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C'était hier - Page 503

  • Il faudrait bien que l'on tourne la page un jour. Finalement, c’est demain

    Le samedi 24 avril 2010, la fenêtre ouverte sur le quotidien de Chalabre, des Chalabrois et de leurs invités, bouclait sa première année d'existence. Aujourd'hui, et au terme de huit années de communication et d'échanges qui ont permis d'établir ou de renouer de nombreux liens, l’heure est venue d’adresser ce qui pourrait ressembler à un au-revoir, mais aussi et surtout d’exprimer de sincères remerciements, aux fidèles visiteurs du Blog L'Indépendant Chalabre.

    A partir du lundi 6 mars, l’animation du blog va changer radicalement. En effet, « la mise en ligne des articles ne sera plus effectuée par le correspondant, mais par la rédaction du journal ». Concrètement, le journal prend possession du site administrateur du blog, et sera responsable de son contenu. Le correspondant continuera à communiquer avec la rédaction, en envoyant des articles pour le journal papier, qui seront désormais « mis en ligne directement par L'Indépendant, dans leur version corrigée (lire allégée),… et payante ».

  • Pierre Madic, bâtisseur de maisons à emporter

    L’article qui suit avait été publié dans l’Indépendant, édition du vendredi 8 février 2002.

    Pierre Madic Une fois bâtie, la maison sera démontée pour être livrée clé en main à son futur propriétaire (Photos archives, Février 2002).

    Il existe à l’orée de la forêt de Rivel, un chantier singulièrement original qui recevait tout dernièrement la visite des élus de la communauté de communes du Chalabrais. Emmenée par Danièle Wyrwich et MM. Gaston Bauzou, Lucien Clergue, Jacques Laffont, Roger Rosich, Jean-Pierre Salvat, et Jacques Montagné, conseiller général, la délégation est venue saluer le travail de Pierre Madic, maître artisan installé sur les hauteurs du Riveillou depuis 1999.

    pierre madic

    Pierre Madic (à gauche), a accueilli les élus du pays chalabrais.

    Animé par le désir de promouvoir l’usage du bois de construction, Pierre Madic bâti des maisons à partir d’essences locales, maisons qui une fois érigées, seront démontées pour rejoindre une destination finale, choisie par le commanditaire. Dans un univers où le béton est roi, Pierre Madic, ancien ingénieur au CNRS, veut redonner au bois toutes ses lettres de noblesse : « De plus, retirer le bois du cycle naturel pour l’employer dans le bâtiment, retarde sa transformation en CO2 par décomposition. Par la charte signée en 2001 avec les pouvoirs publics et les syndicats professionnels du bâtiment et des travaux publics, les constructeurs se sont engagés à augmenter de 10 % la part du bois dans les bâtiments, proportion portée à 12,5 % en 2010. Cette mesure permettra de retirer du circuit sept millions de tonnes de CO2 par an ».

    pierre madic

    Bien évidemment, les contraintes techniques sont nombreuses, chaque pièce de bois est un petit chef-d’œuvre qui sera référencé avant un assemblage final harmonieux et millimétré. Et si le prix de revient d’une telle construction est 10 % plus cher qu’une maison traditionnelle, l’entretien est moindre et l’isolation garantie à toute épreuve. Pour l’heure, le carnet de commandes est bien rempli, les contacts nombreux, et la dernière production en date de Pierre Madic est partie cette semaine vers les Alpes de Haute-Provence.     

  • C’était hier : Famille nombreuse, famille heureuse

    Sous ce titre faisant référence à un titre des années 1990 interprété par les Négresses Vertes, l’article qui suit avait paru dans l’Indépendant, édition du lundi 24 février 1997.

    Valentin Février 1997 001.jpgDans les bois de Mauléon, Brigitte sert de guide à Valentin (Photos archives, Février 1997).

    Des steppes mongoles à la pampa argentine, ou les marais de Camargue, « le cheval est la plus noble conquête de nos rêves » (anonyme). Tout seul dans son coin, l’âne rêve et s’il n’est pas jaloux, il en veut un peu à certaines idées reçues qui ont la peau vraiment dure. Ce pauvre vieil âne, qui doit sa réputation à la stupidité dont il aurait fait preuve dans le jardin d’Eden, incapable de répondre à Dieu, qui lui demandait son nom.

    Plus près de nous et dans la chaleur d’une écurie ayant abrité autrefois des étalons royaux, se trouve depuis quelques jours, un adorable petit Valentin, ânon à croix de Saint-André, né une poignée d’heures avant la fête des amoureux. Cet heureux événement dont maman Brigitte n’est pas peu fière, est venu agrandir le riche et sympathique cercle des protégés de notre ami René.

    Valentin Février 1997 002.jpg

    Tel un Bambi à longues oreilles, Valentin gambade sur les hauteurs qui dominent le vieux Chalabre et n’oublie pas de s’accorder un peu de sieste sous les premiers rayons d'un soleil de retour aux affaires. Une petite semaine d’existence et Valentin sait déjà qu’il est des joies simples aux côtés desquelles il ne faut pas passer, voilà qui est loin d’être bête.

  • C’était hier : Des donneurs de sang peu nombreux

    L’article mis en ligne avait été publié dans l’Indépendant, édition du mardi 18 février 1997.

    collecte de sang chalabreOubliée la petite aiguille ! (Photo archives février 1997)

    Dernièrement se déroulait dans le salon du district du Chalabrais, la traditionnelle collecte de sang, effectuée sous le contrôle du centre de transfusion sanguine de Carcassonne. Un rendez-vous que nos concitoyens ont un peu boudé, puisqu’à la clôture, l’équipe du CTS n’enregistrait qu’un total de 23 dons, contre 30 en septembre dernier. Venus de tout le canton, les donneurs ont accompli un geste simple et essentiel, avant de se retrouver devant un buffet de qualité où la bonne humeur était de mise. Présent malgré un emploi du temps très chargé, notre premier magistrat accompagné de ses adjoints, a participé à ce bel élan de générosité. Il relevait avec satisfaction, le concours nombreux des cyclos chalabrois. Il faut espérer que la prochaine collecte de sang accueille plus de participants. N’oubliez pas ce geste qui peut sauver des vies.