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Chalabre - Page 1724

  • Christophe Roncalli lit Joseph Delteil

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    Dans le cadre de la commémoration du Centenaire de la Première Guerre mondiale, Serge Weinberg, maire de Saint-Jean-de-Paracol et son conseil municipal, invitent à une lecture mise en scène des Poilus, textes de Joseph Delteil, accompagnée musicalement. Christophe Roncalli et Marjorie Pagès se produiront sur la scène de la salle communale du village, samedi 10 novembre à 18 h. Un apéritif offert par la mairie prolongera cette soirée.

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  • Tennis : Une fin de semaine raquette en main

    Dimanche 4 novembre, les Dames du TC Chalabrais II accueillaient leurs homologues du TC Durban-Corbières, pour le compte de la 2e journée du championnat interclubs (Série Découverte). Les échanges programmés sur les courts du lac (juge arbitre Fany Birba), se sont conclus sur une défaite des jeunes raquettes chalabroises, score final 4 à 0. Laurie Puerto s’incline face à Laura Comisso (6-1, 6-0), Roxane Marty perd son duel face à Sandra Dibert (6-2, 6-0). En double, Manon Gimenez associée à Laetitia Guilhemat cèdent face à Vanessa Caenen et Laura Comisso (6-0, 6-0).

    Les Messieurs étaient en lice à Quillan, pour le compte du championnat interclubs 3e série (1ère journée). Un déplacement victorieux pour les troupes du président Bruno Carbonnel, conclu sur la marque de 4 à 2. Lucas Szymanski bat Arnaud Carbonnel (6-2, 6-0), Bernard Floch (cap.) bat Max Bordas (cap. 6-1, 6-1), Jérôme Escande bat Jean-François Carteaux (6-1, 6-2), Alain Nonnat bat Jérémy Roncalli (6-1, 6-4). Le double décisif permettra à la paire Bernard Floch-Jérôme Escande, de prendre le meilleur sur Max Bordas et Lucas Szymanski, donnant la victoire finale au TCC (6-2, 6-4). Les oppositions étaient supervisées par Hélène Manenq, juge arbitre du TC du Chalabrais.

  • Tennis : Les Dames du TCC s’imposent à domicile

    Dimanche 4 novembre, les Dames du TC du Chalabrais I accueillaient leurs homologues du TC Belpech I, pour le compte de la 2e journée du championnat de l’Aude de 3e division. Rencontre supervisée par Fany Birba, juge arbitre, et enlevée par le TCC sur le score très serré de 3 à 2.

    Au terme des échanges engagés sur les courts de lac, Marjorie Verganzonès (cap.) bat Sarah Nougue (6-4, 6-3), Fany Birba s’incline face à Laetitia Rigal (6-2, 7-6), Céline Amiel perd son duel face à Béatrice Mutin (cap. 6-2, 6-2). Le double décisif (deux points), donnera la victoire aux Chalabroises, grâce au succès de Marjorie Verganzonès associée à Fany Birba, vainqueurs face au duo bellopédien composé de Valérie Lambert et Séverine Maleville (6-3, 6-4).

  • Voyage sans visa, un conte musical au théâtre

    2323044-home-slide-desktop.jpgC’est un spectacle proposé par la Claranda dans le cadre des Culturelles en Pyrénées Audoises, en partenariat avec la mairie de Chalabre et la CdC des Pyrénées audoises, samedi 10 novembre à 21 h au théâtre Georges-Méliès.

    « Le conte amène la musique, la musique raconte une histoire, les deux ne faisant qu’une seule voix ». Boubacar Ndiaye (conteur, chanteur et danseur), Pape Amath N’Diaye dit Paamath (guitares) et Baye Cheikh Mbaye (percussions), chantent la beauté de Saint-Louis du Sénégal, entraînant jusqu’à Tivaouane à la rencontre des Arts de la parole, de la famille et de la Teranga sénégalaise. A travers la musique, ils livrent également l’amour qu’ils peuvent porter à leur pays d’adoption et invitent à prendre conscience de ce que peut engendrer l’exil : que signifie «sans papier» ? Ne venons-nous pas de quelque part ?

    Fils de griot, Boubacar Ndiaye a grandi au Sénégal, dans la petite ville de Tivaouane (région de Thiès). Gardien de souvenirs, il recherche et partage des paroles provenant de son histoire, sa mémoire, ses lectures et de sa propre créativité. Puisant son inspiration du côté du Sahara, il vit en France où il livre son regard sur le monde, en perpétuelle mutation. Il a eu une formation traditionnelle et a été initié par ses deux mères et sa grand-mère dans l’art de la parole… C’est dans la lignée de ses ancêtres que Boubacar Ndiaye a choisi de raconter les épopées et chants sacrés de la tradition wolof. Les rythmes et les danses accompagnent ses mots et plongent dans l’univers de son enfance, qui résonne encore en lui.

    Une résidence de médiation, menée par Boubacar Ndiaye sur trois journées, auprès des élèves de l'école primaire Louis-Pergaud, aura précédé ce rendez-vous, programmé samedi 10 novembre à 21 h.