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Chalabre - Page 2400

  • Le journal du Tour est passé par le France

    Claude Aymar.jpgClaude Aymar aux côtés de Didier, Julien et Marielle.

    C’était un dimanche festif, comme seul le Tour de France peut en procurer, et les cours chalabrois grouillaient d’une multitude cosmopolite, venue encourager les coureurs en partance pour l’Ariège, depuis Limoux. Bien avant que le trio d’échappés, formé de Sergio Paulinho, Martin Kruijswijk et le maillot vert Peter Sagan, ne s’engouffre dans une bastide pavoisée, les journalistes de France Télévisions avaient renoué avec la tradition.

    Comme ils prennent plaisir à le faire chaque fois que la Grande Boucle passe par le Kercorb, les commentateurs sportifs réservent une visite à l’hôtel de France. Une bonne habitude qui date peut-être du Tour 1961, lorsque Robert Chapatte en délicatesse avec un direct imminent, avait essayé de négocier un casse-croûte à Barthélémy Guilhem. Mais ceci est une autre histoire.

    Ainsi, après les consultants Raphaël Géminiani et Raymond Poulidor, les chroniqueurs Gérard Holtz, Nicolas Geay ou Laurent Bellet, Claude Aymar était présent dans les salons du France, accueilli par Didier et Marielle Limouzy, et leur fils Julien. L’occasion d’apprécier la sérénité d’une nuit chalabroise, et de refaire le plein d'énergie. Un copieux petit-déjeuner plus tard, et après avoir échangé quelques mots avec les sapeurs-pompiers de l’adjudant-chef Stéphane Ferrier, il était l’heure pour Claude Aymar de reprendre le fil du Tour. Non sans avoir salué l’hospitalité de ses hôtes qu’il reviendra saluer à la première occasion. 

  • Guy Gougaud nous a quittés

    C’est avec beaucoup d’émotion que nous avons appris le décès de notre compatriote Guy Gougaud, médecin en chef des armées, survenu le 1er août à l’hôpital Val-de-Grâce à Paris, des suites d’une longue maladie. Médecin à 24 ans, Guy Gougaud a servi dans plusieurs grands hôpitaux militaires. Chef du service ophtalmologie à l’hôpital universitaire Larrey de Versailles, il quitte l’armée à 44 ans, année de son inscription au grade de général, pour poursuivre une deuxième carrière à la clinique ophtalmologique de Thionville. Guy Gougaud aimait profondément Puivert, son village, où il repose désormais. 

    A sa femme Monique, ses enfants Emmanuel et Olivier, à sa sœur Maryse, son filleul Philippe, son cousin Edmond, et à toutes les personnes affectées par ce deuil, nous présentons nos très sincères condoléances. 

  • Au rendez-vous des auteurs

    Ch. Derouault.jpgChristophe Derouault, un fidèle au rendez-vous de l’écriture.

    A l'occasion de la remise des prix du 7e Concours de nouvelles organisé par la mairie, en collaboration avec la bibliothèque municipale, de nombreux auteurs régionaux seront présents aujourd’hui samedi 11 août, aux côtés des lauréats 2012. Sur le thème de la sorcellerie, un jury présidé par Philippe Ward a décerné le premier prix à Jean-Marie Calvet pour sa nouvelle "Les pétrifiés", Grégory Hirson décroche le deuxième prix avec « La page déchirée ». Le troisième prix revient à Mme Valérie Simon pour sa nouvelle « Le sourcier et la jeune fille au bord du gouffre ». Un beau palmarès qui couronne pour première fois un Audois, puisque le lauréat 2012 réside à Naurouze-Labastide.

    Comme chaque année, un recueil dans lequel le lecteur pourra retrouver l’ensemble des textes primés, sera édité. Une exposition intitulée "6 projets pour une couverture ", proposée par Christian Wallon, à qui les organisateurs doivent l’œuvre illustrant la couverture de la livraison 2012, sera visible, ainsi qu'une expo de la bibliothèque départementale, intitulée "Boîte à nouvelles".

    Rendez-vous à la mairie, cours Sully, aujourd’hui de 15h à 18h pour une rencontre avec les auteurs. La remise des prix du Concours 2012, assurée par Noëlle Danjou et Christian Guilhamat aura lieu à 15h30. Avec la participation de Arnot, Jean-Marie Calvet, Christophe Derouault, Even, Lise Guilhamat, Marie-Christine Lacube, Jean-Marc Lofficier, Randy Lofficier, Richard D. Nolane, Jean-Luc Rivera, Philippe Ward, et l’association Il était une fois Chalabre. 

  • Le trio gourmand des Chevaliers du Tougnol

    Nouvellement créée, la confrérie des Chevaliers du Tougnol a pour objectif la promotion d'un pain à l'anis, véritable gourmandise.

    confrérie des chevaliers du tougnol

        Contrairement aux Trois Mousquetaires, les Chevaliers du Tougnol sont trois.

    A la faveur du vide-grenier organisé dimanche 5 août par l’association « Bon’Action » et sa présidente Geneviève Carbou, les nombreux chineurs déambulant sur les cours de la bastide ont eu la primeur d’une plaisante nouvelle. Un trio gourmand et accro à une spécialité à l’anis dont la formule reste à ce jour secrète, a mis sur pied la « Confrérie des Chevaliers du Tougnol ». Par cette initiative, ils souhaitent promouvoir une pâtisserie dont la seule évocation remet en mémoire des enseignes disparues, et qui avaient pour nom Huillet, Paquier, ou Calbo.

    Cette confrérie, dernière née des associations chalabroises, dont le siège se trouve au 2 Quai du Pont-Vieux, est présidée par Romain Sicre, Sébastien Danjou en est le secrétaire, Olivier Carbonneau le trésorier. Priorité des priorités, la promotion d’une spécialité du Kercorb, et le rétablissement du concours de confection du « tonhol », initié en 2001, et actuellement absent des programmes festifs. Egalement prévues, des cérémonies d’intronisation, dans les locaux de l’ancien hôtel-restaurant Pont. La visite sur le vide-grenier des écuyers du château, emmenés par Gilles Roméro, est venue confirmer que les adoubements pourraient aussi avoir lieu dans la salle d’armes de la vieille demeure des De Mauléon. Comme le précise le président Romain Sicre, « un minimum d’engagement à la vie de l’association sera demandé, et l’adhésion se fera sur la base de critères très pointus et sérieux, avec notamment onze épreuves à effectuer le jour de l'adoubement ».

    Le bilan de cette première journée d’animation est plus que positif, en effet, avec quarante repas servis et 55 « tougnols » vendus, l’association a assuré deux mois de location pour son siège. Les Chevaliers du Tougnol tiennent à remercier Alain Poincheval pour la peinture gracieusement offerte, et Frédéric Paillard pour les paniers en osiers destinés à présenter les tougnols. Dernier petit détail, l’enseigne de la confrérie (photo ci-dessous) sera posée très prochainement au siège, superbe repère indiquant l’accès à une magnifique salle de réception. 

    confrérie des chevaliers du tougnol