Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

C'était hier - Page 327

  • C’était hier : Une journée d’animation avec l’Indépendant

    L’article mis en ligne avait été publié dans l’Indépendant, édition du jeudi 1er août 1996.

    gilles et guilaine bourquinGilles Bourquin accueille l’équipe du journal (photo archives, juillet 1996).

    Alexandre et Olivier, dynamiques animateurs de la campagne de présentation du quotidien l’Indépendant version estivale, étaient samedi à Chalabre chez Gilles et Guilaine Bourquin, dépositaires de presse sur le cours d’Aguesseau. Une présence à la fois appréciée par les Chalabrois et les nombreux vacanciers présents en Kercorb, qui sont repartis avec de superbes cadeaux et notamment les tee-shirts célébrant les 150 ans d’existence d’un journal « politique, littéraire, agricole, commercial et scientifique », pour reprendre la formule de présentation du premier numéro paru le jeudi 1er janvier 1846. Par la même occasion, la fidèle clientèle aura pu constater les divers aménagements dont le magasin de Gilles Bourquin vient de faire l’objet et qui donnent un nouveau look au commerce local.

    Une journée très réussie en Kercorb, certains retardataires impénitents allant même jusqu’à intercepter la voiture d’Alexandre et Olivier en partance à la sortie du village, ce qui laisse espérer une nouvelle opération dans le Chalabrais très prochainement.

    Tournoi de tennis ballon.

    Dans le cadre des animations proposées par le Pays d’Accueil, il est rappelé qu’un tournoi de tennis ballon est organisé chaque mercredi à partir de 18 heures sur les courts de tennis du lac de Chalabre. Les inscriptions sont prises sur place.

  • C’était hier : De nouvelles recrues pour le quinze du Kercorb

    L’article mis en ligne avait été publié dans l’Indépendant, édition du lundi 31 juillet 2006.

    us kercorb xvDe nouveaux visages aux côtés du coach David Gayda. De gauche à droite, Olivier Carbonneau, Jacky Bouichou, Christophe Bach, Bruno Beffara, Eric Serano, Pascal Saint-Pierre, David Gayda, Fabrice Redon, Didier Rossi, Pierre Rossi, Thomas Rossi, Enzo Molini. Accroupis, Romain Sicre, Benoît Danjou, Fabrice Lagarde (Photos archives, juillet 2006).

    A quelques semaines du retour à la compétition, les rugbymen chalabrois étaient invités à se retrouver au club-house de la route de Lavelanet autour du nouveau bureau de l’US Kercorb et de son président Jacky Bouichou. Cette première prise de contact aura permis aux joueurs de faire connaissance avec une équipe dirigeante fortement remaniée qui a fixé ses objectifs pour la saison 2006-2007. Après les mots de bienvenue du président Bouichou, jeune retraité de retour dans sa vallée natale du Plantaurel, Olivier Carbonneau manager du club évoquait la décision prise par le comité de Midi-Pyrénées de repêcher deux équipes ayant terminé à la cinquième place de 3e série, pour les engager en championnat 2e série à la rentrée prochaine. Libre d’accepter ou de refuser l’offre, le bureau de l’USK proposait d’ouvrir le débat afin que chacun puisse s’exprimer sur le thème. Après avoir entendu les arguments des pour et des contres, et au terme d’une discussion très animée, un vote intervenait qui voyait l’option de rester en 3e série adoptée par 22 voix contre 12.

    L’objectif premier sera donc d’emmener le plus loin possible un groupe stoppé la saison dernière en demi-finale du championnat de Midi-Pyrénées par Saint-Sulpice-la-Pointe, juste après avoir éliminé en quarts les Tarnais de Cagnac-les-Mines, futurs champions de France. L’assemblée faisait ensuite connaissance avec les nouvelles recrues appelées à intégrer une formation qui verra son huit de devant particulièrement consolidé. Avec Christophe Bach (3e ligne ex RC Cathare), Bruno Beffara (3e ou 2e ligne ex Bonnac), Mathieu Canal (2e ligne ex RC Mirepoix), Fabrice Redon (pilier ex Quillan), Pascal Saint-Pierre (2e ligne ex Pézenas), Eric Serano (2e ou 3e ligne retour au club), et enfin Olivier Cazas, trois-quart également de retour au club.

    Le pack de l’US Kercorb sera entraîné par David Gayda (ex Limoux), seul point d’interrogation, la venue au club de Fabrice Calvène et Benoît Rabaud, deux joueurs pouvant évoluer en 1ère ligne et dont la décision est attendue. Pour l’heure, les joueurs sont invités à goûter encore à quelques jours de vacances, avant de se retrouver samedi 12 août au stade Lolo-Mazon pour un premier stage de préparation.        

  • C’était hier : Luthès-Paris a pris ses quartiers à la gare

    L’article mis en ligne avait été publié dans l'Indépendant, édition du dimanche 30 juillet 2006. Il rendait compte de la signature du bail officialisant le partenariat entre la mairie de Chalabre, et son locataire, la société Luthès-Paris, installée en Kercorb depuis l’automne 2005.

    luthes-paris,mike et sandra wagstaffMike et Sandra Wagstaff aux côtés de Christian Guilhamat procèdent à la signature du bail (photos archives, juillet 2006).

    « Au train où vont les choses, les choses où vont les trains ne seront bientôt plus des gares ». Ce mot de Pierre Dac a pris récemment toute sa valeur avec l’installation dans l’ancienne gare de Chalabre de la société « Luthès-Paris », managée par Mike et Sandra Wagstaff. Cette société commercialise des instruments à corde fabriqués en Chine. « Nous avons vécu, mon mari et moi, une quinzaine d’années à Hongkong où j’avais une entreprise de lutherie et de réparation d’instruments anciens » explique Sandra Wagstaff, cogérante de la société. « C’est là que je me suis rendue compte qu’en près de dix ans, la fabrication manuelle d’instruments à cordes devenait de plus en plus performante et prenait une grande expansion. Ce phénomène est dû au développement de l’initiative privée et aussi au fait que le bois est sur place : l’érable pour le dos, les éclisses et les volutes, l’épicéa pour la table. Seul l’ébène nécessaire au manche doit être importé. Concernant les clefs, les Chinois utilisent un bois dur qui ressemble au buis, utilisé traditionnellement. C’est ce qui nous donné l’idée de créer une entreprise de distribution de ces instruments en France et en Europe ».

    luthes-paris,mike et sandra wagstaff

    L’entreprise créée en 2001 s’installera dans un premier temps à Vitry-sur-Seine, avant de choisir le Kercorb à l’entrée de l’hiver 2004. Elle emploie sept personnes et travaille en France, mais aussi avec l’Europe du Nord, tout en développant sa clientèle en Espagne et en Italie. « Nos clients sont essentiellement des luthiers qui souvent achètent les instruments non équipés et les habillent ensuite d’accessoires européens plus performants. Ce sont des clients exigeants qui veulent voir sur place les instruments que nous proposons ».

    luthes-paris,mike et sandra wagstaffLuthès-Paris travaille avec des ateliers sélectionnés offrant un travail de haut niveau. « Nous allons environ quatre fois par an en Chine, car nous devons garder le contact avec nos fabricants. Nous travaillons avec de petites structures, qui permettent des rapports plus souples, notamment lorsqu’il faut faire des modifications ». Luthès-Paris possède aujourd’hui une large clientèle, confortée par des mailings et la participation à trois salons annuels, Paris, Francfort et bien sûr Crémone, ville de naissance du violon et berceau d’Antonio Stradivarius.

    Jeudi 27 juillet, Luthès-Paris ouvrait ses portes par le biais d’une exposition de violons, violoncelles et contrebasses, là même où les trains observaient jadis une halte. L’occasion pour Christian Guilhamat, maire de la commune accompagné des membres du conseil municipal et du personnel des services techniques, de partager une soirée conviviale en compagnie de Mike et Sandra Wagstaff, hôtes des lieux qui ont ainsi officialisé leur partenariat avec Chalabre.

    luthes-paris,mike et sandra wagstaff

    luthes-paris,mike et sandra wagstaff

    luthes-paris,mike et sandra wagstaff

    luthes-paris,mike et sandra wagstaff

    luthes-paris,mike et sandra wagstaff

    luthes-paris,mike et sandra wagstaff

    luthes-paris,mike et sandra wagstaff

  • C’était hier : Xe Course à la brouette : l’étoffe des héros

    L’article mis en ligne avait été publié dans l‘Indépendant, édition du samedi 29 juillet 2006.

    fêtes du cazal 2006Séquence émotion pour le Team 134 dans la Descente de Rose (Photos Jean-Claude Naudy, archives juillet 2006).

    L’édition 2006 de la course internationale à la brouette proposée par le WTC (Wheelbarrow Team del Cazal) aura comblé, au-delà de toute espérance, les adeptes de sports extrêmes. A l’arrivée, la satisfaction se lisait dans les yeux d’une foule énorme, haut perchée sur les gradins, un bonheur tout aussi perceptible chez les techniciens, radieux dans les stands. Car voilà maintenant dix ans que cette course fait avancer d’un élan sans précédent, les travaux de recherche destinés à réhabiliter la brouette. Mécanisme admirable imaginé par Pascal, qui mourut, plongé dans ses calculs sans savoir vraiment ce qu’il avait inventé. Mais d’où vient au final le mot brouette ? Tout le monde connaît le grand B, drôle de cycle possédant une petite roue arrière et une roue avant démesurée, sur lequel l’ami Alain Soula avait parcouru les rues de Chalabre lors du dernier Téléthon en décembre dernier. Contrairement au grand B, la brouette possède une seule petite roue appelée rouette. La première expression pour désigner les prototypes alignés sur le circuit du Cazal fut donc B-rouette (prononcer birouette). Il faudrait attendre la Révolution française pour que la particule disparaisse et vienne se coller à la rouette, la « brouette » était née.

    fêtes du cazal 2006

    Futurs vainqueurs en repérage

    Et le dimanche 23 juillet à l’heure dite, douze équipages faisaient chauffer les gommes de leurs birouettes sur la grand-place du Cazal. Onze duos prêts à défier la loi de la pesanteur, car une dérogation avait été accordée à l’équipage n° 134, autorisé à embarquer deux copilotes.

    Au terme de trois tours et d’une chevauchée en solo, le « Churmo Canyon-Club » de Fred Brembilla et Lolo Bonnet décrochait le titre, suivi par la « Brouettine » de Benoît et Sébastien Danjou (2e), Julien Franot et Simon Laffont les « Requins Quais » complétaient le podium. A l’heure des récompenses, le jury des commissaires décernait le prix de la combativité au trio 134 composé de Janine et Fabrice Lagarde et Frédéric Zonzon Lacanal, et le prix du design ex-aequo aux « Requins Quais », les « Denrées d’Oxo I » (Fabien Conte et Jérémy Roncalli) et les « Denrées d’Oxo II » (Benjamin Jammet et Romain Sicre).

    Le rideau est tombé sur la 10e édition du Grand Prix du Cazal, lequel n’a eu à déplorer qu’un accident bénin, résolu par l’équipe médicale du professeur Moko. Interne de la faculté du Canavayrou, qui réfléchit depuis longtemps à la création d’une fondation pour la défense de la brouette.

    fêtes du cazal 2006

    Le duo chargé de signaler les infractions au règlement

    fêtes du cazal 2006

    Les « Denrées d’Oxo I »

    fêtes du cazal 2006

    Les « Denrées d’Oxo II »

    fêtes du cazal 2006

    Le « Churmo Canyon-Club »

    fêtes du cazal 2006

    Les « Requins Quais »

    fêtes du cazal 2006

    Au deuxième plan, la « Brouettine » finit sur les talons des vainqueurs

    fêtes du cazal 2006

    Le bloc opératoire sur le qui-vive et opérationnel 

    fêtes du cazal 2006

    « Chantier interdit »

    fêtes du cazal 2006

    Le jury des commissaires a pris le temps de délibérer