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Chalabre - Page 1859

  • Carnet noir

    La cérémonie des obsèques religieuses de Madame Yvonne Avarguès, sera célébrée mercredi 17 janvier à 11 h en l’église Saint-Pierre de Chalabre.

  • C’était hier : La vierge miraculée de l’Hôtel de France

    L’article mis en ligne avait été publié dans l‘Indépendant, édition du lundi 20 janvier 2003.

    hôtel de france

    L'hôtel de France avant l'incendie

    Au mois de mai 1908, un violent orage provoquait l’incendie qui allait entièrement détruire l’hôtel de France sur le Cours National. La foudre tombée sur les écuries remplies de foin, réduisait à l’état de ruines fumantes, un édifice appartenant alors à Joseph Courrent, chef cuisinier renommé (photo en fin d'article).

    hôtel de france

    S’il n’y eut par bonheur que des dégâts matériels, un fait troublant allait susciter bien des interrogations. Au beau milieu des décombres retirées après le sinistre, la statue d’une vierge à l’enfant en bois polychrome fut retrouvée intacte, épargnée par un brasier qui avait eu raison d’une construction contemporaine de la Révolution de 1789.

    hôtel de francehôtel de franceCet événement dans l’événement ne manqua pas d’être diversement interprété, tandis que l’hôtel assuré depuis 1857 à la Compagnie du Phénix, était reconstruit de façon plus moderne et confortable dans sa forme actuelle. Un contrat fut signé avec l'Union Prévoyante, « Société d'épargne et de construction de maisons à bon marché», dont le siège social était 44 rue Lafayette à Paris (IXe). Lors de la journée inaugurale du « Modern Hôtel de France », Henri Rascol maire de Chalabre de 1905 à 1919, devait prononcer un discours chaleureux qu’il concluait en s’adressant aux jeunes filles de l’assemblée : « Quant à vous, Mesdemoiselles, qui par votre gracieuse présence, augmentez la vision du printemps que la nature inclémente nous refuse, je bois à vos plus douces espérances ».

     

  • Joséphine Sanchez n’est plus

    joséphine sanchezEn ce dernier vendredi de décembre, un dernier hommage était rendu à Joséphine Sanchez née Hernandez, enlevée à l’affection des siens le mercredi 27 décembre, à l'âge de 90 ans. Originaire de Las Palas, petit village de la province de Cartagena au sud de l’Espagne, Joséphine Sanchez, née 16 février 1927, a deux ans à peine quand avec ses six frères et soeurs, ses parents émigrent vers la France, dans une période de crise économique mondiale. La famille Hernandez élira domicile à Chalabre, et s’agrandira avec la naissance de deux autres garçons, l’un d’eux devant malheureusement décéder.

    La vie est difficile et Joséphine quitte les bancs de l’école, pour connaître très jeune le travail de la chapellerie et des filatures. Le conflit mondial engagé en septembre 1939 obligera la famille à quitter Chalabre pour le village d’Esclagne en Pays-d’Olmes. Puis c’est le retour en Kercorb et Joséphine fait la connaissance de Louis Sanchez, jeune Républicain espagnol venu de Tolède, et magnifique danseur de tango. Ils se marient le 21 décembre 1946 et accueillent un an plus tard une petite Paquita. Tous deux travaillent comme ouvriers, et le cercle de famille va s’agrandir, avec la venue au monde de Jean-Louis en 1960, et de Christine, deux ans plus tard. Joséphine va alors se consacrer à ses enfants, un temps qu’elle partagera entre un emploi de femme de ménage et de garde d’enfants, pour lesquels elle restera « Tatie Jo ».

    Joséphine sera par deux fois cruellement éprouvée, avec le décès de Louis, emporté par la maladie en décembre 1994, et trois ans plus tard, la disparition de Paquy, sa fille aînée et complice de toujours.

    Un dernier adieu lui a été adressé lors de la cérémonie religieuse célébrée en l’église Saint-Pierre, avant son inhumation dans le caveau familial. En ces douloureuses circonstances, sincères condoléances à Jean-Louis et Christine ses enfants, à ses petits-enfants, et arrière-petits-enfants, à toutes les personnes que ce deuil afflige.

  • Université populaire en Kercorb : Du projet à la réalité

    Culture. Première conférence sur les grottes ornées des Pyrénées, par Jean Clottes.

    université populaire en kercorb,jean clottesJean Clottes (ici au micro de France Culture), sera en Kercorb le dimanche 18 février.

    Le projet de création d’une université populaire en Kercorb avait été présenté l’été dernier, lors de réunions publiques organisées sur plusieurs communes du Chalabrais. L’intérêt alors manifesté, à travers les idées et les propositions de thèmes de conférences, ont permis la naissance de l’association UPEK (Université Populaire en Kercorb), créée le 30 octobre dernier, avec dépôt des statuts (Siège social, Mairie de Chalabre).

    Les conférences sont ouvertes à tous et seront gratuites pour les adhérents de l’association. Le montant de la cotisation annuelle est de 10 €, il est possible d’adhérer dès à présent, ou lors de la prochaine assemblée générale (18 février). Les personnes souhaitant s’impliquer dans l’association sont les bienvenues (administration, réalisation d’un logo, d’un site Internet ou blog,…). Il est également possible de proposer des ateliers (ou autres activités), s’ils peuvent rentrer dans le cadre de l’association, et s’ils n’existent pas déjà ailleurs en Kercorb.

    La première conférence aura lieu place Charles Amouroux à Chalabre (ancien abattoir), le dimanche 18 février à 16 h, après l'assemblée générale (14 h) et le pot de l'amitié (15 h 30). Elle sera animée par Jean Clottes, sur le thème « Les grottes ornées des Pyrénées » ou l'art rupestre des cavernes des Pyrénées. Pour tout renseignement, contacter le comité de pilotage : upek11@laposte.net

    université populaire en kercorb,jean clottes

    Le 29 août dernier, lors d'une première rencontre avec le futur comité de pilotage de l'UPEK