La bénédiction à la mémoire de Monsieur René Lafite, décédé dimanche 2 avril à l'âge de 76 ans, sera célébrée mercredi 5 avril à 10 h 30 au funérarium de Chalabre, suivie de la crémation à Pamiers à 14 h. Ni fleurs ni couronnes.
Chalabre - Page 1860
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Carnet noir
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Les Foulées du Kercorb en piste sur le Trail de Quillan
Les Chalabrois sont venus prendre plaisir en voisins.
Ils ont attaqué la saison 2017 tambour battant, les coureurs de fond du pays chalabrais étaient dimanche 26 mars, au départ de la Xe édition du Trail de Quillan. Le club des Foulées des Trois-Quilles proposait trois parcours au choix, l’ensemble agrémenté d’une belle succession de grimpettes, particularité très prisée par nos amateurs de course à pied.
Aux abords d’une place de l'église Notre-Dame de l’Assomption confisquée par plus de 800 concurrents, les protégés du président Jean-Pierre Silvestre ont pris part à la fête, sur deux des trois distances au menu du jour. Il s’agissait de doser l’effort pour rallier au mieux le château de Quillan et le Pont Vieux, via Ginoles, le Chalet de Carach, le Belvédère du Diable, Belvianes-et-Cavirac, les Roches Noires, et le tour de la Quille.
Au bout d’un bel effort, sur 18 km (800 m de dénivelé) et 294 classés, Eric Puerto prend la 162e place en 2 h 21’, Fanfan Discala 189e en 2 h 26’, Malaury Cros 197e en 2 h 27’, Jean-Pierre Silvestre 247e en 2 h 39’, Valérie Riera 252e en 2 h 40’. Avec un clin d’œil à Antoine Biard, 13e en 1 h 43’. Sur le 11 km (300 m de dénivelé) et 224 classés, Céline Amiel termine 148e en 1 h 25’ et Sophie Molini 185e en 1 h 31’. Prochain rendez-vous le Trail des Citadelles, dimanche 16 avril à Lavelanet.
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Carnaval : Badaluquet précipité dans les flammes
Irruption de campagnols à l’école Louis-Pergaud.
Les enfants grimés et costumés, suspendus à la sentence.
Quelques heures seulement avant les vacances de Pâques, les écoliers de Louis-Pergaud ont triomphalement accueilli un invité tout droit sorti du monde de Disney. Profitant de ce que le chat était loin, une nuée de petites souris auront accompagné le petit prince de carnaval, heureux d’autant d’hospitalité. Les pensionnaires de la Place Salvador Allende, emmenés aux accents carnavalesques des musiciens de l’OPVC, ont sillonné gaiement les rues chalabroises, en une parade multicolore.
Liesse rehaussée par un soleil étincelant, jusque sous la halle aux blés, pour un carrousel de masques, conclu par des danses aux accents d’un très fidèle quintet. Il suffisait de prendre tranquillement la route vers la place Charles Amouroux, l’ensemble des déplacements étant assuré par les effectifs de la brigade territoriale autonome de Chalabre. Sérénité qui cessera brutalement à l’arrivée sur la place Charles Amouroux, où un jeune tribunal d’exception, scellera le sort de Badaluquet, très sympa au demeurant, mais précipité dans les flammes infernales, sous l’effet d’une déroutante vague de révolte. Après un dernier « adiu paure carnaval », et une éphémère pointe de mauvaise conscience, les juniors masqués pouvaient prétendre à des vacances bien méritées.
Une avant-première très réussie, qui sera renouvelée le vendredi 7 avril à partir de 14 h, avec le carnaval des centres de loisirs de la communauté des communes des Pyrénées audoises. Et des prolongations tout aussi festives les samedi 15 et dimanche 16 avril, date de réception en Chalabrais de sa majesté Badaluc le 49e.
Un album-photos Carnaval 2017 à Louis-Pergaud a été mis en ligne.
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Une ligne mal montée,… et le poisson ne mord pas
L’entrefilet publié hier, relatif à l’installation d’une activité sous le Mont Calvaire, a soulevé des opinions très contradictoires, bien que majoritairement positives (agrémentées de propositions qui ont retenu l’attention du collectif d’ingénieurs). Hélas, la pétition lancée par le collectif des voisins vigilants, laquelle a franchi à l’heure qu’il est, le millier de signatures (essentiellement des riverains du Chalabreil), aura eu raison de l’optimisme naissant. De plus, l’appel d’offre visant à l’embauche d’un pilote d’essai est resté lettre morte. Un seul candidat se sera manifesté, par le biais d’un courrier qu’il termine en ces termes : « Etudier et construire une voiture, c’est peu de chose. L’essayer, c’est tout ! ». L’heure est grave, elle n’est même plus au choix de la peinture. Trop bien « ficelé », le projet restera donc coincé au fond de la « garbuste ».
Un tel vent de fronde se serait-t-il levé, si un autre modèle de la gamme avait été présenté ?
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