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Chalabre

  • Une technicienne de cils s’installe à Chalabre

    aude,lashmoiça chalabre

    Avec l'année qui se termine, la cité chalabroise accueille une nouvelle professionnelle du bien-être, installée récemment. Aude, technicienne de cils, spécialisée dans la mise en valeur du regard a pour objectif de « sublimer les yeux grâce à des prestations soignées, accessibles aussi bien aux femmes qu’aux hommes ».

    aude,lashmoiça chalabreDans un espace cosy et chaleureux, chaque rendez-vous est pensé comme un véritable moment de détente et de bien-être. À l’écoute de ses clients, elle accorde une importance particulière à l’échange et au conseil, afin de proposer une prestation personnalisée et adaptée à chaque regard.

    Passionnée par son métier, elle sera ravie de rencontrer, discuter et partager son savoir-faire, avec la promesse d’un regard lumineux et de cils parfaitement mis en valeur.

     

    Contact et réservations : LASH MOI ÇA ! au 06 58 53 50 22

    Facebook : LASH MOI ÇA

    Instagram : lashmoica

    aude,lashmoiça chalabre

  • C’était hier : Julien Saddier promu capitaine sapeur-pompier

    L’article en ligne avait été publié dans l’Indépendant, édition du samedi 30 décembre 2000.

    julien saddierJulien Saddier signe un brillant parcours

    Photo archives, 2000

    Héritiers d’un corps de sapeurs-pompiers créé au printemps 1951, les pensionnaires du centre de secours Charles-Jean-Cabanier ont toujours fait honneur à leurs aînés. Nos soldats du feu n’ont jamais failli à leur mission, la cérémonie de remise de fourragère le 16 décembre dernier en est le témoignage. Issu de ce jeune et dynamique groupe, Julien Saddier vient d’obtenir avec succès le concours d’entrée dans le corps professionnel des Pompiers de Paris, où il avait déjà servi dans le cadre de son service militaire, de 1995 à 1996.

    Avant cela, une scolarité chalabroise marquée par l’obtention du premier prix départemental du concours national de la Résistance, amènera Julien Saddier à fréquenter le lycée nationalisé mixte de Limoux, où il décroche le Bac B. Un parcours qu‘il va poursuivre en IUT à Lorient puis à La Ciotat avant de réussir un DEUG à la faculté de Rouen. Ultime étape avant la présentation à Paris du concours qui lui vaut aujourd’hui l’attribution du grade de capitaine, et l’entrée dans le cercle très fermé des Pompiers de Paris. Sportif accompli, ce rugbyman qui opère en seconde ligne, est aussi un fervent collectionneur de tout ce qui se rapporte à la seconde guerre mondiale.

    En adressant de vives félicitations à Julien Saddier et aux siens, nous saluerons également les récentes promotions de Thierry Cnocquart et David Lara, pompiers professionnels respectivement sapeur auxiliaire au centre ariégeois de Foix et matelot dans le bataillon des marins-pompiers de Marseille. Sans oublier Philippe Cnocquart, ancien cadet lui aussi des sapeurs chalabrois, actuellement capitaine et responsable à ce titre, du centre d’intervention et de secours de Foix.

  • C'était hier : Quand Chalabre était l’autre pays du camembert

    L'article en ligne avait paru dans l'Indépendant, édition du samedi 26 décembre 2020. Un article plus complet sur les activités de Louis Leplomb a été publié dans le Tome XVI, édité en mai dernier par l'association Il était une fois Chalabre.  

    louis leplomb

    Cette coque était réglée sur l’heure du laitier

    Photo archives, mars 2019

    Lequel était là le premier, du petit bois de chêne ou de la Renault Nova 4, pour laquelle le temps s’est définitivement arrêté ? Ce vestige automobile, auquel était autrefois attelé une remorque, appartenait à Georges Garros († 1963), métayer à la ferme de Saint-Antoine. Avec les travaux de l’exploitation, Georges Garros collectait au quotidien, le lait en bidons d’aluminium, sur un secteur allant de Chalabre à Sainte Colombe-sur-l’Hers et Montbel (Ariège). Cette activité était destinée à approvisionner la fromagerie sise sur la route de Lavelanet, juste après la maison du Foulon Nord, aujourd’hui appelée L’Escale.

    louis leplombGeorges louait ainsi ses services à André Louis Leplomb (photo), natif de Paris (XVe), établi là depuis le 1er janvier 1954. Avec le concours de son épouse Geneviève, née Röösli, le fromager Leplomb avait acquis une belle renommée au-delà du Kercorb et du Plantaurel réunis. Il avait également anticipé les avantages du marketing, comme en témoigne l’étiquette accompagnant sa production (photos ci-dessous).

    louis leplomb

    Une réclame d’époque, en faveur du Délicieux

    © Photos Collection Raymond Crampagne

    Au volant de sa fourgonnette Peugeot, immatriculée 699 BM 11, notre fromager partait vendre sa production sur les marchés de la région. Le 24 novembre 1960, il quittera Chalabre pour Villefranche-de-Rouergue, tandis que Georges Garros poursuivra son travail de collecte pour la laiterie voisine de Rieucros (Ariège). Voilà comment la cité du Kercorb laissait échapper un label de caractère, c’était il y a soixante ans tout juste.

    louis leplomb