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Chalabre - Page 2831

  • Samedi soir, à Caudeval, « On n’était pas couchés ! »

    Concert Caudeval.jpgC'est une représentation vraiment pas ordinaire à laquelle une centaine de personnes ont assisté samedi soir dans la salle des fêtes de Caudeval. La chorale toulousaine « On n'est pas couchés » a jeté son regard amusé sur l'actualité, sans oublier d'évoquer ces thèmes qui mènent le monde depuis la nuit des temps : l'amour, les hommes, les femmes ! Programmée en avant soirée du festival « Souriez, c'est pour rire », cette chorale haute en couleurs a conquis son public dans une salle des fêtes comble.

    Co-organisé par le Foyer d'éducation populaire de Chalabre et la communauté de communes du Chalabrais, en partenariat avec le conseil général de l'Aude, le festival « Souriez, c'est pour rire » entame sa 4e édition avec au programme, des spectacles vivants de qualité pour la plus grande joie des petits et des grands.

    Marie-Bénédicte Lemaire, programmatrice de ce festival depuis l'origine, a présenté en quelques images, l'édition 2009 de ce festival qui accueillera les 21, 22 et 23 août prochain de nombreux spectacles à Chalabre, à Puivert et dans les villages alentours. Nouveau cirque, marionnettes, théâtre, homme orchestre, toute la programmation est à retrouver et à découvrir sur www.quercorb.com.

    Pour tout renseignement, contacter l'office de tourisme intercommunal à Chalabre au 04 68 69 65 96. 

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  • Football : les benjamins du FCC invités chez les Verts de St Etienne

    ASSE Benjamins.jpgIl est venu comme une récompense après le titre de champion de 1ere division décroché le 24 mai 2008. Le séjour à St Etienne proposé dernièrement aux benjamins de l'école de football chalabroise s'est soldé par une réussite complète. Les jeunes pousses du FCC chères au président Raymond Dumay auront d'abord eu le privilège d'être accueillies au centre de formation par Georges Beretta et Yves Triantafilos, glorieux vétérans d'une époque durant laquelle St Etienne n'était autre que la capitale du football français.

    Invités à prendre leurs marques à l'ombre du légendaire chaudron de Geoffroy-Guichard, les protégés de Philippe Gérard et Fabrice Canal ont ensuite engagé un match face à leurs homologues de l'ASSE. Une rencontre d'excellent niveau au terme de laquelle les petits footballeurs du Chalabrais ont pris la mesure du jeu pratiqué au coeur du Forez. Après un peu de tourisme, l'heure était venue de prendre place dans l'antre d'un club resté mythique, pour une rencontre de Ligue 1 que les Verts allaient enlever face à Lille.

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    Henri, Philippe, Fabrice et les benjamins aux côtés de Georges Beretta.
    Au final, les représentants du FCC et leurs parents auront bouclé un week-end de rêve, on ne peut mieux ficelé grâce à Henri Sancho et ses amitiés stéphanoises. Le retour en bus allait permettre de ranger en bon ordre une foule de souvenirs, et si les petits mordus du FCC avaient auparavant accepté de rentrer en Kercorb, c'était dans la seule perspective de rechausser les crampons au plus vite.   

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    Le onze du Kercorb, Mamie Colette et les papas supporters.       

    Tout en haut à gauche : Stéphanois et Chalabrois avant le match.

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  • En flânant au hasard des rues

    Gégé Labaud.JPGC'est un lieu de promenade prisé par les Chalabrois et régulièrement cadré dans l'objectif des nombreux visiteurs de passage, le pittoresque quartier du Blau renvoie l'image intacte d'un autre temps. Avec ses façades en torchis dansant sur le miroir des eaux paisibles de la rivière "bleue", ce lieu abrite quelques-unes des plus vieilles maisons de la capitale du Kercorb. Il garde aussi quelques vestiges d'un passé moins éloigné, lorsque la société de consommation en était à ses premiers balbutiements.

    Le terme publicité n'était pas encore entré dans le langage usuel et pourtant les réclames commençaient à s'afficher çà et là, comme sur le mur de l'épicerie tenue pendant la première partie du siècle dernier par la famille Huillet. Pour la ménagère allant chez Marceau, il était alors impossible de manquer le coup de promotion au bénéfice d'un ancêtre du gel coiffant, destiné à des consommateurs qui le valaient bien.

    Dans les années 1950, ce commerce laissera la place à un dépôt de journaux tenu par Justin et Jeannette Navarro lesquels continuèrent à percevoir pendant dix ans encore, la coquette somme de 100F par an, versée à leur endroit par le roi de la brillantine. Les tarifs publicitaires n'atteindraient des sommets que beaucoup plus tard, le coup de pinceau avait encore quelques belles années devant lui. L'avènement de l'image virtuelle n'était plus bien loin pourtant.

    photo: Le pont du Blau, une passerelle vers la nostalgie.

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  • Au revoir Sabrina

    Sabrina I.JPGLe dramatique accident survenu samedi 2 mai en fin d'après-midi aux portes du village est venu plonger deux familles dans le malheur. Une triste et trop cruelle destinée pour Sabrina Rivals, enjouée et débordante d'enthousiasme, ravie à l'affection de ses proches à l'âge de 28 ans. Sabrina s'était établie un temps dans le Gard pour raisons professionnelles, avant de revenir chez elle à Villefort. Elle avait intégré au début du mois d'avril l'effectif soignant de l'hôpital local des Hauts de Bon Accueil. Ce nouveau départ lui avait permis de formuler de nombreux projets d'avenir, réduits à néant en quelques fractions de secondes.

    Lundi 4 mai, Sabrina a été inhumée dans le petit cimetière du Casteillas à Villefort, accompagnée par une assistance recueillie venue lui adresser un dernier adieu et soutenir une famille terriblement éprouvée. En ces douloureuses circonstances, les pensées de chacun vont vers Maryse et Marc ses parents, son frère Christophe, Yvette et Ginette ses grand-mères, toutes les personnes que ce deuil afflige. Très sincères condoléances à la famille.