Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Rencontres - Page 62

  • C'était hier : Nuit des Sérénades : Une première à faire chavirer les coeurs

    C’était le samedi 2 septembre 2017, souvenirs d’une nuit d’été constellée de talents et de bonheur, offerte par Vinx et ses amis. Une soirée fabuleuse qui célébrait les amants du monde, invités à perpétuer un pèlerinage annuel au cœur de la capitale du Kercorb. Sollicité mardi 12 mai 2020, Cupidon est resté injoignable.

    L’article mis en ligne avait été publié dans l’Indépendant, édition du 8 septembre 2017 (photos archives, Septembre 2017).

    chalabre en sérénadeSam et Nic, un duo d’Italian lovers.

    Les rendez-vous de l’été ont connu samedi 2 septembre, une prolongation sentimentale, avec la première édition de la Nuit des Sérénades, proposée à tous ceux que l’amour transporte. Pour la circonstance, le directeur artistique Vinx D’Jon Parette avait établi un programme des plus romantiques, qui aura comblé les amants du monde présents sous les fenêtres de la halle, et désormais invités à faire le pèlerinage chaque année autour de ce premier samedi de septembre.  

    nuit des sérénades 2017

    Il ne fallait pas arriver en retard pour apprécier une ouverture assurée par Emily Musolino (photo ci-dessus), première artiste à faire vibrer un parterre qui se verra gratifié de plus de trois heures de sérénades. Avec la participation d’artistes citoyens du monde, venus du Brésil, du Nigeria, d’Italie, des USA, du Canada, de Russie, de Limoux, de Chalabre, du Royaume-Uni, la musique et le chant auront permis de communiquer, avec sentiment et passion.

    nuit des sérénades 2017

    Chez les Margarit, la musique est une affaire de famille.

    Ainsi Elea, Tania et Bernard Margarit, Julie Prochowski, Kaptain Newbury, Magic Dick, Oleg Mokhov, Sam et Nic, Lee Payne, Vinx, Maggee Dowling, Parade, Vincent King, pour ne citer qu’eux, auront donné à ce premier festival des chansons d’amour, leurs notes de noblesse. L’occasion pour Vinx de déclarer sa flamme à Jennifer, et à l’ensemble des artistes de dédier une mélodie à l’être cher, accompagnés par une constellation de musiciens complices. Les chanteurs amateurs sont invités à préparer le rendez-vous de septembre 2018, afin de partager la scène et témoigner leur amour.

    nuit des sérénades 2017

    Deanne Matley (Canada)

    nuit des sérénades 2017

    Tom Vesbit (USA)

    nuit des sérénades 2017

    Michel Bernabé et Myriam Boudjour Richard (Occitanie)

    nuit des sérénades 2017

    Thaïs Charley (France)

    nuit des sérénades 2017

    Nee Nee Monroe (USA)

    nuit des sérénades 2017

    Kaptain Newbury (Chalabre)

    chalabre en sérénade

    Julie Prochowski (Chalabre)

    nuit des sérénades 2017

    Vinx et Freddy Zerbib, le traducteur officiel du jeune marié.

    nuit des sérénades 2017

    Vinx et Jennifer (Chalabre)

    nuit des sérénades 2017

    Purple Haze (Sheikia Norris ) (USA)

    nuit des sérénades 2017

    Magic Dick (Chalabre)

    nuit des sérénades 2017

    Sam, Nic et Vinx

  • Avec la Confrérie des Pénibles

    les péniblesAux premiers rousillous, les Pénibles montaient à Picaussel.

    « Peniblo es, peniblo restaras ». Telle était la devise d'une joyeuse équipe de Chalabrois qui se fédérait il y a à peine cinquante ans, pour le meilleur. Un seul tour allait suffire afin de porter Roger Caux à la présidence de la Confrérie des Pénibles. Cette toute nouvelle association accueillait une majorité de quinquagénaires qui cultivaient un certain art de vivre et privilégiaient les rencontres conviviales. Les Pénibles se retrouvaient régulièrement en leur siège du café de la Paix, Cours Colbert, où ils étaient reçus comme il se doit par François et Ginette Lopez, maîtres des lieux. Animés par une belle complicité, ils étaient en réalité de vrais épicuriens dont nous sommes heureux d’évoquer le souvenir, en ayant une pensée pour tous ceux qui nous ont hélas quittés.

    Au chapitre des anecdotes il y en eut mille bien sûr, dont une est revenue à la mémoire d’un Pénible terminant son noviciat : « Un jour les Pénibles décident de faire un repas Chez Milou à Puivert. Avant de passer à table l’ami Bicoca propose de faire un tour de passe-passe : Vous allez voir, je vais vous montrer un truc que vous n’avez jamais vu, je vais faire tourner une pièce de monnaie dans un bol. Ce faisant il demande un bol à Milou, ce dernier lui précise que c’est un souvenir et qu’il y tient. Bicoca prend le bol, met une pièce à l’intérieur, et « patatrac »,... le bol se retrouve par terre en mille morceaux. Sous les rires de l’assistance, et devant un Milou déconfit ».

    les pénibles

    Chaque membre cotisant présentait sa carte, mais cette distinction n'était pas héréditaire

    Cliché ci-dessous, debout de gauche à droite : Christian Amouroux, Raymond Fort, Gabriel Gallardo, Pedro Molina, Jean Salvat, Roger Raynaud, Jacques Montagné, Roger Caux (assis), Louis Gimenez, Jacques Arcizet, François Sanchez, François Lopez, Victor Baro (assis masqué), Jean-Claude Cazettes (assis). Absent sur cette photo, Pepe Villena, qui a remplacé Jacques Montagné, chargé de prendre la photo ci-dessus (Photos Collection Francine Sanchez-Gayet).

    les pénibles

  • Rencontres

    Un des premiers réflexes au réveil, un peu avant d’engager une nouvelle journée de confinement, est de se demander si ces oiseaux qui chantent sous nos fenêtres, ne sont pas un peu inconscients ? Ensuite on finit par se réveiller.

    A défaut de pouvoir engager une nouvelle balade en nature, en compagnie d’agréables gazouillis, ces quelques images, en guise de promenade, courte, virtuelle, agrémentée de rencontres, pêle-mêle, toutes saisons et lieux panachés.

    001.jpg

    Le Soularac et le Saint-Barthélemy ne nous quittent pas des yeux

    002.jpg

    Vestiges d'une mine sur les hauteurs de Montferrier

    003.jpg

    Dans les ruines de la mine du Fangas

    004.JPG

    Le lac des Truites, au creux du massif de Tabes

    005 bis.jpg

    « Bonjour Gladys, déjà debout ? » (Réserve d'Orlu)

    005.jpg

    Ces deux coccinelles viennent de mettre l'ascension du St Barth à leur palmarès

    006.jpg

    Retour dans la vallée, à travers l'estive

    007 bis.jpg

    En attendant la relève, sans musique mais au sifflet (Réserve d'Orlu)

    007.JPG

    Une grenouille rousse barre le chemin de la cordée (Refuge d'En Beys)

    008.jpg

    Aux abords de la ferme de Barathe, un troupeau de chèvres

    009.JPG

    Arbouze, Azerole et Jujube ont quitté la Sigalière pour le Razès

    011.JPG

    Sur les hauts de Segovent...

    012.JPG

    ... l'aubépine est meilleure 

    013.JPG

    Un jeune solitaire dans la forêt du Tataoubas

    014.JPG

    Sur le dôme de l'Esturgat

    015.jpg

    En pause,... ou en pose ?

    016.jpg

    Une ruminante, autrefois résidente aux Vinsous

    017.jpg

    Les berges de Montbel, quadrillées par les oies de Lescale

    018.jpg

    « Fa bon aire », sur les hauteurs de Les Cols

    019.jpg

    Promenade galante entre le Calvaire et la ferme du Pape

    022.jpg

    Une araignée tisse sa toile, quelque part dans le bac de Palauqui

    021.JPG

    Sportive, mais appliquée à distraire le gardien de but

    024.jpg

    Chats sur un toit brûlant (Almería)

    020.jpg

    Le hameau du Cazal favorise l'entente cordiale

    023.jpg

    Un baudet serviable et itinérant, remisé au pied de Saint-Pierre

  • Les débats du café philo

    café philo de la terre privilégiéeVendredi 13 mars, le rendez-vous bimensuel du café philo de la Terre Privilégiée, propose une discussion sur le thème de la responsabilité des médias. « Etre informé de tout, et condamné ainsi à ne rien comprendre, tel est le sort des imbéciles » (Georges Bernanos). Rendez-vous à partir de 17 h 30 au bar de l'Hôtel de France (participation 3 €).