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Chalabre - Page 1192

  • C’était hier : Collège Antoine-Pons : les lauréats du concours de la Résistance

    L’article mis en ligne avait été publié dans l’Indépendant, édition du mercredi 5 juillet 1996.

    collège antoine-pons,concours de la résistance et de la déportationHubert Carcy a présenté les lauréats. A ses côtés, Françoise Maury, Marie-Louise Saddier, Jacinto Castellà et Jacques Montagné (Photo archives, Juin 1996).

    Les élèves de 3e du collège Antoine-Pons étaient réunis tout dernièrement autour de leur proviseur Hubert Carcy, afin de recevoir les résultats des copies remises lors de leur participation au concours de la Résistance. En présence de Jacques Montagné, maire de Chalabre et conseiller général, de Françoise Maury, présidente de l’Amicale du Maquis de Picaussel, du colonel Guy David, responsable des Forces Françaises de l’Intérieur de l’Aude (FFI), de Marie-Louise Saddier adjointe au maire, de Jacinto Castellà, président de la section départementale de l’AAGEF-FFI (Amicale des Guerilleros espagnols), et du conseil d’administration de l’établissement, 24 élèves ont été primés.

    Le thème proposé cette année, « Les jeunes dans la Résistance », a permis à trois élèves de se distinguer au plan départemental, il s’agit de Marie-Christine Lacube, Benoît Danjou et Grégory Fortier. Ils recevront d’ailleurs le 6 septembre à Carcassonne les récompenses pour la qualité des copies rendues, mais avant de goûter à des vacances méritées, un superbe livre leur a été offert, ainsi qu’aux élèves de la classe lauréate de 3e.

    Dans le même temps étaient récompensés 25 élèves de 5e ayant participé au concours des finances, réalisant pour l’occasion un album sur le projet municipal de la placette du lac, route de Limoux. Les prix leur ont été offerts par les services fiscaux, chaque élève recevant un livre auquel s’ajoute un prix collectif de 1.000 F qui servira à l’achat d’un CD rom pour le centre multimédia. Nous souhaiterons d’excellentes vacances à nos studieux potaches auxquels nous renouvelons ainsi qu’à leurs enseignants, toutes nos félicitations.

     

    collège antoine-pons,concours de la résistance et de la déportation

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  • C’était hier : Un violent orage s’est abattu sur la Fête des rues

    L’article mis en ligne avait été publié dans l’Indépendant, édition du mercredi 5 juillet 2006.

    fête des rues chalabreLes chanteurs basques d’Egoa ont rendu le sourire aux festejaïres (Photo archives, Juillet 2006).

    C’est une journée synonyme d’amitié et de festivités, deuxième édition de la Fête des rues, qui n’aura pas connu le succès espéré en raison d’un ciel excentrique. Le déploiement d’attentions à mettre à l’actif du trio organisateur composé de Sarah Opel, Michel Alegre et Olivier Carbonneau aura été noyé par le violent orage qui éclatait à l’heure où les groupes d’animation s’apprêtaient à investir les cours chalabrois.

    fête des rues chalabre

    Les Grapp’s del Negret de Fronton ont eux aussi assuré malgré la tourmente

    Bandas, chanteurs basques, danseuses brésiliennes, jazz band, saltimbanques et bateleurs allaient rester confinés dans des vestiaires de fortune tandis qu’un véritable déluge s’abattait sur le Kercorb. Là-bas, sur la pelouse du stade Lolo-Mazon, la finale du 2e Challenge Bruno-Danjou opposant les Ecrevisses de Villefort aux Lauragais de Villefranche, se terminait sous les trombes d’eau.

    A Chalabre, où il était 18 heures et où il faisait déjà nuit, auvents et porches du cours Sully et d’Aguesseau étaient pris d’assaut, avant que les « bodegas » n’ouvrent enfin leurs portes. Les chanteurs basques d’Egoa étaient les premiers à braver les averses, bientôt suivis de la banda de Fronton, Les Grapp’s del Negret, et des artistes de l’association ADAPT, accompagnés d’un invité de marque en la personne d’El Quijote. Cette soudaine contre offensive allait décourager les éléments et le tempo musical regagnait une à une les rues de la bastide, enfin rendues à la fête et à ses « festejaïres ».

    Sous l’ancienne halle aux blés, Christof et l’orchestre Bailamor attaquaient une symphonie de tangos et de pasos dobles, la Fête des rues deuxième du nom était cette fois vraiment lancée. Bien au sec dans l’intimité des bodegas, chacun allait se remettre de ce flot d’émotions, et faire honneur à une 2e édition « Fête des rues », mise en œuvre par un comité passionné et à la peine, qui mérite de vives félicitations.

    fête des rues chalabre

    L'orage ne s'est pas encore invité à la fête du XV

    fête des rues chalabre

    fête des rues chalabre

    Les Foulées du Kercorb proposaient des rondes autour du lac

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    Les quinzistes de Villefort, finalistes du Challenge Bruno-Danjou

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    La remise des trophées sous la halle

    fête des rues chalabre 

  • Les Chevaliers de Lagarde

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    Il se dresse à un jet d’arbalète de la cité chalabroise, le château de Lagarde (Ariège) sert de cadre à des tournois de chevalerie, chaque mardi de juillet et août, à partir de 18 heures. L’association « Per Lé Castel », qui gère l'accueil et les animations réserve le meilleur accueil, avec possibilité de restauration sur le site. Renseignements au 07 52 04 15 44, le tarif de l’animation est libre.

    per lé castel,château de lagarde

    Les chevaliers sont de retour au château

  • La rue du Pont-de-l'Hers, ses façades, ses camions

    2021 9 juin Camion Pont du Blau.jpg

    A la lecture du premier registre dans lequel sont consignées les délibérations consulaires, pour la période allant du 13 novembre 1722 au 11 juin 1737, il apparaît que les consuls réunis le 25 août 1723 chez Pierre Rieutort, demandent « l’aveu des frais de réparations faites, joignant le pont de pierre qui est sur la rivière du Blaud du côté d’Aquilon, et qu’il leur soit donné pouvoir de faire abattre la muraille qui forme la rue qui est joignant la tannerie de Guizars, allant au pont de l’Hers, et de faire passer ensuite le chemin depuis ladite muraille jusqu’au dit pont ». Cette délibération démontre comment les édiles en charge de la chose publique avaient déjà à cœur voilà bientôt trois siècles, d’améliorer le flux des artères chalabroises.

    Insensible à toute délibération, le chauffeur du camion bloqué le 9 juin dernier dans le T que forme la rue du Pont-de-l’Hers et l’avenue de Verdun, n’aura eu d’autre alternative qu’une savante marche arrière jusqu’au pont de l’Hers, avant un retour vers Sainte-Colombe-sur-l’Hers.

    Rue du Pont-de-l’Hers toujours, ce n’est que plus tard, en 1732, que ces mêmes consuls forment « un projet d’accommoder la descente du Blau, entre la maison de M. Pradier et de la nommée Gagnonne, afin de pouvoir aller puiser de l’eau au Blau ».

    Pour conclure le sujet sur le Pont-de-l'Hers, l'article ci-dessous avait été publié dans le journal La Fraternité du 4 juillet 1883.

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