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  • Des métairies, des visages

    Les écarts autour de Chalabre sont nombreux, certains encore habités, d'autres réduits à l’état de ruines. Les quelques pierres qui sont encore debout, gardent la mémoire de celles et ceux qui vécurent dans ces métairies. A l'image de ces familles qui posent sous l'objectif de Maurice Mazon, autour des années 1950. Difficile aujourd’hui de mettre des noms sur ces visages.

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    10 Juillet 1955, quatre randonneurs de retour du Saint-Barthélemy, font une pause à la ferme du Ramier

  • L’Upek annule sa conférence de mars

    upek,arnaud essertelLes autruches ne sauveront pas le climat, ou du moins pas tout de suite. L’Université Populaire en Kercorb (UPEK) le regrette mais le rendez-vous prévu demain dimanche 28 mars à 14 h 30 sous la halle de Chalabre, place Espérance-Folchet, n’aura pas lieu.

    Les rassemblements de plus de six personnes étant interdits, la conférence gesticulée qui devait être animée par Arnaud Essertel a été annulée par la gendarmerie de Carcassonne. Cette décision diffère une rencontre qui devait permettre d’évoquer le réchauffement climatique, à travers la question suivante : « Les autruches vont-elles sauver le climat ? ».

     

  • Quand Bertrand Tavernier tournait en Kercorb

    Voilà 34 ans, Bertrand Tavernier choisissait la Haute-Vallée de l’Aude et notamment le château de Puivert, comme décor de son dixième long métrage, « La passion Béatrice ». Peu avant l’arrivée du printemps 1987, lui et son équipe de tournage avaient investi le Puy Verd et ses alentours. De fin mars à mi-mai, sa caméra avait filmé comédiens et figurants, autour de Bernard-Pierre Donnadieu, Julie Delpy et Nils Tavernier, premiers rôles du film. Bertrand Tavernier est décédé jeudi 25 mars à l'âge de 79 ans.

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    Photo Collection Yves Saddier

    Au deuxième plan, Dominique Sancho

  • Il est venu le temps des coupes rases

    2020 Ecocide Tougnets 25 juillet 003.jpgCela s’est passé près de chez nous, en juillet 2020, sur les hauteurs du col des Tougnets. L’activité forestière était alors très intense sur un secteur marqué par la tragédie du 4 juillet 1998, lorsque l’hélicoptère Écureuil du Samu de Carcassonne avait heurté à pleine vitesse la ligne de crête.

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    S’il est permis de penser que les intervenants équipés l’été dernier de machines dernier cri, ont oeuvré en toute légalité, il n’en demeure pas moins que ces coupes franches et rases, dénaturent le paysage. Nuisances visuelles auxquelles il faut ajouter et c'est plus grave, les profondes cicatrices laissées en sol et sous-sol.

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    Ces travaux avaient alors pu émouvoir, comme l'indiquent des inscriptions au sommet du col des Tougnets