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Livre - Page 25

  • Le Peyrat : Découverte de la reliure, en visitant l'atelier Au bout du Fil

    Ch. Robin.JPGCatherine Robin  vous attend dans son atelier, à la faveur des journées européennes du patrimoine.

    C'est à l'intérieur d'un ancien moulin sur la commune du Peyrat qu'a été créé l'atelier de reliure « Au bout du Fil ». Catherine Robin y pratique la reliure, aussi bien de manière traditionnelle qu'en creusant les tendances nouvelles et contemporaines... Les particuliers poussent la porte de l'atelier pour faire relier des livres auxquels ils attachent une valeur sentimentale très forte. Ce peut être aussi pour faire fabriquer des boîtes sur mesure, des livres d'or et albums photos personnalisés, des reliures pour leurs écrits, arbres généalogiques...

    L'atelier répond aux demandes dites administratives pour la reliure des registres d'état civil et des délibérations et arrêtés. Il restaure les anciens registres dont les couvertures se cassent. Catherine Robin réalise aussi un ensemble d'articles de papeterie originaux (carnets, répertoires agendas, marque-pages...).

    Des cours hebdomadaires sont mis en place dès cet automne et des stages d'une ou de trois journées (carnet ou reliure simplifiée de livre) sont régulièrement organisés. Les journées européennes du patrimoine sont l'occasion de découvrir ce riche univers. Il y a des visites à 14 heures et à 16 heures le samedi 21 et le dimanche 22 septembre. Catherine Robin montrera les différentes étapes de fabrication d'une reliure. Elle fera des démonstrations et exposera ses articles. Il est recommandé de s'inscrire car les groupes sont limités à quinze personnes pour le confort de tous. Contact au 06 41 37 17 49, la visite est gratuite.

  • Georges Patrick Gleize en dédicace à la bibliothèque

    Georges-Patrick Gleize,bibliothèque chalabreL’écrivain aux racines ariégeoises est venu à la rencontre de ses lecteurs.

    Vendredi 6 septembre, Noëlle Danjou et la bibliothèque municipale accueillaient l’écrivain Georges-Patrick Gleize, à l’occasion de la présentation de son dernier ouvrage, Le Crépuscule des Justes. Un roman publié chez Calmann-Lévy et dont l’action se déroule entre Sainte-Colombe-sur-l’Hers, le lac de Montbel et Chalabre.

    Au cœur de ce petit périmètre, époques et générations s’entrecroisent sous la plume de l’auteur, pour évoquer le parcours d’un homme en quête d’identité. Roger Darmon aimerait savoir d’où il vient pour savoir où il va. Il n’a pas connu son père, sur lequel sa famille maternelle lui a laissé entendre le pire. Quand il tombe sur une coupure de presse des années soixante évoquant la mystérieuse disparition de François Darmon, dont on a retrouvé la voiture incendiée près du village de Sainte-Colombe, Roger décide de partir aux confins de l’Ariège et de l’Aude pour mener son enquête.

    Georges-Patrick Gleize,bibliothèque chalabre

    Originaire d’une vieille famille ariégeoise et spécialiste des campagnes pyrénéennes, Georges-Patrick Gleize a retrouvé le pays de Kercorb et le cadre chargé de mystère dans lequel évoluent ses personnages. Au terme de la séance de dédicaces, un échange s’est établi sous la verrière des anciens bains-douches, avec des lecteurs présents en nombre, venus saluer l’écriture d’un romancier prolifique.

    Georges-Patrick Gleize,bibliothèque chalabre

    Auteur de publications professionnelles avant de s’orienter vers la littérature générale en 2002, Georges-Patrick Gleize publiera son dix-neuvième roman en septembre 2020.

    Georges-Patrick Gleize,bibliothèque chalabre

  • C’est la rentrée littéraire à la bibliothèque

    bibliothèque chalabre,georges-patrick gleize,le crépuscule des justesVendredi 6 septembre à 17 h 30, Noëlle Danjou propose de venir à la rencontre de l’écrivain Georges-Patrick Gleize, à l’occasion de la présentation de son 18e ouvrage, Le Crépuscule des Justes. Un roman dont l’action se déroule entre Chalabre, Sainte-Colombe-sur-l’Hers et le lac de Montbel.

    A l’aube de la quarantaine, Roger Darmon aimerait savoir d’où il vient pour savoir où il va. Il n’a pas connu son père, sur lequel sa famille maternelle lui a laissé entendre le pire.
    Quand il tombe sur une coupure de presse des années soixante évoquant la mystérieuse disparition de François Darmon, dont on a retrouvé la voiture incendiée près du village de Sainte-Colombe, Roger décide de partir en Ariège mener son enquête. Rapidement, il apprend que son père, juif, était arrivé dans la région à sept ans, après l’arrestation de ses parents par la Gestapo à Paris. À la ferme de la Borde Blanche où il avait trouvé refuge, le petit garçon avait échappé à une rafle. C’est le couple d’instituteurs du village qui l’avait recueilli et élevé.

    Roger ne comprend pas. Tous ceux qu’il interroge évoquent un homme charmant, intelligent. Rien, en tout cas, n’explique le mépris dans lequel sa famille maternelle tenait son père. Et encore moins sa disparition. Pour connaître la vérité, Roger devra ressusciter les fantômes du passé. Georges-Patrick Gleize entrecroise les époques et les générations pour évoquer la quête d’identité d’un homme et composer une émouvante partition sur la mémoire.

    bibliothèque chalabre,georges-patrick gleize,le crépuscule des justesAgrégé d’histoire, né à Paris en 1952, Georges-Patrick Gleize est originaire d’une famille ariégeoise. Spécialiste des campagnes pyrénéennes, il se tourne vers la littérature en 2002 et publie chez Albin Michel un premier roman, Le Temps en Héritage, où il conte avec émotion les saisons du bonheur dans la relation d’un grand-père et de son petit-fils. Chez le même éditeur, il enchaîne alors une dizaine de romans, tous dimensionnés dans le cadre de l’histoire en privilégiant le grand sud. Ainsi, Le chemin de Peyreblanque, La vie en plus, Le forgeron de la liberté, Un brin d’espérance, Le sentier des pastelliers, L’auberge des myrtilles, Rue des Hortensias rouges, Une nuit en juin… décrivent avec passion et réalisme l’univers de la France d’hier.

    Membre de l’Académie du Languedoc, il rejoint les éditions Calmann-Lévy en 2012 et publie La fille de la fabrique, un polar historique et rural sur le monde des faïenciers. En 2014, parait Pas plus tard que l’aurore,  un roman qui restitue les lendemains endeuillés de la Grande guerre, en 2015, Le serment des Oliviers, une œuvre romanesque sur les difficultés de faire éclater la vérité, en 2016, Le vent de la jeunesse, saga des émigrés italiens venus construire les grands barrages dans les Pyrénées, et en 2017, Quelques pas dans la neige.

  • La « butte de Dhers »

    Montréal.jpgGuy Dhers sur le circuit de moto-cross de Montréal d'Aude.

    Né à Chalabre en 1940 et élément de l’US Chalabre XIII, Guy Dhers pratiquait en parallèle, le sport motocycliste. Ses passages au guidon d’une fringante machine à deux roues ne passaient pas inaperçus, et les plus jeunes prenaient plaisir à observer de loin, les prouesses d’un acrobate franchissant la fameuse « butte de Dhers », sur la colline de Terre-Blanche.

    guy dhersAprès avoir certainement participé aux compétitions organisées au Bourgat (Brouga, Bourga), Guy Dhers avait quitté le Kercorb afin de tenter sa chance à Paris, où son goût affirmé pour la cascade lui avait ouvert les portes des studios de cinéma. De doublures en seconds rôles, Guy Dhers avait enchaîné les tournages, La Balance, le Sang des autres, le Juge Fayard, le Diable au cœur, la Naissance du jour,… sur des plateaux de cinéma ou pour des séries télévisées (Commissaire Moulin, les enquêtes du Commissaire Maigret, le Temps des as). Il avait effectué sa dernière apparition à l’écran en 1990, dans le film de Francis Girod, « Lacenaire ».

    Guy Dhers est décédé en avril 2015 à l'âge de 75 ans, et repose au cimetière de Saint-Pierre.