Le film documentaire de Thierry Gentet propose une réflexion sur la gestion durable des ressources en eau.
Il y a urgence à mettre en place de nouvelles pratiques.
A l’initiative de l’association Lictp-Chalabre (Liens et Initiatives Citoyennes en Terre Privilégiée), une rencontre était proposée le jeudi 19 novembre, au Moulin de l’Evêque à Rivel. En présence de Thierry Gentet, réalisateur du film documentaire intitulé « Quand la Garonne aura soif », une nombreuse assistance a pu partager les inquiétudes suscitées notamment par le réchauffement climatique.
Accueilli par Roland Da Costa pour LicTP, Thierry Gentet (photo) a expliqué comment son film, non militant, prend le parti de raconter une histoire, à travers le périple d’un guide de montagne qui parcourt à pied les 580 km qui séparent la source de l’estuaire de la Garonne, et qui en fin de voyage fait le bilan.
« Tout cela est basé sur des données scientifiques de l’Agence de l’eau. En 2050, si nous restons bras croisés, la Garonne aura un déficit d’un milliard de mètres cubes. Dans mon documentaire, nous parcourons 150 ans, de 1900 à 2050. Les glaciers ont pratiquement disparu des Pyrénées (il reste 20 km²), et à l’horizon 2050, nous aurons 30% de neige en moins. Avec une évaporation accélérée dû à la chaleur, une consommation d’eau démesurée pour l’agriculture, et sachant que Toulouse tire son eau potable à 97 % de la Garonne, l'heure est venue d'imaginer des solutions. Barrages, retenues collinaires, économie d’eau grâce à une autre agriculture, nouvelles techniques pour piéger l’eau,… je pose le problème ».
Au terme de la projection, les intervenants ont évoqué quelques pistes ou solutions de bon sens. Comme une timide lame d’optimisme, pour chasser les nuages qui s’amoncellent sur le grand fleuve.
Roland Da Costa et le bureau de l'association « LicTP » ont assuré l'accueil du public.
La cérémonie des obsèques religieuses de Francine Loupia née Vidal, décédée à l’âge de 87 ans, a été célébrée jeudi 26 novembre. Domiciliée 5 rue des Boulangers, la regrettée défunte était née à Vira (Pyrénées-Orientales), le 13 novembre 1928. Très jeune et pour raisons familiales, elle rejoint le pays du Chalabrais, où elle fait la connaissance de René Loupia, un jeune Villefortois avec qui elle fondera un foyer. Tous deux employés dans l’industrie de la chaussure, ils se rapprochent de Chalabre et s’installent dans la maison du quartier des Bains-Douches. Après le décès de son époux, survenu en 1998, Francine Loupia continuera à se consacrer à ses proches, recevant les visites régulières de ses sœurs, neveux et nièces, heureux de s’asseoir autour d’une table gourmande. Sa passion pour le jardinage occupait également ses journées, consacrées à l’entretien assidu de son potager en bordure de l’Hers. Un dernier hommage lui a été rendu sous la nef de l’église Saint-Pierre, avant son inhumation dans le caveau de famille où elle repose désormais auprès de son époux René. En ces douloureuses circonstances, très sincères condoléances à sa famille.
Le comité cantonal de la Fnaca de Chalabre tiendra son assemblée générale le mercredi 9 décembre à 10 h à la mairie, cours Sully. Tous les anciens combattants ainsi que les veuves d’anciens combattants sont les bienvenus à cette réunion, à laquelle participera Gérard Fraticola, président départemental de la Fnaca. A l’ordre du jour, compte rendu moral et financier de l'exercice 2015, informations et questions diverses, démission du bureau et appels à candidatures pour l’élection d’un nouveau bureau. Election du nouveau bureau. Préparation de la célébration du mercredi 19 mars 2016. La vente des cartes d’adhésion se tiendra en début de réunion.
Les responsables de la Haute-Vallée avaient répondu présent.