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  • Une petite Eloïse est née

    Le Foll Éloïse.jpgÉloïse Le Foll est rentrée à la maison.

    Une jolie petite fille prénommée Éloïse, Marie, Émilie, a vu le jour le mercredi 16 octobre à Narbonne, pour le plus grand bonheur de Frédéric Le Foll, chargé d'affaires à Castres Equipement, et de Lise Chevallier, auxquels nous présentons de sincères félicitations. L’heureux événement a eu pour cadre la maternité de l'hôpital de Narbonne où maman travaille, et où Eloïse, 53 cm pour 3,620 kg, a reçu la visite de sa grande soeur Maëlys.

    Sincères compliments à la famille, aux grands-parents, Anne et Marc Chevallier résidant à Tulle, Mathilde et Michel Le Foll domiciliés au hameau du Cazal à Chalabre. Des souhaits de prompt rétablissement accompagnent la maman, avec nos meilleurs voeux de santé et bonheur à Éloïse. 

  • Quand Poupou passait faire un tour au France

    Ce siècle avait un an, et la société du Tour de France avait eu la bonne idée de mettre le Kercorb sur la feuille de route des forçats du même nom. Le vendredi 20 juillet 2001, le Tour ou plutôt la caravane faisait escale en Kercorb à l’occasion de l’étape Perpignan-Ax Bonascre.

    Un petit retour dans le temps, en guise d’hommage envers celui qui a rejoint le panthéon des champions, ce mercredi 13 novembre 2019.

    2001 Poupou et Gem hôtel de France 002.jpg« Poupou » et « Le Grand Fusil » accueillis à l’hôtel de France, aux côtés des Festejaïres del Cazal (Photo archives 20 juillet 2001).

    Vendredi 20 juillet 2001, les salons de l’hôtel de France retrouvaient l’ambiance des grands jours, avec l’entrée de Raymond Poulidor et Raphaël Geminiani. D’autant que par le plus pur des hasards, les Festejaïres del Cazal se trouvaient là, avec leurs instruments de musique. Invités à se joindre à la fête, Poupou et le Grand Fusil s’étaient très gentiment prêtés au jeu, s’accordant un petit intermède musical offert par les solistes de l’OPVC trop heureux de soigner leurs partitions pour deux sympathiques champions. A la nuit tombée, les Festejaïres quittaient l’hôtel pour le Cazal, au petit jour, « Poupou », « Gem » et l’équipe partenaire du maillot jaune regagnaient les Hautes-Pyrénées et le peloton.

  • Braconnier, prêtre, paysan ou fonctionnaire du roi ?

    flurisLa légende de Fluris court dans les allées du château de Mauléon.

    S’il est en Kercorb une question qui ne manque pas de passionner les citoyens chalabrois, chaque année aux alentours du 13 décembre, c’est sans conteste le mystère qui entoure le personnage de Fluris, disparu dans des conditions à tel point controversées, qu’elles lui ont au fil du temps, conféré le statut de héros légendaire. Bien sûr, la célébration de l’anniversaire de la mort de Fluris, fêtée bruyamment chaque année, reste une énigme mais les Chalabrois désirent-ils vraiment connaître la vérité ? Une seule certitude, établie grâce aux archives communales, le Sieur Jacques Fleury né à Montpellier est bien mort à Chalabre, le 13 décembre 1697 au soir et enterré dans le cimetière de la paroisse le 15 décembre, « avec les prières et les cérémonies prescrites ».

    Dans les bois du château de Mauléon ? Dans la rue du Presbytère, Où, pourquoi et qui a tué Fluris ? Depuis lors, les rues chalabroises s’emplissent une fois par an d’un vacarme assourdissant, pour devenir le théâtre d’un charivari monstre au cours duquel jeunes et moins jeunes viennent protester contre la mort violente de Fluris.

    fluris

    Fluris 2015

    « Ni guerre, ni épidémie, ni occupation n’ont pu interrompre cette bruyante commémoration. Par le seul pouvoir d’une tradition si lointaine et pourtant tellement présente qu’elle réduit le temps à un instant de vie, je me vois sans effort marchant dans les rues de Chalabre au milieu des milliers d’enfants qui au cours des siècles se sont retrouvés dans cet étrange et tonitruant cortège ». Cette évocation de « Fluris » dont l’auteur est bien sûr Chalabrois, est extraite du discours prononcé le 3 janvier 1985 par M. le substitut général Roger Boutellier, lors de l’audience solennelle de rentrée à la cour d’appel de Toulouse. Elle démontre si besoin était, combien le personnage de Fluris occupe une place privilégiée dans la mémoire collective des gens du Kercorb, et il serait de fait surprenant que l’année 2019 tourne le dos à cette fantastique tradition. Rendez-vous sous la halle de Chalabre le vendredi 13 décembre à la nuit tombée, à vos traîneaux, et « méfi al rambalh ! ».

  • Poppy et Bleuet, unis dans le souvenir

    11 novembre à chalabreMathis a participé à l’hommage rendu aux disparus de la Grande Guerre.

    L’Armistice de 1918 a été commémoré lundi avec une cérémonie très suivie par les Chalabrois, rassemblés autour des élus et des associations, auxquels s’étaient joints nombre de ressortissants britanniques installés en Kercorb. Musique et porte-drapeau en tête, le cortège a pris le chemin du monument aux Morts, où la mémoire des 1 400 000 soldats « morts pour la France » a été saluée. Jean-Jacques Aulombard, maire, donnait lecture d’un message de paix, avant le dépôt de gerbe, effectué aux côtés du major Dominique Lorrain, représentant la Délégation Militaire Départementale de l’Aude.

    11 novembre à chalabreEgalement déposée par Martin Smith (photo) au nom de la « Solihull Royal British Legion », une couronne de « poppies », rouges coquelicots, pour ne pas oublier (Lest we forget).

    11 novembre à chalabre

    Le cortège s’est ensuite rendu au mémorial du cimetière Saint-Pierre, où les enfants ont fleuri d’une rose rouge, chacune des onze tombes du carré militaire. Après les chants de la chorale Eissalabra, la cérémonie a pris fin devant la maison commune, aux accents du célèbre Tipperary, offert par l’excellent quintet Batucada.

    11 novembre à chalabre

    Le Major Dominique Lorrain et Jean-Jacques Aulombard ont procédé au dépôt de gerbe

    11 novembre à chalabre

    11 novembre à chalabre

    11 novembre à chalabre

    11 novembre à chalabre

    11 novembre à chalabre

    11 novembre à chalabre

    11 novembre à chalabre

    La tombe d'Antoine Sérié, mort à l'âge de 28 ans, le 4 septembre 1916 à Cerisy-Gailly (Somme)