Football : Un déplacement nocturne pour le FCC.

Le FCC à domicile, dans les années 1980

De gauche à droite, debout : Roger Dumay, Robert Baro, Claude Mot, Patrice Rodriguez,  ? Vidal, Jean-Louis Sanchez, Jean-Philippe Discala. Accroupis : Claude André, Jacques Garcia, Michel Maugard, Jean-Claude Bazzo, Raymond Dumay, Jean-Claude Naudy. Toujours premier sur le ballon, José Planas. 

Demain samedi 19 mars à 20 heures, Yannick Saïz sifflera le coup d’envoi de la rencontre opposant sur le stade de l’Aiguille à Trèbes, le onze du FC Trèbes II, à la formation du FC Chalabre I. A sept journées de la fin et après deux défaites consécutives, le FCC classé 6e (21 pts, 7 victoires, 1 nul, 5 défaites) doit impérativement redresser la barre face aux « Orange et Noir » trébéens, installés à la 9e place avec 12 pts (4 victoires, 1 nul, 8 défaites).

Rugby : La Tour-Verniolle au stade Lolo-Mazon.

Dimanche 20 mars à 15 heures au stade Lolo-Mazon, le quinze de l’USCKBP accueillera son homologue de l’US Critourienne Verniollaise, pour le compte du championnat de 2e série Ligue Occitanie. Il s’agira d’une journée de rattrapage, initialement prévue le dimanche 23 janvier dernier. Engagé dans la dernière ligne droite de la phase des matches retour, le quinze des présidents Jean-Claude Astoury et Didier Rossi s’efforcera d’engranger de précieux points, face aux banlieusards appaméens. Ces derniers pointés en 8e position avec 23 points (5 victoires, 11 défaites), viendront en Kercorb afin de confirmer leur prestation du match aller, enlevé sur le score final de 23 à 20 (mi-temps 16-6). Un réveil tardif avait coûté cher à l’Entente des Trois Clochers, lequel aura retenu la leçon. Classé à la 5e place avec 38 points, 8 victoires pour 7 défaites, nul doute que les « Rouge et Bleu » auront la qualification en ligne de mire. Les supporters sont attendus nombreux au stade Lolo-Mazon.

Le stade Jean de Mauléon accueille les maillots à chevron et leurs supporters

Le véritable bâtisseur cultive l'art du détail

Le jeudi 18 mars 1915, le journal L'Eclair publiait l'écho ci-dessous :

Au mois de juillet 1997, le clocher de Saint-Pierre se rappelait au bon souvenir des Chalabrois, le bourdon renouait avec ses activités initiales, après avoir été réduit au silence  plusieurs années durant. De l’angélus de l’aube à l’angélus du soir, les citoyens chalabrois dans leur grande majorité retrouvaient leurs cloches, les travaux de restauration finissaient dans le respect des délais annoncés. Un petit quart de siècle plus tard, le gros bourdon pesant quelques tonnes et baptisé en 1664 avant d’être classé monument historique, va une nouvelle fois laisser son battant au repos. En 1997, il s’était agi de renforcer un plancher de soutènement, action réalisée grâce à la dextérité d’un voltigeur qui avait permis d’éviter la pose d’un échafaudage coûteux et encombrant. Le problème est différent aujourd’hui, puisqu’il va s’agir de sécuriser une partie du support de fixation de la cloche, afin d’éviter toute mauvaise surprise.

L’église Saint-Pierre va donc revêtir des allures de grande muette, mais l’église Notre-Dame qui ne veut pas être en reste, y va elle aussi de son problème technique. Lequel affecte le mécanisme permettant d’avoir l’heure exacte affichée à l’horloge carrée et proéminente de l’église de la ville. Cette horloge, pour la petite histoire, avait été remplacée en 1927. Et donc un mécanisme assez unique en France, pour relever de l’intervention d’un professionnel. Les informations recueillies permettent d’avancer qu’un devis devrait être communiqué à la mairie qui en a fait la demande, pour un retour à la normale que l’on peut espérer rapide.    

D’ordinaire, les cloches s'arrêtent de sonner trois jours avant Pâques, afin de permettre aux chrétiens se recueillir à la veille de la crucifixion du Christ. A l’évidence, les cloches de Chalabre (au nombre officiel de huit) ont décidé d’anticiper, s’accordant ainsi un congé sabbatique que la bienveillance chalabroise voudra bien considérer comme mérité.

Un mécanisme assez unique en France

Cette fois, Jean-José Garcia, maître des horloges, n’a pu relancer les rouages de la machine