des buts signés Alban Borie, Loïk Rosich, Julien Ferrier, et un « hat-trick » pour Jérémy Pons.

    fc chalabre football

    Julien Ferrier et les Poussins du FCC ont réglé le tempo en seconde période

  • C’était hier : C’était un vendredi 13

    t2l chimie

    Le stock de résines synthétiques est parti en fumée

    Photos archives, novembre 1987

    C’était en novembre 1987 et c’était un vendredi 13 à 13 h, une épaisse colonne de fumée s’échappait du site industriel installé au pied de la colline du Calvaire. Malgré l’intervention immédiate des sapeurs-pompiers de la caserne Jean-Cabanier, le sinistre aussi soudain que dévastateur allait rayer du paysage en moins de quatre-vingt-dix minutes, une unité de pointe implantée en Kercorb, dix ans auparavant. La nuit tombera sur une vision de ruines et de désolation, il ne reste alors plus rien de T2L Chimie.

    Paul Diatchenko, Patrick Privat et Didier Arnou rassembleront leur énergie et l’entité au sigle mystérieux renaîtra de ses cendres un mois et demi plus tard, sur la plaine de Quillan. La suite est une autre histoire mais en ce vendredi 13 novembre 1987, le champignon noirâtre visible depuis les contreforts de la Montagne noire avait fait craindre une catastrophe écologique. Inquiétudes vite dissipées puisque le seuil de dilution des fumées toxiques ne fut ce jour-là jamais critique. Seul en définitive, le poumon industriel du Kercorb allait souffrir des retombées de ce nuage chimique.

    t2l chimie

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  • C'était hier : « Un nom, une vie », un projet sur les traces des Poilus

    L’article mis en ligne avait paru dans l’Indépendant, édition du lundi 12 novembre 2007.

    collège antoine-pons,hélène cortèsAux côtés de Yannick Callat (principal) et d'Hélène Cortès (professeur), les élèves du collège Antoine-Pons se sont recueillis sur les tombes du carré militaire (Photo archives, Novembre 2007).

    Dans le cadre d’un projet pédagogique initié par Hélène Cortès, professeur d’histoire et géographie, intitulé « Un nom, une vie », les élèves du collège Antoine-Pons ont entrepris un travail de mémoire sur les Chalabrois tombés au front lors du premier conflit mondial. L’objectif de ce travail interdisciplinaire est de rendre une vie aux nombreux noms gravés    sur le monument aux Morts réalisé en 1923 par le sculpteur Jean Magrou.

    Les élèves ont ainsi été amenés à répondre à nombre de questions qui leur permettront de savoir par exemple qui était Antoine Sérié, mort dans la Somme, le 4 septembre 1916 à l’âge de 28 ans ? Quelle était sa situation familiale lorsqu’il a été appelé au front ? Quel était son travail ?

    Et si c’était un aïeul ?     Certains élèves dont la famille réside depuis plusieurs générations dans le canton, ont choisi des hommes portant leur patronyme, peut-être retraceront-ils ainsi une page familiale oubliée. D’autres élèves ont été attirés par un prénom, ou encore la consonance d’un nom. A l’issue de ces recherches, le nom sera associé à un visage afin de perpétuer chez les élèves le souvenir des sacrifices consentis aux côtés de leurs milliers de compagnons d’infortune, par les Poilus de la cité chalabroise.

    collège antoine-pons,hélène cortès

    Août 1934