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Chalabre - Page 1828

  • Jeannette Muros n’est plus

    jeannette murosMardi 13 juin, un dernier hommage a été rendu à Jeannette Muros née Castela, décédée à l’âge de 92 ans. Née le 7 octobre 1924 à Puivert, Jeannette a seize ans lorsqu’elle découvre l’usine Canat, alors installée rue du Pont-de-l’Hers. Les trajets de Puivert jusqu’à Chalabre et l’atelier des échantillons se font en vélo, elle côtoiera l’univers de la chaussure jusqu’en 1982, année de son départ en retraite.

    Peu après la Libération, le 3 juillet 1945, elle épouse Antoine Muros, jeune Espagnol républicain de Màlaga, présent aux côtés des résistants du Maquis de Picaussel. Ils s’établissent rue du Presbytère à Chalabre, et quatre enfants grandiront à leurs côtés. En 1967, la famille est éprouvée par le décès tragique de Jeannot, le fils cadet, disparu à l’âge de 20 ans.

    Militante impliquée dans la vie du pays chalabrais, Jeannette Muros laisse le souvenir d’une personne très sociable, animée d’une grande gentillesse. Entourée des siens, elle s'est éteinte dans la soirée du vendredi 9 juin.

    Le cortège parti de son domicile rue du Capitaine Danjou, l’a accompagnée jusqu’à sa dernière demeure, où elle repose désormais aux côtés de Jeannot son fils, et de son mari Antoine, décédé le 17 novembre 2001. En ces douloureuses circonstances, sincères condoléances à Josette, André et Jackie ses enfants, à ses petits-enfants et arrière petits-enfants, à toutes les personnes que ce deuil afflige.

  • C’était hier : Succès du gala du FEP

    Cet article avait été publié dans l’Indépendant, édition du vendredi 29 juin 2007.

    foyer d'éducation populaire chalabre,sandrine prenantDynamisme et talent ont inspiré les danseurs du FEP (Photos archives juin 2007).

    A la veille d’une nouvelle fête de la musique, les élèves de l’école de danse du foyer d’éducation populaire sont remontés sur la scène du théâtre municipal à l’occasion du spectacle annuel clôturant leur saison. Petits et grands étaient au rendez-vous, pour deux heures de tempo non-stop offertes à un public ravi par les prestations des élèves de Sandrine Prenant, responsable de la section depuis de nombreuses années.

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    La délicate mission d’entrer dans la danse revenait aux « hip-hop babies » du cours d’éveil, naturels et spontanés sur un parquet habitué aux prestations de qualité. Les chorégraphies allaient ainsi s’enchaîner au fil des générations, enfants, adolescents et adultes se relayant pour parvenir à un final avec le concours de tous.

    Très remarquées également, les prestations en solo de Maïlys (jazz) et Yann (improvisation), et en résumé beaucoup de talents réunis sur une scène où modern’ jazz et hip hop auront donné un bel avant-goût de la fête de la musique. Le rideau s’abaissait sous des salves d’applaudissements, rendez-vous était pris pour septembre prochain.

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    Les félicitations de Gisèle Courthez, animatrice du FEP, pour Sandrine Prenant. 

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  • Fêtes du Cazal : Un XIIIe « Bouclier Raymond-Fort » très convoité

    Sport loisir : Les Montpelliérains ont déclaré forfait. Info ou intox ?

    badalucs,cissou boys,claude spanghero,josé sanchezDans le secret, Claude Spanghero et José Sanchez ont sans doute passé contrat.

    A quatre semaines du rendez-vous sportif inscrit depuis 2005 dans le cadre des fêtes du plus prisé des hameaux du Kercorb, la pression est montée d’un cran. En dépit du paravent dressé sur le cours Sully, théâtre de grands travaux d’été, nul n’est dupe des manœuvres ourdies en coulisses, afin de s’assurer de la conquête du « Bouclier Raymond Fort ».

    Enlevé en juillet 2016 par les Cissou Boys de Montpellier, les Badalucs avaient réussi à ramener le planchot en terres cazaliennes, à la faveur d’une remise en jeu disputée le 6 mai dernier dans l’enceinte de l’Altrad Stadium. Hélas, la belle attendue le 22 juillet prochain n’aura pas lieu, et pour cause, le bureau dirigeant des vieilles tiges du Kercorb vient de recevoir la notification du forfait des vétérans montpelliérains. Faut-il voir derrière ce renoncement de dernière minute, la patte de José Sanchez, président des Badalucs ? Aperçu à Valras-Plage en grande discussion aux côtés de Claude Spanghero et de ses partenaires du Grand Chelem 1977. Simple discussion amicale, ou véritable négociation de contrats ? Une seule certitude, la distance qui sépare la station balnéaire de la Place du Peyrou n’aura pas suffi à contenir la rumeur. Affaire à suivre.

    Lien permanent Catégories : Sport
  • Le Cri du Vent dénonce la « frénésie éolienne » des élus

    Environnement : L'association alerte sur le nombre de projets éoliens dans l'Aude.

    photo AG cridu vent 2016.jpgLes adhérents plus que jamais disposés à occuper le terrain.

    Vendredi 16 juin, le Cri du Vent tenait son assemblée générale annuelle à Courtauly. Dans son rapport moral, le président Jean Baudeuf se félicitait du jugement rendu par le Tribunal administratif de Montpellier le 9 décembre 2016, qui déboute Raz Energie de sa demande d'annulation de l’arrêté préfectoral refusant le permis de construire des éoliennes de Montjardin.

    Il précisait combien « il convenait de rester vigilants et mobilisés, car d'une part Raz Energie a fait appel de ce jugement, et d'autre part, une véritable frénésie éolienne s'est emparée des élus audois. On assiste à une inflation galopante des projets : Festes-Saint-André, Saint-Polycarpe, les Corbières, qui viennent s'ajouter aux implantation en cours dans la Montagne Noire, le Lézignanais et le Fenouillèdes ».

    Et d’ajouter : « A ce rythme, le nombre d'éoliennes dans l'Aude devrait pratiquement doubler, passant de 265 machines aujourd’hui, à 500 dans les dix ans qui viennent, faisant de l'Aude un gigantesque parc éolien industriel, ne créant aucun emploi local et chassant les touristes, les résidents secondaires, et les candidats à l'installation ».

    Il invitait les élus audois à ne pas se tromper d’objectif : « En croyant servir l’intérêt particulier de leur village, ils participent en réalité à l'oeuvre de destruction massive de ces paysages ruraux authentiques et préservés qui sont le principal atout de ces villages ».

    Jean Baudeuf rappelait que le Cri du Vent était solidaire des « Amis de Saint Sernin », et qu'il continuerait à les soutenir sur le terrain, « pour empêcher le passage en force et en toute illégalité (par empiètement sur un domaine privé), des camions amenant les éléments d'éoliennes, lesquels, contrairement à ce qu'affirmait la société Valeco, n'ont pas la place de passer sur la voie publique ». Après un symbolique « No pasaràn ! », le président levait la séance et invitait l'assemblée à se retrouver autour du traditionnel verre de l'amitié.