Catherine Robin vous attend dans son atelier, à la faveur des journées européennes du patrimoine.
C'est à l'intérieur d'un ancien moulin sur la commune du Peyrat qu'a été créé l'atelier de reliure « Au bout du Fil ». Catherine Robin y pratique la reliure, aussi bien de manière traditionnelle qu'en creusant les tendances nouvelles et contemporaines... Les particuliers poussent la porte de l'atelier pour faire relier des livres auxquels ils attachent une valeur sentimentale très forte. Ce peut être aussi pour faire fabriquer des boîtes sur mesure, des livres d'or et albums photos personnalisés, des reliures pour leurs écrits, arbres généalogiques...
L'atelier répond aux demandes dites administratives pour la reliure des registres d'état civil et des délibérations et arrêtés. Il restaure les anciens registres dont les couvertures se cassent. Catherine Robin réalise aussi un ensemble d'articles de papeterie originaux (carnets, répertoires agendas, marque-pages...).
Des cours hebdomadaires sont mis en place dès cet automne et des stages d'une ou de trois journées (carnet ou reliure simplifiée de livre) sont régulièrement organisés. Les journées européennes du patrimoine sont l'occasion de découvrir ce riche univers. Il y a des visites à 14 heures et à 16 heures le samedi 21 et le dimanche 22 septembre. Catherine Robin montrera les différentes étapes de fabrication d'une reliure. Elle fera des démonstrations et exposera ses articles. Il est recommandé de s'inscrire car les groupes sont limités à quinze personnes pour le confort de tous. Contact au 06 41 37 17 49, la visite est gratuite.
Vendredi 6 septembre à 17 h 30, Noëlle Danjou propose de venir à la rencontre de l’écrivain Georges-Patrick Gleize, à l’occasion de la présentation de son 18e ouvrage, Le Crépuscule des Justes. Un roman dont l’action se déroule entre Chalabre, Sainte-Colombe-sur-l’Hers et le lac de Montbel.
Agrégé d’histoire, né à Paris en 1952, Georges-Patrick Gleize est originaire d’une famille ariégeoise. Spécialiste des campagnes pyrénéennes, il se tourne vers la littérature en 2002 et publie chez Albin Michel un premier roman, Le Temps en Héritage, où il conte avec émotion les saisons du bonheur dans la relation d’un grand-père et de son petit-fils. Chez le même éditeur, il enchaîne alors une dizaine de romans, tous dimensionnés dans le cadre de l’histoire en privilégiant le grand sud. Ainsi, Le chemin de Peyreblanque, La vie en plus, Le forgeron de la liberté, Un brin d’espérance, Le sentier des pastelliers, L’auberge des myrtilles, Rue des Hortensias rouges, Une nuit en juin… décrivent avec passion et réalisme l’univers de la France d’hier.
Guy Dhers sur le circuit de moto-cross de Montréal d'Aude.
Après avoir certainement participé aux compétitions organisées au Bourgat (Brouga, Bourga), Guy Dhers avait quitté le Kercorb afin de tenter sa chance à Paris, où son goût affirmé pour la cascade lui avait ouvert les portes des studios de cinéma. De doublures en seconds rôles, Guy Dhers avait enchaîné les tournages, La Balance, le Sang des autres, le Juge Fayard, le Diable au cœur, la Naissance du jour,… sur des plateaux de cinéma ou pour des séries télévisées (Commissaire Moulin, les enquêtes du Commissaire Maigret, le Temps des as). Il avait effectué sa dernière apparition à l’écran en 1990, dans le film de Francis Girod, « Lacenaire ».