A 72 h d’une année nouvelle, JIEL nous invite à chasser ces appréhensions qui prennent sournoisement le pas sur les espérances.
Plénitude
Dans la mousse fraîche au soleil de mai
Tout près de grands arbres tu te reposais
Les feuilles bruissaient aux caprices de la brise
Mais le monde tout autour n’avait plus de prise
Tu fermais les yeux pour regarder en toi
Ecouter lentement ton coeur en émoi
Sentir s’écouler de longues secondes
Celles des instants vrais des idées fécondes
De ces moments de grâce si mystérieux
Seule la nature connaît le secret précieux
Quand les bras de Morphée voulaient t’enlacer
Tu sus t’en défaire pour ne rien remplacer
Petit bonheur simple trop souvent oublié
Parfois l’on retrouve l’étoile qui a brillé
Savourer longuement le bien être suprême
Celui qui fait du bien qui n’est jamais le même
Si tu ressens la vie en ce lieu que tu aimes
Tu sauras t’affranchir du monde de ses peines
Si tu ressens l’amour en ce lieu d’habitude
Tu sauras retrouver la belle plénitude
JIEL