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jiel - Page 12

  • JIEL distingué par ses pairs, avec Matricide et Sans ponctuation

    Après les mots de Cine accueillis avec plaisir ces derniers jours, bis repetita, en compagnie cette fois de JIEL, lui aussi de retour, et qui propose de lire ou relire deux poèmes récemment primés dans des concours organisés en Loir-et-Cher et en Bordelais.

    Dans la catégorie « Humour », concours « Gens de lettres 2022 », le poème « Sans ponctuation » se voit décerner le 2e prix par l’Académie Internationale l’Ecole de la Loire à Blois : Sans ponctuation.pdf

    JIEL figure également dans le florilège poétique 2022 de cette même Académie, pour deux autres poèmes (cf. pages 59 et 60). Une fiche de présentation est également en ligne, avec un petit clin d’oeil à deux villages qui lui sont chers.

    Le lien ici : https://www.lecoledelaloire.com/florilege.html

    Et dans la catégorie « Poésie Libérée », 54e Concours international littéraire adultes, l’association Arts et Lettres de France à Bordeaux a attribué  le 3e prix à « Matricide » : Matricide.pdf

    Pour être complet, ce concours a permis à la nouvelle « Le conscrit », déjà parue sur ce blog, de recevoir un accessit. Pour lire ou relire cette nouvelle : Le conscrit.pdf

  • La revue « Pro/p(r)ose » publie les poèmes de JIEL

    Dans son magazine de mars 2022, la revue littéraire « Pro/p(r)ose » met en lumière les poèmes de JIEL, et publie cette fois un triptyque sur le thème de « l’Amour ». « En ces temps difficiles et moroses, un peu de tendresse à travers quelques vers légers peuvent faire du bien… ».

    « Sentiments profonds » que JIEL propose de partager, via le lien ci-dessous, lien qui peut être relayé sur les réseaux et à la convenance de chacun :

    jiel,prop(r)ose

    Que sont les amoureux devenus...

  • Le foudroyé

    Un poème de JIEL en ce lundi 14 février, journée dédiée aux amoureux, qui le sont, qui le restent, qui vont l'être.

    jielLe foudroyé

    Dans les vertes collines bercées de langueur,
    Les oiseaux tapageurs s’agitent en vain ;
    Les plus belles fleurs te refusent leur senteur,
    Les heures de l’absence s’étirent sans fin.

    La fraicheur du soir te caresse à peine,
    Dans le ciel d’été la lune se voile de satin,
    Tu ne perçois rien tant est grande ta peine,
    D’une séparation si longue, depuis le matin.

    Tu n’es plus maître des pensées profondes,
    Ton être tout entier ne t’appartient plus,
    Une obsession irrépressible en toi gronde,
    Cette douleur vive et douce ininterrompue.

    Dans ce grand désarroi, d’un simple regard,
    Celle que tu espères chaque seconde,
    Brisera les chaines détruira les remparts,
    Tu ne vois plus qu’elle et s’efface le monde.

    L’éclair fulgurant t’a frappé sans crier gare,
    Tu es amoureux ! C’est là ta seule souffrance,
    Celle qui peut rendre fou qui est si rare,
    Que tous espèrent ressentir un jour de chance.

    JIEL