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C'était hier - Page 284

  • C'était hier : Les « accros de la monjeta » étaient à Camplimoux

    L'article mis en ligne avait paru dans l'Indépendant, édition du dimanche 19 août 2012.

    camplimouxRive droite ou rive gauche, le petit hameau entretient l’hospitalité sans compter (Photo archives, Août 2012).

    « Il faut chanter ce que l’on aime, exalter tout ce qui est beau… ». Ainsi commence un superbe poème mijoté et chanté à la gloire des haricots. Au coeur de la fête samedi sur la place de Camplimoux, les « monjetas » ont bien été à la hauteur de leur réputation, réveillant les papilles de plus de cent-cinquante convives. Choyés par les sociétaires du club de pétanque local et leur président Didier Roget,  les amateurs se sont une nouvelle fois régalés des talents culinaires de Gisèle Calvène. Prélude d’une soirée enflammée par DJ La Furgue, prophète en son pays, et qui aura fait monter les notes jusqu’aux ruines oubliées du vieux château de Balaguier. 

    Le jour d’après sera moins stressant, pour les dynamiques animateurs d’un hameau riche de près de quarante âmes, blotti à un jet de pomme de Sonnac-sur-l’Hers. A nouveau réunis après avoir raccompagné un à un leurs invités, ils pouvaient sereinement laissé retomber les décibels, autour d’une succulente pyramide d’entrecôtes. Après le cochon à la broche en 2011, et les haricots samedi, août 2013 devrait coïncider avec un nouveau rendez-vous gastronomique.

  • Un jour, une image

    Au milieu de la décennie 1970, Chalabre voyait son image de « ville laborieuse » -pour reprendre les termes de Gaston Maugard- altérée par une nouvelle crise industrielle. Avec le temps qui a passé, on sait aujourd’hui que c’était la dernière.

    1975, la sirène de l’usine Canat ne règle plus le quotidien des Chalabrois, mais le  désir de ne rien céder au pessimisme et à la mélancolie donnera naissance à un sigle qui va s’imposer sans tarder dans les chaumières du Kercorb. Avec un des quelques privilèges qu’il leur reste, les pères de l’OPVC (Opération Vacances en Chalabrais) vont mettre l’imagination au pouvoir et repousser la morosité hors des murs de la bastide.

    opvc

    Photo collection Yves Saddier              

    Diverses animations viendront régulièrement animer les cours, à l’image d’une sérénade que les musiciens fédérés sous la bannière de l’OPVC avaient donné un soir d’été au pied du balcon de Malou et Robert, sur le Cours Sully. Malicieux et fantaisistes, René Berland, André Conte, Gérard Roncalli et leurs amis, n’en étaient pas moins des précurseurs.   

  • C'était hier : Avec la « Confrérie des Pénibles »

    L'article mis en ligne avait paru dans l'Indépendant, édition du dimanche 18 août 2002.

    les péniblesAux premiers rousillous, les « Pénibles » montaient à Picaussel.

    C’était il y a à peine trente ans, une joyeuse équipe de Chalabrois se fédérait pour le meilleur, et un seul tour allait suffire afin de porter Roger Caux à la présidence de la « Confrérie des Pénibles ». Cette toute nouvelle association accueillait une majorité de quinquagénaires qui cultivaient un certain art de vivre et privilégiaient les rencontres conviviales. Les « Pénibles » se retrouvaient régulièrement en leur siège du café de la Paix, Cours Colbert, où ils étaient reçus comme il se doit par François et Ginette Lopez, maîtres des lieux. Animés par une belle complicité, les « Pénibles » étaient en réalité de vrais épicuriens dont nous sommes heureux d’évoquer le souvenir, en ayant une pensée pour tous ceux qui nous ont hélas quittés.

    Cliché ci-dessous, debout de gauche à droite : Christian Amouroux, Raymond Fort, Gabriel Gallardo, Pedro Molina, Jean Salvat, Roger Raynaud, Jacques Montagné, Roger Caux (assis), Louis Gimenez, Jacques Arcizet, François Sanchez, François Lopez, Victor Baro (assis masqué), Jean-Claude Cazettes (assis). Absent sur la photo, Pepe Villena, qui a remplacé Jacques Montagné, chargé de prendre la photo ci-dessus.        (Un grand merci à Francine Sanchez-Gayet pour ces photos)

    les pénibles

  • C’était hier : Evo Metal assure un maximum

    L’article publié avait paru dans l’Indépendant, édition du samedi 17 août 2002.

    evo metalUne hivernale est au programme de l’association Evo Métal (Photos archives, Août 2002).

    Ils avaient fait leurs grands débuts en août 2001, et ils avaient récidivé en janvier 2002, les motards chalabrois regroupés sous la bannière d’Evo Métal, ont une nouvelle fois prouvé qu’ils excellaient dans l’art d’organiser la fête.

    C’était à l’occasion du deuxième festival d’été organisé les 3 et 4 août derniers sur les cours chalabrois, lesquels ont connu un beau succès de participation. Une réussite à laquelle le team du président Jean-Paul Pierron veut associer ses nombreux partenaires, la municipalité mais aussi les riverains, qui ont prêté leur concours en cédant leur pas de porte l’espace d’un week-end entièrement dédié au culte de la moto.

    evo metal

    Si les gros cubes ont été les hôtes privilégiés du Kercorb, les amateurs de musique ont apprécié le choix des groupes proposés par Evo Metal. Paddy’s Return et Hot Gang avaient donné le tempo dès samedi et il revenait aux jeunes artistes de Be Yell Blues (photo ci-dessous) d’apporter dimanche la touche finale, à travers un concert digne des meilleures partitions des célèbres Blues Brothers.

    evo metal

    A l’évidence ça tourne pour les disciples de la griffe Harley Davidson, qui bénéficient il faut le dire, du précieux soutien de Viviane, Brigitte, Nathalie, Marie et Annabelle, aussi éprises de mécanique, que de leurs compagnons bikers. Les motards et les potes de Evo Metal planchent déjà sur la préparation d’un nouveau rendez-vous, lorsque l’hiver sera venu.

    evo metal

    Un peu de pluie est venue rafraîchir festivaliers et organisateurs

    evo metal

    Priorité absolue a été donnée à la fête