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Chalabre - Page 2667

  • Jean-Pierre Moire, naturopathe, exerce en Kercorb

    J.P Moire.jpg« Le Kercorb est une jolie région, j'ai décidé de m'y installer puis d'aller à la rencontre de ses habitants, que je trouve sincères et authentiques ». Etabli depuis plusieurs mois au n° 1 de la rue de la Mairie, Jean-Pierre Moire reconnaît avoir trouvé dans le Chalabrais cet espace et cette lumière qui fournissent le potentiel énergétique nécessaire à la bonne santé de tout individu.

    Citoyen parisien quarante années durant, rompu à tout ce que l'hôtellerie peut proposer comme responsabilités, il décide un jour de changer de métier, juste pour ralentir le rythme d'une vie trop effrénée à son goût. La démarche sera aussi courageuse que les études seront difficiles, mais Jean-Pierre Moire va enchaîner avec succès huit années d'étude d'une discipline qu'il pratique maintenant depuis plus de vingt ans, la naturopathie.

    Il précise comment « le naturopathe vise avant tout à préserver le capital santé de chaque individu, en optimisant ce fameux potentiel énergétique ». Il dispose pour cela d'un arsenal de dix disciplines avec lesquelles il va pouvoir améliorer l'état général ou spécifique de la personne. Il est en quelque sorte un médecin généraliste de la prévention, proche des techniques chinoises, des ostéopathes. Il préconise une alimentation bien pensée, la naturopathie étant fondamentalement basée sur le principe de préservation de l'énergie vitale.

    Jean-Pierre Moire souligne aussi combien cette discipline est intimement liée avec l'hygiénisme, qui plonge ses racines très anciennes vers ces peuples pleins de bon sens aux gestes simples mais justes, qui utilisaient les soins naturels telluriques, les plantes, les élixirs, la sophrologie et la relaxation, les eaux thermales, les roches, les argiles. La naturopathie ne dissocie pas l'harmonie de l'humain de celle de la planète nourricière.

    A l'évidence, une rencontre avec un thérapeute de cet ordre là n'est jamais un moment anodin : « L'homme moderne doit absolument, et c'est vital pour sa survie, retrouver par ces techniques simples et ancestrales, voire millénaires pour certaines, ce supplément de santé et de beauté, de vie et de longévité faisant partie intégrante de son essence primitive ».

    Jean-Pierre Moire naturopathe et hygiéniste est joignable au 04 68 69 48 92 (fax 04 68 69 82 76). 

  • Samedi soir, à Caudeval, « On n’était pas couchés ! »

    Concert Caudeval.jpgC'est une représentation vraiment pas ordinaire à laquelle une centaine de personnes ont assisté samedi soir dans la salle des fêtes de Caudeval. La chorale toulousaine « On n'est pas couchés » a jeté son regard amusé sur l'actualité, sans oublier d'évoquer ces thèmes qui mènent le monde depuis la nuit des temps : l'amour, les hommes, les femmes ! Programmée en avant soirée du festival « Souriez, c'est pour rire », cette chorale haute en couleurs a conquis son public dans une salle des fêtes comble.

    Co-organisé par le Foyer d'éducation populaire de Chalabre et la communauté de communes du Chalabrais, en partenariat avec le conseil général de l'Aude, le festival « Souriez, c'est pour rire » entame sa 4e édition avec au programme, des spectacles vivants de qualité pour la plus grande joie des petits et des grands.

    Marie-Bénédicte Lemaire, programmatrice de ce festival depuis l'origine, a présenté en quelques images, l'édition 2009 de ce festival qui accueillera les 21, 22 et 23 août prochain de nombreux spectacles à Chalabre, à Puivert et dans les villages alentours. Nouveau cirque, marionnettes, théâtre, homme orchestre, toute la programmation est à retrouver et à découvrir sur www.quercorb.com.

    Pour tout renseignement, contacter l'office de tourisme intercommunal à Chalabre au 04 68 69 65 96. 

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  • Football : les benjamins du FCC invités chez les Verts de St Etienne

    ASSE Benjamins.jpgIl est venu comme une récompense après le titre de champion de 1ere division décroché le 24 mai 2008. Le séjour à St Etienne proposé dernièrement aux benjamins de l'école de football chalabroise s'est soldé par une réussite complète. Les jeunes pousses du FCC chères au président Raymond Dumay auront d'abord eu le privilège d'être accueillies au centre de formation par Georges Beretta et Yves Triantafilos, glorieux vétérans d'une époque durant laquelle St Etienne n'était autre que la capitale du football français.

    Invités à prendre leurs marques à l'ombre du légendaire chaudron de Geoffroy-Guichard, les protégés de Philippe Gérard et Fabrice Canal ont ensuite engagé un match face à leurs homologues de l'ASSE. Une rencontre d'excellent niveau au terme de laquelle les petits footballeurs du Chalabrais ont pris la mesure du jeu pratiqué au coeur du Forez. Après un peu de tourisme, l'heure était venue de prendre place dans l'antre d'un club resté mythique, pour une rencontre de Ligue 1 que les Verts allaient enlever face à Lille.

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    Henri, Philippe, Fabrice et les benjamins aux côtés de Georges Beretta.
    Au final, les représentants du FCC et leurs parents auront bouclé un week-end de rêve, on ne peut mieux ficelé grâce à Henri Sancho et ses amitiés stéphanoises. Le retour en bus allait permettre de ranger en bon ordre une foule de souvenirs, et si les petits mordus du FCC avaient auparavant accepté de rentrer en Kercorb, c'était dans la seule perspective de rechausser les crampons au plus vite.   

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    Le onze du Kercorb, Mamie Colette et les papas supporters.       

    Tout en haut à gauche : Stéphanois et Chalabrois avant le match.

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  • En flânant au hasard des rues

    Gégé Labaud.JPGC'est un lieu de promenade prisé par les Chalabrois et régulièrement cadré dans l'objectif des nombreux visiteurs de passage, le pittoresque quartier du Blau renvoie l'image intacte d'un autre temps. Avec ses façades en torchis dansant sur le miroir des eaux paisibles de la rivière "bleue", ce lieu abrite quelques-unes des plus vieilles maisons de la capitale du Kercorb. Il garde aussi quelques vestiges d'un passé moins éloigné, lorsque la société de consommation en était à ses premiers balbutiements.

    Le terme publicité n'était pas encore entré dans le langage usuel et pourtant les réclames commençaient à s'afficher çà et là, comme sur le mur de l'épicerie tenue pendant la première partie du siècle dernier par la famille Huillet. Pour la ménagère allant chez Marceau, il était alors impossible de manquer le coup de promotion au bénéfice d'un ancêtre du gel coiffant, destiné à des consommateurs qui le valaient bien.

    Dans les années 1950, ce commerce laissera la place à un dépôt de journaux tenu par Justin et Jeannette Navarro lesquels continuèrent à percevoir pendant dix ans encore, la coquette somme de 100F par an, versée à leur endroit par le roi de la brillantine. Les tarifs publicitaires n'atteindraient des sommets que beaucoup plus tard, le coup de pinceau avait encore quelques belles années devant lui. L'avènement de l'image virtuelle n'était plus bien loin pourtant.

    photo: Le pont du Blau, une passerelle vers la nostalgie.

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