Christopher Gomez et Gaby Martel ont donné du fil à retordre aux « jaune et noir ».

Dimanche 3 octobre, le FCC engagé en D1 accueillait son homologue de l’US Belpech (D2), dans le cadre du 2e tour préliminaire de la coupe Victor-Lopez. Les deux formations victorieuses lors de la première manche se disputaient le leadership de cette phase qualificative, à la faveur d’un match arbitré par Aniss Friyed. Engagée sous une pluie fine qui prendra de l’intensité au fil des minutes, la rencontre verra une légère domination des « jaune et noir » de l’ASB, tandis que le FCC bien en place en défense, étouffera toute velléité adverse. Il faudra attendre la demi-heure de jeu pour voir les Chalabrois percer le plafond, grâce à une montée de l’arrière latéral Gabriel Martel. Ce dernier se présente seul devant le gardien pour loger le ballon dans le petit filet, contre-pied parfait, 1 à 0 pour le FCC (34e minute). Deux minutes plus tard et sur un coup-franc du capitaine Hugues Ferrié, le gardien bellopédien peine à capter un ballon glissant. Sylvain Bouillat en embuscade envoie le cuir dans le filet, 2 à 0 pour le FCC (photos ci-dessous).

Après la pause, le onze drivé par Guillaume Lacoste parviendra à prendre l’ascendant sur des visiteurs désorientés par un score à leur désavantage, d’autant que le gardien Grégory Boulbès signe un sans faute sur sa ligne. Auteurs de plusieurs arrêts réflexes, la doublure d’Alexandre Cassagnaud aura parfaitement assuré l’intérim, parfaitement intégré dans une défense qui retrouvait pour l’occasion Loïc Abénia. L’heure de jeu écoulée, un corner venu de la droite permettra à Sylvain Dumons de signer un nouveau but de la tête, 3 à 0, score final. Prochain rendez-vous en coupe, le dimanche 28 novembre au Mas-Saintes-Puelles. Le retour en championnat est prévu le dimanche 10 octobre, avec la réception à Lolo-Mazon du Razès Olympique (15 h).

Un sans faute pour Grégory Boulbès, impeccable dans les bois

 La pointe de l'attaque était animée par Sylvain Dumons

Le capitaine Hugues Ferrié a su remobiliser ses troupes en seconde période

L’article mis en ligne avait paru dans l’Indépendant, édition du vendredi 4 octobre 1996.

L’Homme de Tautavel a posé avec nos écoliers  (Photo archives, septembre 1996).

Dans le cadre de ses activités pédagogiques, l’école Louis-Pergaud faisait vendredi dernier une escapade en pays catalan, chez l’Homme de Tautavel. En visitant le superbe musée de la Préhistoire, les élèves des classes primaires se sont familiarisés avec le quotidien, les habitudes et les conditions d’existence d’un ancêtre de 450.000 ans d’âge. Devant la fidèle reconstitution de la grotte, nos élèves n’ont eu aucune peine à imaginer la difficile cohabitation entre ours et hommes des cavernes, en concurrence pour l‘occupation de l’abri naturel que constituait la fameuse grotte de Tautavel. Très attentifs au cours de la visite, nos potaches ont semblé être assez impressionnés par la complexité des rythmes du froid, et l’inquiétante régularité avec laquelle réapparaissent les périodes glaciaires. Certains sont à présent persuadés qu’une glaciation imminente menace la Terre… d’ici 3 000 à 7 000 ans.

La classe de CM1 avec Jean Plauzolles

L’article mis en ligne avait paru dans l’Indépendant, édition du jeudi 4 octobre 2001.

Le conseil d’administration du S.I. autour du président Jean-Pierre Brzesc (Photo archives, septembre 2001. De gauche à droite, Dominique Martinez, Jean-Noël Carbonnel, Marie-Annick Serrus-Crampagne, Jean-Pierre Brzesc).

Le conseil d’administration s’est réuni dans l’ancienne salle du conseil municipal, cours Sully, sous la présidence de Jean-Pierre Brzesc. Le bilan financier fait apparaître un compte positif à la date d’aujourd’hui, « un compte à modérer dans la mesure où il nous faut fonctionner durant les longs mois d’hiver ». Le S.I. constate une augmentation de sa fréquentation, surtout au mois d’août, «  grâce à nos amis belges et néerlandais ».

Tout irait bien dans le meilleur des mondes si quelques problèmes ne venaient pas ternir un contexte favorable. Les poubelles et principalement les bouteilles plastiques défigurent l’entrée de Chalabre lorsque l’on arrive de Mirepoix, elles donnent une bien piètre carte postale pour les touristes. Le GR 7 qui mène à la chapelle du Calvaire est obstrué par les travaux de la nouvelle montée vers l’usine IDF.

« Nos touristes, les Chalabrois et les Chalabrais, ont le droit de conserver cet accès. Notre camping a perdu 1/3 de ses clients, il faut trouver dans une politique globale du tourisme, les moyens d’inverser la situation. Des animations estivales sur place, sont une première piste. Pour que Chalabre et le S.I. aient leur mot à dire sur l’aménagement à venir du lac de Montbel, il faut, au minimum, que nous ayons un pied dans ce lac. La seule alternative à une éventuelle exclusion serait d’acheter le terrain de Parégas, qui donne idéalement sur la partie à niveau constant ».

Autre information, Les responsables du SI sont partenaires d’un projet de création d’une association « Pays d’Olmes, Mirepoix, Chalabrais, le renouvellement de la plaquette d’informations touristiques se fera à l’année qui vient. Le conseil d’administration accepte avec regret la démission de M. Salvat de son poste de l’équipe dirigeante, et le remercie pour le travail effectué. Le verre de l’amitié a clôturé cette réunion.

De gauche à droite

Odette Carbonnel, Alain Croësi, Noël Gonzalez, José Navarro, Jacques Brady

Les coureurs au départ du 14 km, avec Guillaume et son équipe de Grésigné 81, prêts à renouveler l'expérience de novembre 2019. 

Samedi 2 octobre, la place Charles-Amouroux accueillait les adeptes de course nature, venus en pays chalabrais à l’invitation des Foulées du Kercorb. Invitation particulière puisque le club du président Pascal Ilhat, organisateur de l’événement, avait été contraint en milieu de semaine, d’annuler un rendez-vous officiel très attendu depuis 2019. Et pour cause, le nombre insuffisant de participants inscrits sur les deux parcours d’abord proposés, allait à l’évidence hypothéquer l’équilibre financier de l’association.

Toutefois, les amateurs de marche et de trail étaient conviés à se présenter sur la ligne de départ, pour deux exercices sportifs, non assortis à chronométrage. Ainsi à 14 heures, 38 marcheurs prenaient le quai de l’Abattoir à contresens (photo ci-dessus), pour un tour de ville qui les aura en quelque sorte mis en orbite autour des hauts de Chalabre, avec visite des lacs du Bourdil, des pommiers de Sonnac, le retour étant prévu par le Chemin de Croix, après avoir goûté à une vue imprenable depuis la chapelle du Calvaire.

Le président Pascal Ilhat donne les dernières consignes aux coureurs

Côté course et sur un parcours à peine plus long, près de vingt-cinq coureurs partis peu après par la rue du théâtre Georges-Méliès, viseront à rejoindre l’itinéraire des marcheurs. Au total, 14 kms qui auront permis à Guillaume, embarqué sur un fauteuil tout terrain monoroue (joélette), de vivre au plus près une course en équipe, aux côtés de l’association sportive des trailers de Grésigne (ASTG 81). Tout comme il avait pu le faire en 2019, mais avec une météo idéale cette fois, pour profiter de la beauté d’un tracé empruntant les nombreux points dominant la cité chalabroise.

Cette journée particulière s’est terminée sous les platanes du boulodrome et en toute convivialité, chacun espérant que l’édition 2022 rassemble les éléments d’un bon millésime. Le club renouvelle ses excuses pour les désagréments inhérents à l’annulation des 4e Foulées du Kercorb, et remercie toutes celles et tous ceux qui ont permis à ces rencontres d’avoir lieu, malgré tout.  

C'est parti pour 10 km en marchant

Les premiers coureurs emmènent un train soutenu 

Une première bosse pour Guillaume et les amis du club Grésigné 81, accompagnés par Jean Quério, président du Cyclo Vtt Club du Chalabrais, et David Bonnery de Ségovent

La course prend de la hauteur via le raidillon de Bon-Accueil

Il va falloir s'économiser,...

... le soleil est en effet de la fête

Petit pas petit pied, pour Sophie et Valérie qui gèrent l'effort

Laurent Mamet, préposé au poste de serre-file

Les pensionnaires du Ménéchal avaient cru comprendre que la course était annulée