L'article mis en ligne avait paru dans l'Indépendant, édition du jeudi 11 septembre 2003. L'occasion d'annoncer une journée de retrouvailles prévue samedi 16 septembre prochain, à l'attention cette fois des enfants de Chalabre nés en 1958, 1959, 1960. Le rendez-vous est fixé aux abords de l'école maternelle à 16 h 30. Chacun sera muni de son goûter.
La classe de Madame Legoff en 1956. De gauche à droite, 1er rang, Isabelle Saraseca, Raymond Fournès, Jacky Muros, Catherine Martinez, Richard Conte, Michel Maugard, Inès Rodriguez. 2e rang, Michèle Fournier, Claude Laffont, Marie-José Castelnaud, Robert Voltes, Francette Ferrier, Francine Sanchez, Marianne Baby, Bernard Marty, Marie-Hélène Huillet. 3e rang, Alain Castelnaud, Elisabeth Villena, Jean-Paul Subreville, Josiane Calvet, Aline Ilhat, Simone Rigaud, Christian Moralès, Suzanne Dombris. Debout, Fabienne Voltes, Suzanne Fournier, Jacques Martinez, Chantal Fournès, Anne-Marie Huillet, Jean-Claude Baby, Simone Sanchez, Gérard Calbo.
La capitale du Kercorb devait connaître une belle animation le samedi 27 septembre, à l'occasion de retrouvailles promises pour les enfants de Chalabre, qui ont eu ou auront 50 ans en cette année 2003. Un programme particulièrement chargé est réservé à ces quinquagénaires, lesquels sont attendus place Charles-Amouroux aux alentours de 17 h 30. Une journée qui fera date pour toutes celles et tous ceux qui s'apprêtent à reprendre leur place sur les bancs de la communale.
Les potaches du collège Antoine-Pons et l’équipe éducative ont mis un terme à une nouvelle année scolaire, sans avoir pu mener à bien ce projet de voyage en Angleterre qui leur tenait tant à cœur. Prévue de longue date, la visite de la cité londonienne devait se dérouler du 12 au 18 avril dernier, peu avant les vacances de Pâques. Mais l’imminence d’un deuxième conflit dans le Golfe avait amené l’équipe porteuse du projet aux côtés de Daniel Wagner principal du collège, à annuler cette escapade Outre-Manche. Le 24 mars un avis d’annulation était adressé aux parents d’élèves, le 25, un fax émanant du collège Antoine-Pons informait la compagnie de transports de cette décision. Joints par téléphone, les responsables de la compagnie d’autocars en prenaient acte, et demandaient au collège un dédommagement à hauteur de 25 % du montant initial du transport, clauses du contrat oblige.