Photos archives
Benoit Lestienne informe qu'il organise le chemin de croix vendredi 18 avril, jour du Vendredi Saint. Le départ est prévu à 15 h depuis l'église Saint-Pierre.
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Benoit Lestienne informe qu'il organise le chemin de croix vendredi 18 avril, jour du Vendredi Saint. Le départ est prévu à 15 h depuis l'église Saint-Pierre.
L'association Atout Fruit lance un appel à bénévoles pour ce mercredi 16 avril, dans la perspective d'une opération entre Mirepoix et Roumengoux, prévue de 13 h à 17 h : « Aidez-nous à pailler, protéger, désherber, supprimer les rejets des porte-greffe,... on a besoin de votre aide. Une nouveauté cette année, avec des chantiers proposant une thématique. Cette semaine ce sera la reconnaissance des essences fruitières ».
Les volontaires ont deux possibilités de rendez-vous : à 13 h à la gare de Chalabre, pour aider à charger le broyat, avec départ en covoiturage à 13 h 30. Ou à 14 h sur l'aire à l'entrée de Roumengoux, sous le pont de la voie verte, au croisement avec la D6.
Le matériel nécessaire sera présent sur place, il s'agira simplement de se munir de ses gants. Pour toute question ou message, contacter Solène au 07 77 77 95 02.
L'article en ligne avait paru dans l'Indépendant, édition du jeudi 16 avril 2020.
Après le virus, « il faudra remettre tout à plat dans une mondialisation détraquée »
Photo archives, Avril 2003
Depuis près d’un mois, les lieux de prière n’accueillent personne mais en cette semaine pascale, la nef de l’église Notre-Dame emplie de lumière, a tout de même vibré. A la faveur des messes du Jeudi saint et du dimanche de Pâques, célébrées à huis clos par l’abbé Raymond Cazaban. « Il faut garder le sourire ! ». De retour de sa promenade quotidienne, l’abbé Raymond Cazaban, échange quelques mots, à distance, en arborant ce sourire « qui doit nous aider à poursuivre le chemin ».
Quelle perception avez-vous de la crise que nous traversons ?
« Plus qu’une crise, nous sommes soumis à la virulence d’un virus que nous ne connaissions pas. Il passe nos frontières, il mord, il tue. Tout ou presque s’est arrêté. Partout. Nos rêves, jusqu’à la démesure, nous ont renvoyé à la mesure humaine et nous avons eu peur ».
Cette situation peut-elle s’inscrire dans le temps ?
« Déjà le sida nous avait laissé un goût amer, n’épargnant ni vieux ni jeunes. Nous n’avions contre lui ni remède, ni contre poison. Il a fallu longtemps… Nous avions même accusé tel ou tel de s’être laissé prendre par sa faute. Aujourd’hui nous n’oserions plus ».
Que vous inspirent les attitudes induites par cette pandémie ?
« Sourcilleux comme nous sommes de la moindre atteinte à nos libertés, nous avons accepté d’un seul coeur de perdre nos aises et nos mobilités, pour ne pas risquer d’être complices de l’épidémie. J’aime que nous soutenions nos soignants, diplômés ou bénévoles. Ils sont chaque jour les plus exposés pour soigner et guérir. Ils ont aussi des enfants, des amis, dont la crainte du pire tourmente leur prière et leur espérance ».
A qui s’adressait votre homélie de Pâques, à huis clos ?
« Je prie pour les milliers de familles en deuil. Je sais qu’elles seront inconsolables. Le prix du sang, quand il faut le payer, est à prix cher, pour tous ceux qui demeurent confinés et qui connaîtront l’après ».
Comment pressentez-vous cet après ?
« Après ? Il faudra tout remettre à plat, dans une mondialisation détraquée, où les sous se feront plus rares, dans nos entreprises mises à mal. Et le virus ne sera pas pour autant éradiqué : il continuera à vivre dans nos rues. Tandis que notre science tentera de le vaincre, notre générosité, renouvelée dans ce drame, se saura plus humaine dans le respect de nos fragilités ».
En attendant sa Majesté Badaluc le 55e, Raphaëlle et Sandrine ont jonglé avec les cintres
Dans la perspective d'une visite très attendue par nos concitoyens, laquelle va se confondre avec un nouveau week-end pascal, les carnavaliers désirant soigner leur tenue à l'occasion de la venue de sa Majesté Badaluc, sont invités à faire au plus tôt un crochet par le n°14 rue Saint-Pierre. C'est là que Sandrine, Raphaëlle et Albanie ont trouvé un point de chute, afin de dresser une riche galerie de costumes qu'elles vont mettre pour première fois à disposition des amateurs de déguisement.
L'occasion d'adresser un clin d'oeil amical à Anne-Marie Sicre, qui en cette année 2025 a passé le relais aux Drôles de Dames, au terme de 35 années dédiées à l'esprit de carnaval. C'est ainsi qu'une collection de costumes constituée pas à pas depuis le début des années 1990, a quitté un grenier voisin de la place Charles-Amouroux, pour rejoindre l'ancienne cantine scolaire, rue Saint-Pierre. C'est là que les Drôles de Dames ont emmené des centaines de costumes, masques et accessoires, dans un local qui hébergeait il y a peu de temps encore l’association de Karaté Shukokai, présidée et animée par Georges Hamida.
Dans ce lieu mis à disposition par la Communauté de communes des Pyrénées Audoises, ce pourquoi elles tiennent à remercier Jacques Mamet son vice-président, les Drôles de Dames vous attendent à partir du samedi 19 avril. Elles seront présentes à partir de 10 heures, et jusqu'à 20 heures, pour permettre aux retardataires de se grimer.
Le lendemain dimanche 20 avril sous la halle, les Drôles de Dames assureront un atelier maquillage à l'attention des enfants. Rendez-vous à partir de 14 h 30, en préambule à l'arrivée des membres du tribunal, attendus à 16 h 30. Pour l'heure, Sandrine et Raphaëlle sont joignables au 06 08 02 06 37 et 07 83 35 95 37, et elles n'oublient pas d'adresser à leur amie Albanie leurs voeux de prompt rétablissement.