Une jolie petite fille prénommée Alice a poussé son premier cri le dimanche 15 septembre à 12 h 38, pour le plus grand bonheur de ses parents, Frédéric Noy et Roxanne Marty, domiciliés rue Terre-Blanche à Chalabre. L’heureux événement a eu pour cadre la maternité de Carcassonne, où Alice Noy, 49 cm pour 3. 240 kg est aussitôt devenue le centre de toutes les attentions.

Papa évolue au sein des agents territoriaux du Département de l'Aude, tandis que Maman exerce ses compétences à l'IME de Léran (Institut Médico-Éducatif ), en qualité de monitrice-éducatrice.

Avec de chaleureuses félicitations aux parents, nous n’oublierons pas de complimenter les grands-parents, Eric et Chantal Marty, résidant à Pieusse, Thierry et Muriel Noy, domiciliés à Ste Colombe-sur-l'Hers. Tous nos meilleurs voeux de santé et bonheur à la petite Alice, avec des souhaits de prompt rétablissement à sa maman.

« Scop au Boulot », agence d’emploi située à Limoux, recrute un magasinier (H/F) pour l'un de ses clients sur la Haute-Vallée. Il s'agit d'un poste à pourvoir de suite.

« Vous aurez pour missions d’exécuter manuellement des opérations de préparation de commande, manutention de marchandises, de produits, palettisation. Réception et vérification des marchandises, enregistrement informatique, stockage et dispatching sur les postes.

Possibilité de chargement et déchargement de camion à l’aide d’un chariot élévateur et si vous avez le Caces. Nettoyage et entretien de son poste, du site et du véhicule. Respect des règles de sécurité.

Profil candidat : autonome, rigoureux, polyvalent, ponctuel, compréhension des consignes. Pas de contre-indication au port de charges ou à la station debout.

Expérience : débutant accepté. Maîtriser ou être à l’aise avec l’informatique. Permis B exigé. CACES R.489 – 1 et 3 préconisé.

Type de contrat : 35 h en intérim durant 2 mois puis CDI. Horaires de travail, 8 h-12 h / 13 h- 16 h.

Salaire : 1 378 € net + primes annuelles ».

Contact au 04 68 74 60 58, 55 avenue Fabre d’Eglantine à Limoux.

limoux@au-boulot.com

L'article mis en ligne avait été publié dans l'Indépendant, édition du mardi 22 septembre 2009.

Le projet d'un parc éolien sur les hauteurs du Val d'Ambronne provoque une salve de protestations de la part des habitants et des élus. 

Daniel Lefebvre (au centre) était présent sur la petite place de Sonnac

Photos archives, Septembre 2009

« Préservez nos paysages », « Ce n’est pas de l’écologie mais du business », « Oui à l’énergie solaire individuelle », « Vive le Kercorb libre, les promoteurs éoliens dehors », « L’éolien tourne au saccage de la nature », « Un pays sage respecte ses paysages ». Tels étaient quelques uns des slogans que l’on pouvait lire samedi 19 septembre sur la petite place de Sonnac sur l’Hers où l'association « Cri du Vent » avait donné rendez-vous à ses membres, pour une manifestation visant à dénoncer la création d’un parc éolien sur les hauteurs du Val d’Ambronne. Un rassemblement qui n’avait pas été programmé par hasard devant la mairie de Sonnac puisque Daniel Lefebvre, maire de la commune, s’est positionné en faveur du projet, soutenu par l’ensemble de son conseil municipal, avec leurs homologues de Corbières.

Jean-Louis Patisson et Jean-Luc Bénet ont invité les soutiens du « Cri du Vent » à redoubler de vigilance

Près de deux cent opposants étaient ainsi réunis, motivés par un seul et unique objectif, « mettre en avant les vices cachés d’une énergie à l’image vertueuse mais dont les impacts sur l’environnement ne sont pas négligeables ». A la faveur d’une prise de parole sur le perron de la mairie, Jean-Louis Patisson président du « Cri du Vent » dressait l’inventaire des conséquences économiques et écologiques d’un plan qui prévoit l’installation de 38 aérogénérateurs de 120 m de haut, ancrés sur des socles de 1500 tonnes de béton et 60 tonnes de ferraille. Il dénonçait également la position de certains élus, « qui hier encore accompagnaient avec enthousiasme les projets de tourisme rural, et qui sont aujourd’hui prêts à transformer le territoire en zone industrielle éolienne ».

Daniel Lefebvre soutenu par les conseillers municipaux élus, était présent parmi les manifestants armés de panneaux aux messages explicites. Une présence symbolique et sans prise de parole, pour un premier magistrat déterminé à ne pas faire l’impasse sur l’apport financier généré par la mise en service de cette « Zone de Développement Eolien ». Projet que la majorité des délégués de la communauté de Communes du Chalabrais n'a pas accepté, à l’issue d'un vote en assemblée générale. La demande de compétence pour la gestion des énergies renouvelables a ainsi été mise en minorité, car elle sous-entendait la création de cette ZDE à l'échelon cantonal. Pour l’heure donc, seules les communes de Sonnac et Corbières restent favorables à l’installation de ce parc éolien.

Au terme de son intervention, Jean-Louis Patisson rappelait que l’action de « Cri du Vent » ne se résume pas une opposition aux énergies renouvelables mais est essentiellement une réaction face aux initiatives d’industriels issus du domaine privé, ERDF n’étant en aucun cas maîtresse d’ouvrage. Il invitait ensuite les manifestants à rejoindre le chef-lieu de canton, en cortège, encadré par la gendarmerie nationale et ouvert par les élus du Val d’Ambronne, Yvette Canet (Gueytes et Labastide), Monique le Minez (Peyrefitte du Razès) et Gérard Joulia (Courtauly) en tête. Dans un climat bon enfant, près de 180 personnes ont investi la départementale 16 afin de rallier Chalabre et son marché, avant une halte finale sur le Cours d’Aguesseau, face à l’Office de Tourisme du Quercorb. Une dernière intervention de Jean-Louis Patisson et Jean-Luc Bénet clôturait cette journée de contestation, qui met plus que jamais en lumière la complexité de la situation : quelles sources d’énergie pour le futur ? Faudra-t-il prendre le risque d’industrialiser les campagnes et leur faire perdre du même coup toute leur authenticité ? Samedi en Val d’Ambronne et Kercorb, le front du refus a forci, et l’éolien n’a pas échappé au vent des critiques.

Le cortège encadré par la gendarmerie nationale et ouvert par les élus du canton, entame la marche vers Chalabre

L'article en ligne avait paru dans l'Indépendant, édition du jeudi 17 septembre 2014.

Les employés municipaux ont mené à bien les travaux de restauration

Photo archives, 11 septembre 2014

Dans un cadre enchanteur qui invite à la promenade, le pont jeté en amont du lac près de la Piche, vient d'être réhabilité par les services techniques de la commune. De fait, une rénovation s'imposait puisque cet ouvrage en bois avait vu le jour à la faveur d'un hiver 1997 exceptionnellement clément, aboutissement d'un projet municipal confié à l'entreprise gruissanaise REC d'Argent.

 Photo archives, 5 février 2012

Cette réalisation, dont le côté pratique a toujours fait l'unanimité, puisqu'elle ouvre un accès direct depuis la plage vers les courts de tennis, se double d'une réussite complète sur le plan esthétique. Un joli petit pont qui valorise depuis plus de quinze ans, la structure du plan d'eau chalabrois. Grâce notamment à la coopération de Roger et Janine Dumay, riverains du lac qui avaient alors gracieusement cédé à la commune, la parcelle sur laquelle repose un des appuis de la passerelle.

Parfaitement intégré dans un cadre superbe, l'ouvrage semble avoir toujours été là, et il faut imaginer qu'il contribuera à faire naître encore quelques idylles.

Photo archives, Juin 2014

Désormais les deux passerelles du lac sont rénovées... et le promeneur pourra faire le tour du lac, profitant de la beauté du paysage et du silence interrompu par le seul chant des oiseaux accueillant le promeneur du lac.