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Rencontres - Page 155

  • Christophe et Bernard ont multiplié les accords majeurs

    christophe roncalli,bernard margaritPoésie et nostalgie étaient bien présentes au rendez-vous.

    Artistes invités dans le cadre des animations de l'Aspaak (Association de sauvegarde du patrimoine archéologique et artistique en Kercorb), Christophe Roncalli et Bernard Margarit se produisaient tout dernièrement sur la scène du théâtre municipal. A nouveau réuni l'espace d'un soir, le duo qu'une commune passion de la guitare anime, est revenu avec un évident plaisir, devant un parterre d'amoureux de musique et de mots.

    christophe roncalli,bernard margaritLe ton était donné dès les premiers accords, avec une émouvante évocation de l'être cher. Christophe Roncalli entamait ensuite une brève plongée à bord du "Nautilus", comme un appel à suspendre avec lui le temps qui passe. Ce voyage vers les profondeurs sera mis à profit pour évoquer les souvenirs d'une enfance aux abords du cours Sully, ou ces ascensions vers le pic du Saint-Barthélémy, en compagnie d'un guide paternel au parler imagé, comme peut-être seule la culture d'Oc le permet. Un mentor imaginatif et créateur, initiateur d'une fanfare dont le souffle donnera naissance à un texte écrit un soir d'hiver au-dessus du Chalabreil, "La Fanfare de mon père".

    En cette soirée d'un printemps en sursis, deux guitares très complices jetteront un "Embargo sur le frigo", puis iront à la rencontre d'une "Fille rebelle". Un hommage à Joseph le métèque, une promenade sur le Pont des arts, et la belle "Bagnatica", du nom de ce village transalpin où la famille Roncalli possède ses racines, "Autan en emporte la voix".

    christophe roncalli,bernard margaritUne voix grave, puissante, et le populaire « Bella Ciao », repris en coeur par l'assemblée, pour clore une soirée toute en poésie. "Demain, je ressuscite !" Mais alors, quid des souvenirs ? 

    A l'image de la fanfare dont les accords résonnent toujours dans les mémoires, Christophe Roncalli et son compagnon d'accords ont ranimé les couleurs du printemps, avec humour, tendresse et générosité.

    christophe roncalli,bernard margarit

  • « Au nom de la mémoire » au collège Antoine-Pons

    Collège Juin 2013.jpgMme Monnot et Jean-Jacques Aulombard ont invité les élèves à rester vigilants.

    Jean-Jacques Aulombard, élu du conseil général, a remis aux élèves de 3e du collège Antoine-Pons, le recueil « Au nom de la Mémoire ». Ce livret fait état de réflexions de collégiens partis sur les traces de déportés lors de la 2e Guerre mondiale en Italie. Il est offert aux élèves de 3e du département de l’Aude, pour conclure une année d’apprentissage de ces moments forts de notre histoire dans le cadre du programme.

    Mme Monnot, professeur de géographie- histoire et éducation civique a lancé une dynamique autour de son enseignement. Tout d’abord ses élèves ont participé au Concours national de la Résistance et de la Déportation, dont Axel a été un des lauréats, puis ils se sont rendus sur le site de Rivel, pour un hommage aux Résistants et Déportés. En français, des textes ont été étudiés sur cette période ainsi qu’en Histoire des Arts. Les élèves ont écrit un dossier sur le « Dictateur » de Charlie Chaplin, la Résistance en chanson, ou encore une étude du tableau de Picasso : « Guernica ». Nul doute que ce recueil constituera la base de leur maturité et de leur réflexion sur la Liberté des peuples et les valeurs humanistes.

  • C'était hier : A la découverte de la musique médiévale

    L'article mis en ligne ci-dessous avait été publié dans l'édition de l'Indépendant datée du vendredi 11 juin 1993.

    Les Escholiers 1993 Juin Photo.jpgLes "Escholiers" et Jean Montoro, dans le parc des Cèdres (photo archives Juin 1993).

    Mardi 1er juin, les "Cèdres" ouvraient à nouveau leurs portes afin d'accueillir la classe de CM2 de l'école primaire des "Escholiers" de Saint-Jean-de-Védas, aux portes de Montpellier. A la faveur d'un séjour de deux semaines en pays chalabrais et en collaboration avec l'Association de sauvegarde du château de Puivert, cette classe de travail dirigée par M. Jean Montoro, directeur de l'établissement héraultais, s'est employée à explorer le temps au pied de la sentinelle vigilante qui domine et rassure "le Puy Vert".

    Une exploration ethnologique qui a permis à ces jeunes potaches de faire connaissance avec "Ker", chef de la tribu errante des "Kercorbates", qui fondèrent une cité sur les rives d'un lac dans les eaux duquel allait se refléter le vaisseau de Pierre, érigé par Bernard de Congost, un siècle après l'an mille. Mais aussi avec Dame Alpaïs et ses troubadours, qu'elle abandonna un triste soir de 1208. La fuite vers Montségur de Bernard de Congost, assiégé par l'envahisseur venu du Nord, Lambert de Thury. Et enfin, la Dame Blanche, princesse aragonaise, l'élue de Jean de Bruyères, qui disparut un jour de mars de l'an 1279 dans les eaux en furie d'un lac ayant rompu ses digues.

    Après avoir découvert les joyaux de l'architecture que constituent la chapelle et la salle des musiciens, les "Escholiers" de Saint-Jean-de-Védas ont rendu visite au musée du Quercorb, à son instrumentarium, et ont été sensibilisés à la vie au Moyen-Age. Un séjour des plus enrichissants se termine pour cette classe de CM2 qui aura vécu une quinzaine dans l'ambiance médiévale. Troubadours et ménestrels auront été leurs compagnons de travail au long de matinées consacrées à des travaux en atelier (musique, chants, danses, travaux pratiques) et des après-midi réservés à la découverte du Pays de Quercorb.

    Avant de rejoindre les plages de la Méditerrannée, les élèves du CM2 de Saint-Jean-de-Védas vous invitent à assister au spectacle qu'ils donneront le samedi 12 juin à 14 h 30 dans la cour d'honneur du château de Puivert, où vous irez avec plaisir apprécier leur activité créative.

  • Une petite Inès est née

    Inès Pofelski 9 mai 2013.jpgInès Pofelski est rentrée à la maison.

    Un jolie petite fille prénommée Inès a vu le jour le jeudi 9 mai à 14 h 39', pour le plus grand bonheur de Caroline Serano et Roman Pofelski, domiciliés rue du Capitaine Danjou, et auxquels nous présentons de sincères félicitations. L’heureux événement a eu pour cadre la maternité du Chiva de Foix, où Inès, 50 cm pour 3.160 kg, est aussitôt devenue le centre de toutes les attentions.

    Son grand frère Yanis est aux anges, tout comme les grands-parents, Nicolas Serano et Sophie Jacques de Dixmude, résidant à Philippou, Marie et Simon Pofelski à Bon-Accueil, et Marie-Annick Marjanski à Chalabre-Plaisance. Sincères compliments à toute la famille, et souhaits de prompt rétablissement à la maman, avec nos meilleurs voeux de santé et bonheur à Inès.