
Un accueil chaleureux pour un voyage agréable.
Le Chalabrais propose depuis plusieurs mois son service de transport à la demande, mode de transport original qui tend à se démocratiser et fleurit un peu partout en espace rural. Créé par la communauté de communes du Chalabrais avec le soutien du conseil général, ce service est assuré par une entreprise de taxi locale. Le transport à la demande constitue une offre de transport en commun particulièrement adaptée à l'éparpillement de l'habitat et répond aux problématiques d'isolement géographique, notamment des personnes âgées. Plus besoin d'arrêt de bus, c'est à domicile que le transporteur prend en charge les voyageurs. Ce service ouvert à tous est un moment convivial le temps d'un trajet vers Chalabre, Mirepoix ou Limoux, selon les jours. L'aller-retour est toujours réalisé sur une demi-journée.
Pour le mois de mai, les destinations et périodes de fonctionnement sont les suivantes : chaque mardi matin et mercredi après-midi, trajet à destination de Chalabre. Le second jeudi du mois après-midi et les samedis 2, 16 et 30 mai le matin, trajets à destination de Chalabre également. Chaque vendredi matin, trajet à destination de Limoux (attention : sauf jours fériés). Une semaine sur deux, soient les lundis 11 et 25 mai matin, aller-retour à Mirepoix.
Pour tout renseignement ou inscription, contacter la communauté de communes du Chalabrais au 04 68 69 21 94.

Il a remisé depuis quelques saisons déjà l'emblématique maillot jaune et noir de l'US Carcassonne XV mais Daniel Grauby est resté fidèle aux fondamentaux. Aviculteur amateur installé en bordure du Riveillou, Daniel Grauby oeuvre aujourd'hui pour la sauvegarde et le développement des races régionales, telle la poule gasconne qui était il y a peu encore menacée d'extinction. Originaire du Sud-Ouest, celle qui s'enorgueillit d'être la célèbre « poule au pot » a longtemps peuplé les cours de ferme jusqu'à ce que les races hybrides à croissance plus rapide ne viennent lui voler la vedette. Rustique, alerte et fière, la Gasconne fera les frais d'une intensification de l'agriculture à partir des années 1950 car elle s'accommode mal des conditions d'élevage en claustration.