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Carnet noir - Page 6

  • Alfred Hernandez n'est plus

    alfred hernandez

    Jeudi 22 février, les Chalabrois accompagnaient vers sa dernière demeure Alfred Hernandez, domicilié au Lotissement du Lac, décédé le lundi 19 février à l'âge de 82 ans. La cérémonie civile célébrée au cimetière de Chalabre a permis à parents et amis de lui rendre un ultime hommage. Né le 8 décembre 1941 à Chalabre, village qu'il n'aura jamais quitté et auquel il vouait un très fort attachement, Alfred Hernandez avait fréquenté l'école des garçons du Quai du Chalabreil. Il emploiera sa vie active comme ouvrier à l'usine de chaussures Canat, jusqu'au milieu des années 1980, lorsque la manufacture cessera définitivement toute activité. Il intègre alors les effectifs de l’industrie textile du Pays-d'Olmes voisin, plus précisément ceux des Etablissements Roudière. Un parcours effectué au pays pour Alfred, qui sera toujours resté insensible à l'appel des sirènes qui l'invitaient à faire carrière à la capitale.

    Depuis la rue d'En Plumet où il résidait dans sa jeunesse, il prendra part activement à la vie associative du village, présent dans le groupe de l'US Chalabre Quinze, entité dont il portera le maillot durant plusieurs saisons au cours des années 1960 et 1970. Le rugby d'abord, avant qu'il ne s'investisse pendant trente et une années aux côtés de ses amis du club de pétanque chalabrois. Responsable du renouvellement des licences, de l’organisation des concours hebdomadaires et annuels, de l’ouverture et de la fermeture des locaux réservés aux pétanqueurs ou aux beloteurs, l’inamovible Alfred avait choisi de décrocher le samedi 17 octobre 2011. Un an auparavant, il avait reçu un diplôme d’honneur de la fédération nationale (photo ci-dessous, Octobre 2010).

    alfred hernandez

    Alfred et Lucienne Hernandez, entourés de Michel Guirao, Alain Valéro

    Sportif dans l'âme, s'adonnant à de régulières séances de footing pour tromper le faux rythme induit par le statut de retraité, Alfred Hernandez était aussi un numismate averti. Quelles que soient les circonstances, la modestie chez Alfred était de mise, mise à mal parfois par les distinctions reçues et méritées, qui lui allaient sans nul doute droit au cœur. Après un dernier témoignage d'affection des siens, Alfred Hernandez a été inhumé et repose désormais en terre chalabroise.

    En ces douloureuses circonstances, très sincères condoléances à Lucienne son épouse, à Patrick et Jérôme ses fils, à ses proches et ses amis, à toutes les personnes affectées par cette disparition.

    alfred hernandez

    Avec les copains de l'USC XV   Saison 1966-1967

    De gauche à droite, debout : Angel Moreno, Gilles Hubert, Robert Gay, Raymond Bousquié, Edouard Garcia, Gilbert Saurel, Didier Hubert, Jacques Montagné, Guy Garros, Raymond Colonges.

    Accroupis : Jean-Claude Sicre, Henri Sancho, Alfred Hernandez, Christian Laffont, Jean Muros, Paul Benet, Roger Grassaud.

  • Carnet noir

    alfred hernandez

    Un dernier hommage sera rendu à Monsieur Alfred Hernandez, domicilié au Lotissement du Lac, décédé à l'âge de 82 ans le lundi 19 février à la clinique Montréal.

    La cérémonie civile sera célébrée aujourd'hui jeudi 22 février à 15 heures au cimetière de Chalabre. La mise en bière aura lieu à 14 heures. Alfred Hernandez repose à la chambre funéraire de la Rose, route de Lavelanet à Chalabre.

    En ces douloureuses circonstances, très sincères condoléances à Lucienne son épouse, à ses deux fils, à tous ses proches et amis.

  • Condoléances

    Joseph Lafforgue 002.jpgLa triste nouvelle est venue de Varilhes où il résidait, Monsieur Joseph Lafforgue né le 15 août 1938 à Montbernard (Haute-Garonne), est décédé à l'âge de 85 ans. Les derniers hommages lui seront rendus lundi 12 février à 10 h en l'église de Varilhes, avant la cérémonie d'incinération célébrée à Pamiers. Joseph Lafforgue reposera ensuite au columbarium du cimetière de Chalabre.

    En ces douloureuses circonstances, très sincères condoléances à Annie son épouse, à ses filles, Marie-Eve Dumons, Fabienne Mamet et Sabine Garros, à tous ses proches et amis, également affectés par cette disparition.

  • Rivel : Après le décès de Claude Chauveton

    claude chauvetonIl y a quelques jours déjà, le samedi 6 janvier en la chapelle Sainte-Cécile de Rivel, un dernier hommage était rendu à Claude Chauveton, décédé à l’âge de 75 ans. Né à Toulouse le 8 août 1948, il était venu vivre à l'âge de 8 mois sur la commune de Rivel, village dans lequel il sera apprécié et dans lequel il aura ses marques, notamment avec sa production de « tougnols » pour les villageois et lors des rendez-vous festifs.

    Son parcours scolaire débuté à l'école primaire de Rivel (1953-1959), se poursuivra au collège et lycée général et technologique de Mirepoix, le lycée actuel (1959-1966). Il rejoint ensuite le lycée Pierre de Fermat à Toulouse (1966-1969), puis l'Ecole Centrale de Lyon (Ecully) de 1969 à 1972, au sein de laquelle il sera ingénieur technique de 1972 à 1975.

    Comme a pu l'évoquer sa fille Laetitia, « Son entrée au lycée Pierre de Fermat ne fut pas son souhait, mais celui du proviseur du lycée de Mirepoix de l'époque, Marcel Mathon, qui souhaitait que Claude, fils d'ouvrier (son père Émile travaillait à l'usine de chaussures Canat), poursuive ses études à Pierre de Fermat, peu de fils d'ouvrier pouvant y faire leur entrée ». Le souhait initial de Claude Chauveton était d'intégrer l'école nationale supérieure d'Arts et Métiers.

    Son parcours professionnel l'amènera à exercer en qualité d'ingénieur, de 1975 à 1991, notamment au sein de la société sidérurgique Creusot-Loire. Il mettra ensuite ses compétences au service de l'enseignement, exerçant dans l'académie de Toulouse, et notamment au lycée Jacquard à Lavelanet.

    Résidant sur les hauteurs du hameau de Luxau, Claude Chauveton oeuvrait pour sa commune et avait à plusieurs reprises brigué les suffrages rivélois. Il effectuait actuellement un nouveau mandat, avec l'équipe municipale élue en mars 2020.    

    Au chapitre des loisirs, il aura plusieurs saisons durant participé aux activités du Cyclo Club du Chalabrais. Une passion pour le vélo qu'il conjuguait avec sa vocation d'ingénieur, à la recherche permanente d'améliorations applicables à la pratique de ce sport. Des travaux qu'il lui arrivait de partager avec ses compagnons d'échappée, qui avaient également le privilège de partager ses pains à l'anis. Malgré ses ennuis de santé, la confection de « tougnols » restait à l'ordre du jour, une spécialité qu'il aimait offrir, notamment lors des vide-greniers, les commémorations ou encore les repas de fête organisés dans la cité rivéloise.

    Pleinement passionné par son métier, à la recherche de nouvelles idées pour faire progresser la chose technique, il était vivement préoccupé par les changements de la société actuelle, menant un combat en quête de solutions en faveur de l’intérêt général. Claude Chauveton laisse le souvenir d'un personnage au grand coeur, doté d'un caractère bien trempé.

    En ces douloureuses circonstances, très sincères condoléances à son épouse Murielle, ses fils Christophe et Cédric, Laetitia sa fille, Marie-Thérèse sa soeur, ses petits-enfants, à toutes les personnes que ce deuil afflige.

    claude chauveton

    Un tougnol pour les amis du club cyclo, à l'occasion d'une fin de semaine dans le Val d'Aran

    Photo archives, Juillet 1997 au sommet du Port d'Envalira