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  • Un jour, une image

    Un dimanche au début des années 1950, retour de la messe dominicale célébrée à l’église Saint-Pierre.

    Promenade avec les Amiel.jpg

    Au premier plan, les enfants, Marie-Françoise Saddier Paquette et Jean Désarnaud, derrière, Jean Amiel,  Laurent Amiel et son épouse, puis Simone Désarnaud (leur fille et mère de Jean), dans la poussette Michel Désarnaud, Marthe Serrus, Louis Désarnaud et Malou Saddier.

    (Collection Yves Saddier)

  • Chalabre à la une, 3 février 1996

    Février 1996, l'Indépendant et le journaliste Jean-Paul Charlut sont en résidence au centre socio-culturel des Cèdres, en compagnie des responsables du foyer d'éducation populaire (article et photos, Jean-Paul Charlut ).

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    Journée promotion avec le journal l'Indépendant

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    Demain 4 février, Les archives municipales

  • C’était hier : Les Rois ont visité l’hôpital

    L’article mis en ligne avait été publié dans l’Indépendant, le samedi 3 février 2001.

    hauts-de-bon-accueilUne cour improvisée et gourmande pour un roi plus vrai que nature (photos archives, Janvier 2001).

    Galettes, santons, blanquette et frangipanes ont ravi samedi la vedette, à l’affiche très prometteuse que proposait la petite lucarne aux quelques mordus de rugby qui ont élu domicile à la maison de retraite et long séjour de la rue Saint-Pierre. Tournant le dos au choc Pau-Stade Français, ils ont très sportivement rejoint leurs compagnons pensionnaires afin de célébrer dans la tradition le souvenir de Gaspard, Melchior et Balthazar. Reines et rois ont été à la fête, et nos anciens ont ainsi vécu un après-midi d’exception avec à leurs côtés, le dynamique et toujours aussi dévoué personnel de l’établissement. L’année 2001 démarre dans une excellente ambiance pour les pensionnaires de l’hôpital local auxquels nous présentons nos meilleurs voeux de santé.

  • Les modestes

    Le promeneur peut passer sans les voir, vestiges d’un lointain temps passé, archives de pierres qu’une végétation triomphante éparpille. Pour celles et ceux qui vécurent là, JIEL refait du feu dans la cheminée.

    jiel

    Les modestes

    Dans la mosaïque multicolore à la coiffe blanche,

    Les maisons élégantes n’ont que glace pour feston.

    Leurs fumées de chaleur fuient vers l’horizon

    D’un paysage feutré de dentelles aux branches.

     

    La vie engourdie dans un profond silence s’apaise.

    Les bêtes fourbues, dans l’apathie du soir, sont calmes.

    Sans mot, les hommes, absorbés par les flammes,

    Fument paisibles devant le faitout rougi de braise.

     

    Nul bruit ne vient troubler la chaude veillée du soir

    Qui en ces lieux de durs labeurs, apporte le réconfort

    Pour ces gens qui jamais ne se plaignent de leur sort,

    Economes en paroles et généreux de regards d’espoir.

     

    A l’orée du chemin, chacun garde sa place son destin.

    Dans le courage du quotidien se forgent les valeurs,

    Leurs plus belles richesses qui naissent dans le coeur

    Qui sont celles de leur vie et celles de leurs anciens.

     

    Ils ne verront jamais le sourire enjôleur d’une Joconde,

    Mais chaque jour jouissent de celui de leur bien-aimée.

    Les collines ondoyantes où le soleil aime à se pâmer,

    Sont à leurs yeux plus belles que merveilles du monde.

     

    Mais dans leur modeste vie de petits riens préservés,

    Par la quiétude des songes qui brouillent les pensées,

    De cette mosaïque multicolore à la coiffe distinguée,

    Les fumées de chaleur fuient parfois vers les préjugés.

    JIEL

    jiel