Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

C'était hier - Page 229

  • C’était hier : Les brouettes ont rayonné sur les pavés du Cazal

    L’article mis en ligne avait été publié dans l’Indépendant, édition du lundi 29 juillet 2002.

    fêtes du cazal 2002Sébastien et Benoît Danjou ont brillamment remporté cette VIe édition (Photos archives, juillet 2002).

    La 6e édition de la course internationale à la brouette se déroulait dimanche 21 juillet sur le circuit du Cazal, en présence d’équipages venus de tous horizons, et ayant brillamment satisfait aux tests de présélection.

    fêtes du cazal 2002

    Avant la bagarre des as, les petits loups étaient invités sur la ligne de départ. Charlie et Thibaut, aux couleurs de Châteauneuf-les-Martigues, seront les grands vainqueurs de la course enfants. A noter qu’au départ, un seul équipage manquait par rapport à 2001.

    A 18 heures, place aux dingos de la brouette, et après la présentation des pilotes, de leurs sponsors et des quatorze bolides en lice, Jean-Paul Subreville abaissait le drapeau libérant les concurrents de cette VIe édition.

    fêtes du cazal 2002

    Au passage de l’entonnoir et avant d’attaquer la terrible Descente de Rose, Boubou et Mathias managés par l’Hôtel de France passaient en tête. Suivis comme leur ombre par Sébastien et Benoît, un duo venu de Villefort et qui avait embarqué à son bord le sourire énigmatique de la Joconde. Rappelons ici que ce n’est pas le génial Léonard de Vinci qui a inventé la roue. Derrière, la sélection est impitoyable, tandis que les favoris sont déjà dans les premiers lacets du col de Jo. Au premier passage dans les stands, les mécanos de Villefort font des prouesses, tandis que Manu et Francis remplacent eux-mêmes quatre rayons. Gégé et Zonzon aux couleurs d’El Chupito viennent taquiner les leaders, mais en vain, un tonneau à la Porte de la Chapelle vient ruiner leurs espoirs.

    Le tournant de la course, comme prévu, se situera au sommet du col de Jo où La Joconde vire en tête pour s’adjuger la victoire finale. Les Frères Danjou peuvent brandir un trophée qui revient une seconde fois au pied du Casteillas, après la victoire en 1997 du couple mixte Lydie Taupin et Jean-Luc Cathala. Egalement sur le podium, Johann et Fabien en deuxième position, et ex aequo pour la troisième place, Boubou et Mathias, Laurent et Gilbert. Un palmarès rehaussé par l’excellente tenue des équipages cadets et juniors, emmenés par Michaël.

    fêtes du cazal 2002

    A noter enfin et au grand dam de leur fan club, la contre performance de Carl et Fred, représentants de l’Aérospatiale, trahis par une paire de boosters d’occasion. Un grand bravo à tous les concurrents, qui ont fait preuve d’une belle imagination et d’une sacrée vaillance, rendez-vous en 2003 pour la VIIe.

    fêtes du cazal 2002

    Thomas Maugard et Jérôme Escande sereins dans leur tablier

    fêtes du cazal 2002

    Manu et Francis au sommet du seul col de la journée

    fêtes du cazal 2002

    Les dernières consignes de Thomas à son poulain

    fêtes du cazal 2002

    Stress intense avant le top départ pour Manu et Gégé

    fêtes du cazal 2002

    Gérald, Mona Lisa, Zonzon et Colin 

  • C’était hier : Rendez-vous sportifs au Cazal

    L’article mis en ligne avait paru dans l’Indépendant, édition du mardi 29 juillet 1997.

    fêtes du cazal 1997Les footballeurs recevaient la formation de Saint-Jory (Photos archives, Juillet 1997).

    Grâce à un riche et très éclectique programme des fêtes du Cazal version 1997, nos sportifs ont eu tout loisir de s’adonner à leur sport favori, l’espace d’un après-midi festif pour le moins caniculaire. Sur le terrain annexe de la route de Lavelanet, les footballeurs du Kercorb avaient fixé un nouveau rendez-vous à leurs amis banlieusards toulousains de Saint-Jory. Une rencontre amicale et bon enfant, dont l’objectif principal, était de permettre à des footballeurs privés de compétition de reprendre le contact avec le cuir, avant de se retrouver devant une bonne table et à la fraîche sur les hauteurs de la banlieue chalabroise.

    fêtes du cazal 1997L’ami Jojo qui la veille avait fait sensation au volant de son Mac Cormick, a une fois de plus volé la vedette aux manchots, dirigeant les débats avec une impartialité qui l’honore.

    Dans le même temps, et sur le stade Lolo-Mazon, se déroulait une rencontre de rugby à XV opposant les sociétaires de l’US Kercorb à la fameuse et redoutable formation des « Agafous », composée d’anciennes gloires loin du déclin. Neuf essais furent signés au cours de trois tiers-temps marqués par de belles envolées, les anciens faisant même souffrir leurs cadets, grâce à un maître quadrillage du terrain.

    A noter l’excellente prestation de Benjamin Jammet, jeune junior chalabrois qui évolue sous les couleurs du Stade Lavelanétien, ainsi que les débuts encourageants du jeune Cédric Courdil, transfuge du Football club chalabrois. Et en définitive, deux matches amicaux qui ont servi de rounds d’observation avant le début des championnats.

    fêtes du cazal 1997

    Agafous et Chalabrois se sont livrés une bataille amicale        

  • C'était hier : Les anciens aux premières loges pour voir passer le Tour

    L'article mis en ligne avait été publié dans l'Indépendant, édition du vendredi 27 juillet 2012.

    hauts de bon-accueilNos anciens apprécient le rendez-vous quasi annuel  avec les géants de la  Grande Boucle (photos archives, juillet 2012).

    Il y avait foule dimanche sur les boulevards de la bastide, à l’occasion du passage du Tour de France. Et dans l’attente du peloton, les pensionnaires de l’hôpital local avaient pris place sur la terrasse du café des Sports. L’occasion de déguster un excellent repas, partagé entre les flonflons bon enfant de la caravane publicitaire, et le passage d’un éclair multicolore fondant vers la cité comtale de Gaston Phoebus.      

    Dans ce décor de fête, rehaussé par les fresques d’Alain Poincheval, en suspension sur les platanes bicentenaires, nos anciens ont pleinement goûté l’ambiance exceptionnelle que génère le « barnum » du Tour de France. Lorsque les clameurs se sont tues, un petit café est venu conclure cette belle journée attendue depuis des semaines. Il était l’heure de rejoindre les salons des Hauts de Bon-Accueil, où chacun a pu raconter dans le moindre détail, le passage de la 15e étape du 99° Tour de France. Rendez-vous en 2013 pour une centième édition à déguster en terrasse.

    hauts de bon-accueil

  • C'était hier : Un tour du Kercorb pour les as du Tour de France

    L'article mis en ligne avait paru dans l'Indépendant, édition du samedi 27 juillet 2002.

    tour de france 2012Georges Hincapie emmène le train postal sur le Pont-Neuf (photos archives, juillet 2002) 

    Il était un peu plus de 13 h samedi lorsque Jaja, Millar, Mazzoleni et Boogard déboulaient dans le virage de l’Hôtel de France après avoir largué le gros du peloton sur les pentes de Montségur. Depuis la rue du Capitaine Danjou jusqu’au rond-point de la Croix-des-Missions et les lacets du col de Saint-Benoît, les Chalabrois et leurs invités avaient investi les bas-côtés avec prudence afin d’encourager « Les forçats de la route ».  

    tour de france 2012

    Les échappés avec Laurent Jalabert et son maillot à pois

    Au passage du Mazamétain porteur du maillot à pois roulant de concert avec Millar l’Ecossais appelé à vaincre sur les boulevards biterrois, une foule bigarrée a fait monter les décibels comme jamais. Même Roger Pingeon qui était passé en 1967 avec près de demi-heure d’avance sur ses poursuivants lors de l’étape Perpignan-Toulouse, n’avait soulevé pareil enthousiasme. Les nostalgiques des vieux tours d’antan auraient sans doute aimé entendre « Polo la science » évoquer le croustillant épisode qui mit aux prises un certain jour de juillet le célèbre Robert Chapatte et Barthélémy Guilhem, grand chef cuisinier de l’Hôtel de France. Mais les accords endiablés des solistes de l’OPVC enregistrés par les caméras de FR3 ramenaient tout le monde au direct et cinq minutes plus tard, le train postal emmenant Lance Armstrong vers Béziers franchissait le Pont-Neuf avec la régularité d’un métronome, tractant derrière lui une chenille multicolore. La formidable parade du Tour de France 2002 venait de faire passer le grand frisson sur le pays chalabrais, grâce aux champions cyclistes et à la société du Tour de France qui peut revenir en Kercorb dès qu’elle le souhaite.

    tour de france 2012

    Les musiciens de l'OPVC ont assuré l'animation d'avant Tour