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Poésie - Page 11

  • Des poèmes de JIEL publiés dans la revue « Pro/p(r)ose »

    jiel,prop(r)ose

    Dans son magazine de septembre 2022, la revue « Pro/p(r)ose » présente trois poèmes écrits par JIEL, sur le thème « Guerre-Paix-Liberté ». Si « Quatorze » et « Larmes de sang » ont déjà paru sur ce blog (11 novembre 2020 et 6 juin 2021), un troisième poème, « Les couleurs sacrifiées », est à découvrir via le lien suivant, poème illustré avec un dessin original du dessinateur Jean-Louis Cabrol. :

    https://proprosemagazine.wordpress.com/2022/09/25/guerre-paix-liberte/

  • « Comme une évidence », poème d'amour

    jiel,les amis de thalie

    La revue littéraire et picturale « Les Amis de Thalie », établie à Limoges, vient de publier une nouvelle anthologie, issue du concours littéraire 2022. Un ouvrage dans lequel figure un texte signé JIEL, lequel se voit récompensé par le 2e prix dans la catégorie Nouvelles et Récits pour « Le conscrit » (Prix de la presse poétique, décerné par la société des poètes français). Une nouvelle qui aborde les drames ayant émaillé une page tragique de notre Histoire, bien au-delà des horreurs des tranchées (ce texte avait été mis en ligne le 11 novembre 2021, à l’occasion du 103e anniversaire de l’Armistice de 1918).

    Le conscrit.pdf

    jiel,les amis de thalie

    Dans cette même anthologie figure également l’un des poèmes d’amour écrit par JIEL, « Comme une évidence », à découvrir, et qui vaut de nouvelles félicitations à l’adresse de notre ami Jean-Louis Sanchez. 

    Comme une évidence

    Ce soir d’avril un papillon si fragile

    S’est posé tendrement sur mon épaule ;

    Instants magiques d’une vie qui vacille,

    J’ai eu si peur que trop vite il ne s’envole ;

    C’était toi comme une évidence.

    Ce soir d’avril une étrange douleur

    M’envahit lentement sans souffrance ;

    Eclairant ma vie d’une brillante couleur,

    Ton sourire enjôleur, ma belle délivrance ;

    C’était toi comme une évidence.

    Ce soir d’avril un doux regard bleu

    En un instant a détruit mes certitudes ;

    La forteresse des sentiments en feu

    S’est effondrée libérant ma solitude ;

    C’était toi comme une évidence.

    Ce soir d’avril ne m’a jamais quitté,

    Souvent, sous tes tendres caresses,

    Je refais le chemin hors la réalité

    Pour revivre ces instants sans cesse ;

    C’était toi comme une évidence.

    Ce soir d’avril

    Don de la providence,

    Quel beau soir d’avril !

    Comme une évidence.

    JIEL

  • JIEL entretient le mystère et accède à une nouvelle distinction

    Le palmarès du « Concours International de Poésie et de Textes courts AMAVICA 2022 », proposé en collaboration avec les Mille-Poètes en Méditerranée de Narbonne vient d’être dévoilé.

    Palmarès Amavica 2022.pdf

    Après Tarascon en Ariège, JIEL s’apprête cette fois à rendre visite à la ville de Narbonne, où le jury d’un concours placé sur le thème du Mystère, lui a décerné le deuxième prix dans la catégorie Poésie Libre. Pour les non-initiés, il s’agit là d’un exercice exempt de toute règle de poésie classique, seules les rimes doivent être au rendez-vous. Les deux textes primés, signés JIEL, étaient proposés au jury sous le sceau de l’anonymat. En renouvelant de sincères félicitations à Jean-Louis Sanchez, les deux écrits récompensés sont à découvrir ci-après

    La chute mystérieuse.pdf

    Le plus mystérieux des voyages.pdf

  • JIEL primé à Tarascon-sur-Ariège

    jielPrix et félicitations pour JIEL, par la voix de Claude Juliette Fèvre, présidente du jury.

    Dimanche 21 août, la Halle aux pommes de terre accueillait une nouvelle édition des Estivades Poétiques de Tarascon-sur-Ariège, organisées par les bénévoles de l’association La Voix du Scribe. A la clôture du salon de la poésie, JIEL s’est vu remettre le 4e prix du concours de poésie libre, ainsi que le prix spécial du jury. Cette édition 2022, parrainée par l'écrivaine nivernaise Sophie Perret, a permis à JIEL de présenter « Le silence assourdissant », poème primé parmi les 400 textes en compétition et publié sur ce blog le dimanche 17 juillet dernier.

    Au cours de cet intermède en terre ariégeoise, Jean-Louis Sanchez a rencontré auteurs et passionnés comme lui de littérature et de poésie, ainsi Georges-Patrick Gleize, ou encore Guy Pujol, avec lequel JIEL partage l’amour des mots mais aussi celui des chiffres… Portées depuis le promontoire du Tatauba jusqu’à la Tour du Castella, les sincères félicitations de ses nombreux amis chalabrois vont vers l’ami JIEL.

    jiel

     Guy Pujol et JIEL partagent des passions diverses et communes

    Sensible aux effets néfastes des chaleurs qui nous accablent depuis plusieurs jours, JIEL vient de faire parvenir un poème intitulé « Le badaud sifflotant ». Inspiré par une promenade autour du lac de Laprade, et à même, ce qu’il espère, d’apporter un peu de fraîcheur aux lecteurs assidus du Chalabrais, auxquels JIEL renouvelle ses remerciements.

    jielLe badaud sifflotant

    De grosses racines entremêlées courent

    En tous sens sur ce chemin usé par les pas.

    Le promeneur aime y flâner souvent,

    Depuis si longtemps, sans jamais en être las.

    La lueur dorée du jour naissant s’étire,

    Sur ce grand lit douillet où nul ne s’agite ;

    Un clapotis discret que le bord attire,

    Vers ce beau décor où la Muse s’invite.

    Tourbières échevelées aux mille couleurs ;

    Campanule bleue et gentiane des marais,

    Côtoient la jonquille aux charmes enjôleurs,

    Sous le hêtre, dont le pied dans l’eau disparaît.

    De grandes plantes herbacées luxuriantes

    Offrent le gîte à la grenouille rousse ;

    Le couvert à l’araignée noire effrayante,

    Qui se délecte de larves, dans la mousse.

    Dans l’hiver fuyant, seul le silence souffle

    Sur l’onde endormie, son haleine de glace.

    Sous le miroir durci, la truite s’essouffle

    Qui va de-ci, de-là, avec toute sa grâce.

    Le soleil brille au dessus des conifères,

    Dont les reflets ondulants flânent sur l’étang.

    Tableau scintillant de beautés éphémères

    Qui caresse le coeur du badaud sifflotant.

    JIEL