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Associations - Page 135

  • Des fleurs pour le Calvaire

    ensemble pour le calvaire

    Elles sont embarquées dans un nouveau projet, Julie Smith, Bernadette Larrue et leurs équipes, sont en train de crocheter de nombreuses fleurs colorées, pour une décoration destinée à orner l'extérieur de la chapelle du Calvaire de Chalabre, pendant l'été.

    Ensuite, l'automne venu, les fleurs seront proposées à la vente, afin de soutenir financièrement le  prochain et beau projet de l'association « Ensemble pour le calvaire », qui va consister à rénover l'appartement de l'ermite. Pour mémoire, Jean-François Vidalat semble avoir été le dernier ermite de la chapelle, jusqu’en 1840, date de son repli vers Chalabre.

    Comme le précisent Julie et Bernadette, « Nous avons besoin de beaucoup plus de fleurs encore avant la fin du mois de juin. Donc si vous, ou quelqu'un que vous connaissez, souhaite participer à ce projet pour fabriquer et donner des fleurs, il est possible de contacter l'association Ensemble pour le Calvaire (alegrechalabre@gmail.com), qui pourra fournir plus de détails. Un grand merci par avance ».

    ensemble pour le calvaire

    ensemble pour le calvaire

  • Conférence de l’UPEK avec Roxana Dascălu

    upek,roxana dascăluL’Université Populaire en Kercorb (UPEK) propose un nouveau rendez-vous le samedi 14 mai à 17 h au théâtre Georges-Méliès (Chalabre). La rencontre  permettra à Roxana Dascălu d’évoquer « L’influence des femmes roumaines dans la culture française ».

    Roxana Dascălu est journaliste, ancienne grand reporter pour l’agence internationale de presse Reuters. Elle a écrit beaucoup sur la difficile transition du communisme vers une société démocratique de la Roumanie et d’autres pays de l’Est. Elle est aussi traductrice et écrivain, établie en France avec son mari, artiste céramiste d’origine roumaine. Ils vivent dans un moulin du 18e siècle, situé entre Aude et Ariège.

    upek,roxana dascăluRoxana Dascălu reviendra sur le destin de trois femmes roumaines qui ont influencé la culture française au 20e siècle, siècle qui a notamment été marqué par l’émancipation des femmes et l’obtention du droit de vote. Trois femmes roumaines, toutes trois aristocrates de sang et d’esprit, ont laissé leur marque sur la culture française : Anne de Noailles, Elena Vacaresco et Marthe Bibesco.

    Amies des grands écrivains, artistes et poètes, elles ont tenu des salons littéraires à Paris et leur talent littéraire a été couronné par de nombreux prix et distinctions au siècle passé. L’une d’elles a même été à l’origine du prestigieux prix Femina. Roxana Dascălu vous propose donc une incursion dans les milieux littéraires et artistiques du Paris du début du 20e siècle et de la Belle Époque, en compagnie de trois femmes écrivains originaires de Roumanie, qui ont trouvé en France leur terre d’élection.

    L’accès est gratuit pour les adhérents, participation libre pour les non adhérents.

    Courriel : upek11@laposte.net

    Blog : http://upek.over-blog.com

  • C'était hier : Premier essai et premier succès pour l’association «Alic »

    L'article mis en ligne avait paru dans l'Indépendant, édition du dimanche 6 mai 2012.

    La place Charles Amouroux accueillait samedi 28 avril, la première édition de l’opération baptisée « Rencontres cadeaux », créée à l’initiative de l’Association Liens et Initiatives Citoyennes en Terre Privilégiée (Alic). Après une timide mise en route, toutes les tables dressées sous la charpente de l’ancien abattoir se sont remplies et vidées à la fois. Une bonne soixantaine de personnes curieuses et intéressées sont venues apprécier un concept inédit dans le canton. Comme le déclarait Bernadette Larrue, membre de l’association : « Tout le monde a apprécié, tant les gens qui donnaient, que ceux qui recevaient sans donner. Certains n’osaient pas prendre parce qu’ils n’avaient rien donné. Par ailleurs, on sent qu’il y a un réel besoin ».

    L’occasion également pour les bénévoles de l’Alic, d’expliquer comment le but recherché est de faire de nouvelles connaissances, et de partager un moment de convivialité privilégié. L’animation pourrait d’ailleurs être renouvelée au rythme d’une fois par mois. De nouvelles actions pourraient prendre la forme d’un « vide-poussette », ou plus largement encore de « garage sales » : le village tout entier serait invité à participer, les intéressés déposant devant leur porte ou leur entrée de garage, les objets qu’ils veulent vendre : « une activité qui fait fureur au Canada et aux Etats-Unis ».