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  • C’était hier : Le marathon du cœur pour les Foulées du Kercorb

    L’article mis en ligne avait paru dans l’Indépendant, édition du samedi 21 décembre 2002.

    foulées du kercorb,téléthon chalabreLes fondeurs chalabrois flapis mais heureux sous la halle, au terme de leur périple (Photo archives, Décembre 2002).

    Deux cent soixante et dix huit tours, 284,394 km, c’est la distance au mètre près, parcourue en 24 h sur le pavé chalabrois par les membres des Foulées du Kercorb, invités à relever le challenge dans le cadre de la 18e édition d’une opération de solidarité. Dès le vendredi à 19 h, Francis Amouroux, premier relayeur, s’élançait pour une ronde non-stop qui se terminerait le lendemain au même endroit et à la même heure. A raison d’un relais toutes les heures, et au rythme des heures égrenées par l’horloge de Notre-Dame, dix sept fondeurs auront martelé le pavé depuis le cours Sully jusqu’à la place Charles-Amouroux et retour par les quais du Chalabreil, bouclant au final près de sept marathons.

    Au plus profond de la nuit chalabroise humide et froide, la légendaire solitude du coureur de fond aura pris tout son sens, confirmation obtenue auprès de Nadine et Marie-France, Jean-Pierre, Antoine, Jean, Antoine et Titou. Le samedi pointait le bout d’un nez rougi par le froid et la fatigue, mais la noria de « thermos » arrivant de toutes parts depuis la veille n’avait de cesse de raviver la flamme. La ronde allait ainsi se poursuivre jusqu’aux premières heures d’une nouvelle nuit, grâce aux maillons d’une chaîne de solidarité entraînée par Davina, Maryse, Monique, Thierry, Laurent, Gérald, Francis, Claude, Christophe, Fabien, Frédéric et Christian. Conjointement accueillis en fanfare par les solistes de l’OPVC et l’angélus du soir, Jean-Paul Cnocquart et les siens remettaient la somme de 521,49 euros à Marie-Annick Serrus-Crampagne, coordinatrice du Téléthon dans le Chalabrais.

    Les coureurs de fonds des Foulées remercient les généreux donateurs, la municipalité et les nombreuses personnes qui les ont assisté, tout au long de ce pari qu’ils sont heureux d’avoir réussi. Dans le seul but d’apporter une modeste contribution à l’élan national de générosité.           

  • C’était hier : Une nouvelle directrice à la tête de l'Ehpad

    L’article mis en ligne avait été publié dans l’Indépendant, édition du vendredi 21 décembre 2012.

    La nouvelle directrice, Ghislaine Vanwersch-Cot, a pris ses fonctions à l'hôpital local des Hauts-de-Bon-Accueil.  

    ehpad hauts-de-bon-accueil hauts-de-bon-accueil,ghislaine vanwersch-cotChristian Guilhamat, Ghislaine Vanwersch-Cot, Jean-Jacques Aulombard et Annie Bohic-Cortes (Photo archives, Décembre 2012).

    L’établissement d'hébergement pour personnes âgées dépendantes (Ehpad), réunissait vendredi 14 décembre, les membres de son conseil d'administration. Cette nouvelle réunion de travail s’est déroulée en présence de Ghislaine Vanwersch-Cot, nouvelle directrice par intérim de l’établissement, accueillie par Jean-Jacques Aulombard, son prédécesseur.

    Nouvelle venue en Kercorb, Ghislaine Vanwersch-Cot possède déjà une bonne expérience professionnelle, puisqu'elle arrive de l’hôpital Antoine-Gayraud de Carcassonne où elle travaille dans le secteur hospitalier en qualité de directrice-adjointe, depuis 2001.

    Comme elle a pu le souligner, c’est avec une belle dose d'enthousiasme et de bonne volonté, qu'elle souhaite assumer ses nouvelles fonctions. Ghislaine Vanwersch-Cot devait ensuite affirmer son souhait d'établir une continuité de qualité dans la gestion de cet établissement, en ayant à cœur de poursuivre la politique de partenariat menée notamment avec Carcassonne, au sein du territoire de santé.

    Christian Guilhamat, président du conseil d'administration de l'Ehpad, Jean-Jacques Aulombard conseiller général du canton de Chalabre et Annie Bohic-Cortes conseillère générale du canton de Quillan et Saint-Hilaire, lui ont adressé leurs souhaits de bienvenue. Ils l’ont également assuré de leur entier soutien, afin de mener à bien les projets de développement et de coopération, pour le bien être de la population de la Haute-Vallée de l’Aude. 

  • Des éoliennes à 1 km de Rivel : bienfait ou menace ?

    Sous ce titre, « Des Rivelois qui aiment leur village et le Quercorb » souhaitent engager le débat. Le texte mis en ligne et rédigé par leurs soins, fait également l’objet d’une parution sur le bulletin « Murmures du Riveilhou », une publication à laquelle sont très attachés nos voisins du Pays de Rivel.

    « Aujourd’hui en limite de Rivel, nous sommes confrontés au projet du parc industriel éolien de Sainte-Colombe. Dans ce contexte de crise énergétique et de transition, beaucoup de Rivelois s’interrogent. Les questions s’enchevêtrent et nous sommes en plein casse-tête. Que peut nous apporter ce projet ? Quels avantages pour notre commune et notre territoire ? L’éolien est-il vraiment une alternative écologique ? Les interrogations sont nombreuses et nous les partageons avec vous, lecteurs des Murmures du Riveilhou.

    murmures du riveilhou

    Simulation

    Alors que nous sommes tous conscients de la richesse et de la beauté de notre environnement jusque-là préservé, avec une biodiversité remarquable, au point que notre territoire communal est classé en zone Natura 2000, alors que le belvédère de Sainte Cécile (chapelle inscrite aux Monuments Historiques) nous offre une superbe vue panoramique sur notre village et le Plantaurel, devrons-nous laisser ce parc industriel éolien s’installer et défigurer ce paysage admirable ? Car il s’agit bien d’un parc industriel dans un milieu naturel et exceptionnel. Prévu au départ de 4 à 7 éoliennes, aujourd’hui il est question de 4. Mais demain combien sur le Plantaurel ?

    Le col des Bouichous pourtant à vocation agro-pastorale se verra-t-il bétonné ? Ça serait alors une artificialisation des sols dommageable avec la création d’une route d’accès à travers bois (6 à 8 m de large), d’une plateforme de montage et des socles de fondation énormes (*). Renseignements pris, les éoliennes c’est aussi un impact non négligeable sur la faune (rapaces retrouvés déchiquetés sous les pâles, perturbation des chauves-souris…).

    Après ces menaces certaines pour la nature et notre patrimoine paysager des plus précieux, subirons-nous des nuisances sonores comparables au bruit de fond d'une autoroute et des désagréments par les flashs lumineux (situés au haut des mâts) de jour comme de nuit ?

    Ne sommes-nous pas heureux de vivre loin de tout contexte industriel ? Alors pourquoi devrions-nous le subir. De plus, connaissez-vous des gens qui souhaitent acheter une maison proche d’un parc éolien ? Ce sont nos maisons qui vont perdre de la valeur sur le marché de l’immobilier. Devons-nous accepter cet état de fait ?

    On tente de nous convaincre par un pseudo-discours écologique que l’éolien est une énergie verte et vertueuse, nous n’en sommes pas si sûr. Non seulement la production électrique de ces machines est aléatoire, du fait de la non-maîtrise du vent, nous savons maintenant que le rendement des éoliennes est faible par rapport à l’investissement financier que cela représente. Alors, est ce une bonne chose qu’il y ait des fonds publics engagés de façon importante, en soutien à ce secteur privé ?

    L’Aude est déjà le département le plus doté d’Occitanie en parcs éoliens, plus de 290 ! N’est- il pas venu le moment de stopper ces projets destructeurs de nos magnifiques paysages et de renforcer plutôt les parcs éoliens existants ? N’y aurait-il pas une autre alternative telle que le photovoltaïque, moins impactant sur ce même site ? Nous attendons beaucoup des réunions publiques pour éclaircir tout cela. Nous soupçonnons une affaire plus économique que soucieuse de l’avenir et de notre environnement ».       « Des Rivelois qui aiment leur village et le Quercorb ».

    (*) En savoir plus :

    https://decrypterlenergie.org/betonisation-et-artificialisation-des-terres-quelle-contribution-de-leolien

    Pour information : Il existe une association de défense, présente sur le Chalabrais depuis plus de dix ans « Le Cri du Vent ». Voici son mail pour dialoguer avec eux ou pour adhérer :  lecriduvent.association@orange.fr

  • Sainte-Colombe-sur-l’Hers : le karaté revient en Plantaurel

    1994 Maryan Rouger.jpgC’est une activité qui court depuis le 8 novembre dernier, une section de karaté a été ouverte au dojo local. Les cours se déroulent dans la salle du groupement sportif et culturel le mardi de 17 h 30 à 19 h, tout au long de l’année, sauf pendant les vacances scolaires. Ils sont assurés par Maryan Rouger (ci-contre), résidant à Sainte-Colombe-sur-l’Hers, sous l’égide du Sporting Club de Lavelanet, géré par le professeur Patrick Brabo, 7e dan Shukokaï (ci-dessous).

    2006 Shukokaï Décembre Patrick Brabo.jpgCe style créé par Maître Tani, issu de l’île d’Okinawa, style moderne, est basé sur le Nahaté et le Shurité. Il s’agit d’une pratique de karaté de compétition pour les jeunes, et de santé pour les seniors, grâce au travail énergétique très fluide en adéquation bio mécanique. Pour tout renseignement et inscription, contacter Maryan Rouger à Sainte-Colombe-sur-l’Hers.