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Rencontres - Page 3

  • C’était hier : Agapes municipales

    L’article mis en ligne avait été publié dans l’Indépendant, édition du dimanche 22 novembre 1998.

    Agapes municipales 1998 novembre.jpg

    Ils ont parlé de tout sauf du boulot

    Photos archives, Novembre 1998

    Les abords du lac de Chalabre servaient tout dernièrement de point de rencontre à une joyeuse équipée, réunie en nocturne à l’occasion d’une fête impromptue. Juste pour le plaisir de se retrouver en toute convivialité, libre pour un soir de toutes obligations professionnelles.

    Employés communaux et employés du District du Chalabrais ont ainsi dressé la table dans un club-house gracieusement prêté par les membres du Tennis-Club du Chalabrais. A l’abri d’une bise d’origine montjardinoise, l’ambiance est montée crescendo tout au long d’une soirée placée sous le double signe de la bonne humeur et de la bonne chère. Tard dans la nuit, la petite vallée du Chalabreil renvoyait encore les échos d’une chaude atmosphère dénuée de mélancolie. Une première à valeur d’expérience, qu’il faudra renouveler au plus vite.

  • Christine Bergougnous présente « Les Yeux Bleus du Désert »

    christine bergougnousElle exerça la fonction de secrétaire en service de cardiologie à Lavelanet, avant de devenir humanitaire autonome, Christine Bergougnous parcourt depuis plus de dix ans le Mali, la Mauritanie et le Maroc, où elle vit en immersion dans les familles qu'elle rencontre. Elle crée des projets culturels et artistiques, organise des évacuations sanitaires pour les enfants en urgence médicale extrême qui n’ont pas accès à la chirurgie et aux soins dans leur pays.      

    Avec « Les Yeux Bleus du Désert », un conte inspiré d'une histoire vraie, Christine Bergougnous évoque l'histoire de quatre enfants atteints de cécité. Quatre enfants de la même fratrie, porteurs d'une maladie congénitale, un glaucome, qui les a peu à peu rendus aveugles et pour lesquels elle n'a pas réussi à offrir des greffes de la cornée. En Mauritanie, ils sont appelés les enfants aux yeux bleus.

    christine bergougnous

    Sidi Mahmoud, veuf aujourd'hui, avec ses enfants

    Entre conte et réalité, avec une grande délicatesse où l'émotion affleure, « Les Yeux Bleus du Désert » emmènent dans une Mauritanie foisonnante d'images, de paysages, de rencontre et d'entraide, où les doutes laissent la place à l'espoir et à la joie. Ainsi, leur père, désespéré de ne pouvoir les faire soigner, s'en remet à la force d'un rêve : il les abandonne sur une route en plein désert, enjoignant à chaque petit de marcher vers un point cardinal différent, afin de trouver, au bout du chemin, la vue. Guidés par l'esprit du désert, les quatre enfants entament un voyage initiatique.
            
    Premier ouvrage, le conte « Les Yeux Bleus du Désert » a été publié par la maison d'édition Elyzad, le vendredi 17 novembre, dans les librairies françaises, suisses, belges et tunisiennes. Christine Bergougnous réside à Camon depuis quelques mois et serait heureuse de pouvoir parler de ce livre et de ses actions en faveur des enfants mauritaniens à Chalabre. Ce livre est devenu son support pour continuer à aider les enfants inopérables dans leur pays. Pour l'heure, elle organise une collecte afin de financer une chirurgie orthopédique au Luxembourg pour un adolescent, avec le soutien de la Chaîne de l'Espoir Luxembourg.

  • Montbel : Un poète à la Maison du Lac

    Le comité des fêtes de Montbel invite à la projection d’un film documentaire sur un artiste marocain le dimanche 19 novembre à la Maison du Lac à 17 h 30, en présence du réalisateur.

    chalal,maison du lac montbel

    Artiste peintre, poète, Chalal raconte l’histoire de son pays, le Maroc, à travers ses œuvres. Chalal a connu les protectorats français et espagnol, la marche verte, le renouveau de la culture et de la langue berbère, la modernisation de son pays. La transmission de cette histoire aux influences multiples est ce qui l’anime. C’est sur cinq millénaires d’histoire que l’artiste puise son inspiration. Le peintre tend à montrer que nous sommes tous la symbiose de plusieurs cultures, peu importe notre nationalité.

    Chalal interpelle l'imaginaire de chacun sur cette mémoire qu’il perçoit « comme une connaissance du soi profond, par la reconnaissance de l’autre dans la diversité et dans la tolérance » : une mémoire plurielle. Ce film documentaire dresse le portrait attachant de cet artiste humaniste et amoureux de l’histoire de son pays.