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Tu me pardonneras Christian à coup sur de pirater ton blog pour cette publication hors tes horaires. habituels...
Tu pourras en changer le texte avec ta verve habituelle...
Je pense que c'est mérité
Merci à Theo
FG
Mémoire sur le maquis de Picaussel -THEO-.pdf
Bouclier en jeu, à l'heure du coup d'envoi
Samedi 19 juillet, le stade Lolo-Mazon accueillait la vingt-et-unième édition du « Bouclier Raymond-Fort », un rendez-vous inscrit depuis 2005 dans le cadre des fêtes du plus prisé des hameaux du Kercorb. Après l’arrivée le jour d’avant d’une pagode « ficelée mieux que sur le plan », il était l'heure du rendez-vous unissant sport, fête et nostalgie.
En l'absence d'arbitre, le traditionnel match de rugby allait offrir à la chambrée présente le privilège de disputer une mi-temps de football, puis une mi-temps de rugby. Deux sélections riches en pointures se sont alors affrontées pour un résultat final assez déroutant. Ballon à la main, les footballeurs ont pris le dessus sur leurs adversaires rugbymen, ces derniers prenant ensuite leur revanche... balle au pied.
Un soigneur sur la brèche pendant près de 80 minutes
(ou peut-être un peu moins)
Des buts, des essais, l'ensemble couronné par la prestation soignée de 迪迪 (lire Titi), soigneur conventionné dont la table de massage, arrivée en container depuis l'Empire du Milieu, siège depuis peu à Camplimoux-d'en-Bas.
Quant au Quintet de la Ressègue (photo ci-dessus), anormalement discret depuis le coup d'envoi, il continuera dans un registre souple, pour décider que la traditionnelle levée de bouclier n'aurait pas lieu, préférant la réserver pour l’édition 2026. Unique accessit de l’après-midi, le trophée de la « Passe de maçon » était décerné à Romain Sicre (photo ci-dessous), après que le jury en cabine ait visionné trois ralentis accablants.
Avant de rallier la grand-place du Cazal, Frédéric Boussioux et Jacques Mamet, président et secrétaire des Badalucs, remerciaient les acteurs d'un bel après-midi sportif et convivial. A leurs côtés, Carine et Muriel, marraines de l'événement, mais aussi Marine, Maéva et Kélian, descendus depuis le Couserans et la Vallée d'Ustou, terres chères au cœur de la Famille Fort.
Francis Amouroux a ouvert les débats
Le fait du match, Carine ouvre sur Pierre...
Un album-photos 2025 Bouclier Raymond-Fort a été mis en ligne
Juillet 1978 et dernières gammes pour les musiciens de l'OPVC qui s'apprêtent à rallier les Ste Maries-de-la-Mer
Photos Collection Marie-Ange Roncalli
L'article en ligne avait paru dans l'Indépendant, édition du jeudi 20 juillet 2000.
Titou, Jean-Marie et Manu ont réalisé ce superbe prix spécial réservé au vainqueur
Photo archives, Juillet 2000
Depuis plusieurs soirs déjà, les rues du Cazal d'habitude si tranquilles sont le théâtre d'une exceptionnelle animation. Il faut dire que le Jour J est proche, et les prétendants pour la victoire de la Course Internationale à la Brouette, quatrième du nom, sont sur des charbons ardents. Pilotes et techniciens s'affairent dans des stands d'où rien ne filtre, chacun essayant d'élaborer le bolide le plus fiable et le plus performant qui soit, à l'insu des regards indiscrets. Dimanche 23 juillet à 17 h, les prototypes seront enfin présentés au public, à l'occasion du traditionnel tour de chauffe ouvert par un officiel du « Wheelbarrow Trophy ». Les concurrents sont informés que le règlement auquel ils devront se conformer n'a subi aucune modification par rapport au passé.
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La grande nouveauté en cette année 2000 sera la mise en jeu d'un superbe trophée, créé par trois jeunes Chalabrois fidèles partenaires de l'épreuve. Le comité d'organisation est heureux de saluer cette excellente initiative à mettre à l'actif de Thierry Cnocquart, Emmanuel Izart et Jean-Marie Lafitte, lesquels tenteront d'inscrire dimanche leur nom sur les tablettes. Toutes nos félicitations à Titou, Jean-Marie et Manu, à l'évidence la bataille sera rude et les cracks de la brouette feront tout pour brandir un trophée déjà très convoité. A l'instar du Bouclier de Brennus, ce petit bijou sera remis en jeu chaque année par le team vainqueur, une véritable oeuvre d'art qui pour l'heure est exposée sous haute protection chez l'ami Jean-Paul Subreville, rue Saint-Antoine. Rendez-vous dimanche sur le circuit surchauffé du Cazal, tous les favoris seront là, l'accès au circuit est gratuit.