L’article mis en ligne avait paru dans l’Indépendant, édition du mardi 16 septembre 1997.

Claude Ruiz succède à Hubert Carcy (Photo archives, septembre 1997).

A l’image de leurs petits camarades de l’hexagone, les potaches du collège Antoine-Pons ont retrouvé le chemin des études à l’occasion d’une rentrée qui revêtait cette année un caractère particulier. Hubert Carcy ayant fait valoir ses droits à la retraite en juin dernier, la nomination d’un nouveau proviseur était jeudi matin au centre de toutes les discussions. Les 114 élèves du collège ont ainsi fait connaissance avec Claude Ruiz, qui prend ses nouvelles fonctions en Kercorb après trois années passées au collège Joseph-Delteil de Limoux, où il occupait pour s sa première affectation, le poste d’adjoint auprès de M. Lattes.

Nommé à Chalabre à sa propre demande, Claude Ruiz revient dans un établissement qu’il connaît bien pour y avoir déjà exercé, c’était en 1979, en qualité de professeur d’espagnol au sein de l’équipe d’Hubert Carcy auquel il succède aujourd’hui. Guidé dans son choix par la perspective de diriger un établissement à dimension humaine, le nouveau proviseur du collège Antoine-Pons a d’ores et déjà pris la mesure des qualités de l’équipe enseignante qui l’entoure, compétente, dynamique, et particulièrement à l’écoute des élèves.

A l’occasion de l’inauguration du centre multimédia le 6 juin dernier, Hubert Carcy avait conclu par ces mots : « Il ne suffit pas de parler d’égalité des chances, il faut faire le maximum pour la réaliser ». Une remarque qui s’inscrit pleinement dans le projet pédagogique de Claude Ruiz, très attaché à la notion de service public et prêt à travailler « avec et pour les élèves ».            

En souhaitant à nos potaches une année scolaire riche et studieuse, nous adressons à Claude Ruiz tous nos vœux de parfaite adaptation en pays de Kercorb.

L’article mis en ligne avait paru dans l’Indépendant, édition du dimanche 15 septembre 2002.

Le peloton s’est accordé une pause au sommet du col de la Babourade (Photo archives, septembre 2002).

A l’occasion de la traditionnelle sortir de rentrée, les cyclos chalabrois avaient programmé une petite promenade de santé en compagnie du CV de Villenouvelle, club cher à son président fondateur Robert Guilhemat. Au guidon de leur deux-roues, les représentants de la Haute-Garonne étaient invités à découvrir le Kercorb, visite guidée par le peloton CCC. Depuis Camon jusqu’à Belloc, Léran, le col de Peyrinet, Foncirgue, l’Aiguillon, Bélesta, le col de la Babourade, Puivert, le col de Boyer, Rivel, Sainte-Colombe et Montbel, les deux clubs ont roulé de concert, parcourant une soixantaine de kilomètres à une allure de sénateur, pour ne rien manquer des beautés environnantes. Une promenade effectuée sous un timide soleil, mais dans une franche bonne humeur jusqu’à la place Charles-Amouroux, où s’effectuait la jonction avec l’intendance.

Le vélo étant le seul moyen de locomotion dont le carburant est à fournir directement au pilote, il était urgent de ravitailler, ce qui fut possible grâce à Nicole, Maryse et Christian, un trio sur la brèche depuis le petit matin et aux petits soins pour les invités, jusqu’à la tombée de la nuit. Après une excellente grillade partagée à l’abri de ce qui fut déjà en son temps un terminus, Villenouvellois et Chalabrois effectueront une salutaire séance d’étirements, via une série de duels à la pétanque. Parties acharnées mais loyales, en tout cas idéales pour sceller l’union entre Chalabreil et Garonne.

Les cyclos chalabrois ont à présent rendez-vous le 13 octobre prochain pour la der de 2002, prévue sur les petites routes des Corbières. Les membres du club sont vivement invités à se joindre à cette dernière sortie de l’année.

Un soir de 1963, le vendredi 13 septembre, les sapeurs-pompiers du centre de secours sont en alerte et surveillent la progression d’une nouvelle inondation, ici rue du Pont de l’Hers. A leurs pieds, un clapotis caractéristique se fait entendre, et à la faveur d’une pause, Maurice Mazon depuis sa fenêtre certainement, leur demande de prendre la pose. La nuit ne fait que commencer. 

De gauche à droite, Moïse Condomines, André Conte, Roger Laffont, Raymond Colonges, Pepe Villena, Urbain Ilhat (derrière), Eugène Marre, Manou Saurel, Eloi Alabert, André Sicre, Joseph Biard, Alban Fauré, Henri Ferrier, Georges Subreville, Léo Abat, Pedro Sancho, ? Mességué ?.  

Photo Collection Mathilde Ilhat

Deux coupures de presse rendent compte de l'événement

Journal du dimanche 15 septembre 1963

Journal du lundi 16 septembre 1963 (à gauche, Augustin Sibra)

L’article mis en ligne avait été publié dans l’Indépendant, édition du mercredi 13 septembre 2017.

Les lauréats ont reçu leurs prix en mairie (Photos archives, août 2017).

Samedi 26 août se déroulait la remise des prix du concours-photo, troisième du nom, proposé par l’association « Il était une fois Chalabre », en partenariat avec la mairie. Une animation inscrite dans le cadre des animations « Fulgurances de l’été », placées sous l’égide de Fabienne Canal. Accueillis par Michel Brembilla, président, et Jean-Jacques Aulombard, maire, les photographes amateurs ont tous été félicités pour leurs créations. Des photos que chacun avait pu découvrir en avant-première à la bibliothèque municipale, puis en mairie, où elles étaient exposées. L’occasion pour le président Brembilla de remercier le concours efficace et très apprécié de Noëlle Danjou. Avant l’appel des lauréats, une pensée était partagée à la mémoire de Lise Guilhamat, disparue le 18 août dernier. 

A la conclusion de plusieurs délibérations, portant sur une belle palette de photos anonymes (vingt-six participants), le jury a rendu les résultats. Dans la catégorie « La pierre remarquable en Kercorb », le 1er prix est décerné à Gisèle Pagès d’Antugnac (200 €), le 2e prix revient au Chalabrois Clément Pradel (160 €), également lauréat du 3e prix (120 €) et du Prix du Public.

Pour la catégorie « La pierre remarquable », Patrick Pierron de Puivert obtient le 1er prix (200 €) et le Prix du Public, le 2e prix pour François Danto d’Espéraza (160 €), le 3e prix revenant à Lydie Albéro d’Antugnac (120 €).

Le vin d'honneur a réuni une nombreuse assemblée, sur un cours Sully en chantier