Romain Peille a signé le coup du chapeau.
C’était l’unique affiche de ce premier dimanche d’avril, laquelle opposait les réservistes du FCC II à leurs homologues de l’AS Pexiora II, sur la pelouse du stade Lolo Mazon. Ce match en retard de la 17e journée du championnat de 2e division, a vu un FCC II en quête de points, dominer le deuxième de la poule A sur le score de 3 à 1. Les débats arbitrés par Robin Chacon ont permis aux Chalabrois de retrouver leur football, et de s’extraire ainsi d’une zone rouge dans laquelle ils étaient jusqu’à présent piégés. Si l’esprit d’équipe a été le moteur de ce beau succès, il a également permis aux individualités de s’exprimer, puisque Romain Peille signe un superbe hat-trick, en inscrivant les trois buts pour le FCC II.
Prochains rendez-vous dimanche 10 avril prochain, les deux formations seniors évolueront à l’extérieur. Les doublures du FCC se rendront à La Digne d’Amont où ils seront opposés au Cougaing I (3e). Dans le même temps le FCC I, deuxième au général de 1ère division après sa victoire sur Alzonne, voyagera jusqu’à Saissac pour y rencontrer l’AS Saissac-Cabardès (7e).
Eliot Floch et Lucas Martinez ont réussi leur entrée dans la compétition (Photo archives, Mars 2006).
Jean-Pierre Silvestre, vétéran 3, avoue avoir un peu souffert sur le 40 km.
Lundi 21 mars, la communauté chalabroise apprenait avec une profonde tristesse la disparition de Joël Roncalli, enlevé à l’affection des siens à l'âge de 53 ans. Avec le décès d’un enfant de Chalabre, né le 12 juillet 1962, maints souvenirs sont revenus en mémoire, images d’une maison ouverte sur le cours Sully où Joël aura grandi, aux côtés des siens.
Soliste assidu dans les rangs des musiciens de l’OPVC, la fanfare chère à Papa, Joël assurait sa partition, que ce soit lors de l’accueil de sa majesté Badaluc, ou lors des grandes fêtes du Cazal. Moments heureux qui lui offraient l’occasion de laisser libre cours à son imagination et à ses talents d’artiste. Fidèle en amitié, Joël n’en avait pas moins choisi sa façon de tracer le chemin, préférant devenir plus discret, tout en goûtant le bonheur d’être « Papy », dans la tranquillité d’un chez-lui en bordure de ce cher Chalabreil.


