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C'était hier - Page 193

  • C'était hier : Les sapeurs-pompiers solidaires des ostréiculteurs

    L'article mis en ligne avait été publié dans l'Indépendant, édition du mercredi 19 février 2003.

    centre du kercorb

    Les caisses d'huîtres ont été enlevées en un temps record (Photo archives Février 2003, de gauche à droite : Thierry Cnocquart, Bernard Marcos (Centre de secours d'Espéraza), André Mamet, Arnaud Molini, Benjamin Defernez, accroupi, Stéphane « Bamba » Rouzeaud.

    L'appel à la solidarité lancé tout dernièrement par l'Amicale des sapeurs-pompiers de Chalabre a obtenu un bel écho auprès de nos concitoyens. Chacun se souvient en effet, comment les ostréiculteurs de Leucate avaient été frappés entre le 20 décembre et le 2 janvier dernier, par la mesure préventive d'interdiction de vente de coquillages. Une décision qui a notamment affecté trois sapeurs-pompiers volontaires leucatois, dans une période déterminante pour leur métier. A l'initiative de l'union départementale des sapeurs-pompiers relayée par l'Amicale du centre de secours Jean Cabanier, le Kercorb n'a pas laissé passer l'occasion de manifester son soutien.

    Samedi, en début d'après-midi, la caserne chalabroise avait des allures de criée de bord de mer, à l'heure où Thierry Cnocquart et Arnaud Molini distribuaient les 189 kg d'huîtres acheminées en direct le matin même depuis Leucate. Au nom de leurs collègues leucatois, les membres de l'amicale chalabroise des sapeurs-pompiers adressent de vifs remerciements à tous ceux qui ont spontanément répondu à l'appel.

  • C'était hier : « Marcel, on t'aime ! »

    L'article mis en ligne avait paru dans l'Indépendant, édition du jeudi 18 février 1993.

    marcel roquebernou,hôtel-dieu saint-jacques chalabreMarcel a reçu un téléviseur de la part des ses ami(e)s (Photo archives, Février 1993).

    Les filles de l'Hôtel-Dieu Saint-Jacques ont un coeur gros comme ça, tous les pensionnaires vous le confirmeront. Mercredi soir, c'était la fête à Marcel. Marcel Roquebernou pour l'état-civil, Marcel pour tous ceux qui, au hasard d'une halte gastronomique à l'hôtel-restaurant Pont ont eu l'honneur et l'avantage d'être accueillis par le protégé de Baptistine.

    Toutes ces années au contact de l'autre ont favorisé une parfaite intégration à l'Hôtel-Dieu Saint-Jacques, où sa disponibilité et son humeur toujours égale sont très appréciées. « Fromage ou dessert ? ». La question si souvent posée n'était plus de mise ce mercredi soir. Un mille-feuilles pour témoin, Marcel se voyait offrir un superbe téléviseur de la part du personnel de la cure et de la maison de retraite réuni au grand complet.

    La petite lucarne est ainsi rentrée dans ta chambre Marcel, mais sa présence ne t'empêchera pas d'être toujours aussi attentionné à l'égard de la grande famille qui t'entoure. « Merci quand même », et merci pour tout Marcel.

  • C'était hier : Les collégiens à la rencontre de « l'Armée des ombres »

    L'article mis en ligne avait paru dans l'Indépendant, édition du lundi 17 février 2003.

    collège antoine-pons,musée de la résistance et de la déportation toulouse

    Une visite très enrichissante pour les élèves du collège Antoine-Pons

    Photo archives, Février 2003

    Le musée de la Résistance et de la Déportation de Toulouse recevait dernièrement la visite de 18 élèves de la classe de 3e du collège Antoine-Pons de Chalabre, accompagnés par Hélène Cortès, professeur d'histoire, Marie-Louise Saddier, historienne de la déportation, André Bossé, Hubert Carcy et Serge Fournié. Ce lieu de mémoire inauguré le 19 août 1994 à l'occasion du 50e anniversaire de la Libération de Toulouse retrace les heures sombres de la seconde guerre et a offert de nombreuses pistes de réflexion aux candidats au concours de la Résistance qui a cette année pour thème « Les jeunes dans la Résistance ».

    Dans un premier temps, les élèves ont pu découvrir les « 100 visages » de la Résistance et les premiers pas de ces forces du « non » qui grandirent jusqu'à devenir l'immense espérance de tout un peuple. Ils étaient ensuite invités à entamer une réflexion sur le mot « résister », comment et pourquoi s'était peu à peu mise en place une résistance basée sur le refus. Ils allaient ainsi prendre conscience de la jeunesse de la plupart des résistants engagés dans un combat clandestin qui s'est souvent terminé devant un peloton d'exécution, dans un camp de concentration ou sur le vaste champ de bataille pour la liberté qu'était le pays tout entier.

    Après la visite commentée des différentes salles du musée, Conchita Ramos, résistante déportée à Ravensbrück et José Ramos, guérillero du maquis de Montségur ont évoqué les souvenirs de cette douloureuse période. Un rappel du passé pour enrichir la mémoire et démontrer l'actualité de la résistance, témoignages au travers desquels les collégiens ont bien perçu l'ampleur des souffrances vécues. Pour que la vie soit plus belle et plus fraternelle, comme ont pu l'exprimer les mots de Robert Desnos mort en déportation à Teresin le 8 juin 1945 : « Or du fond de la nuit nous témoignons encore de la splendeur du jour et de tous ses présents, si nous ne dormons pas, c'est pour guetter l'aurore ».

    Merci à la communauté de communes du Chalabrais pour son soutien, et à Marie-Louise Saddier pour l'aide précieuse qu'elle apporte chaque année aux candidats au concours national de la Résistance et de la Déportation.

  • C’était hier : Premiers tours de roue pour les Cyclos

    L’article mis en ligne avait été publié dans l’Indépendant, édition du dimanche 15 février 1998.

    cyclo vtt club du chalabraisFrançois Lopez a donné le départ officiel pour la saison 1998 (photo archives, Février 1998). De gauche à droite, debout : Jean Navarro, Jean Quério, Luc Diaz, Robert Béret, Eric Fayet, César Martinez, François Lopez, Francis Amouroux, Guy Calvène. Accroupis : Edouard Garcia, Linda Seyve, Monique Rault, Maryse Amouroux, Alexandra Delpech, Yves Bérenguer, Bruno Desjardins.

    Cérémonie très solennelle sur la place Fluris, quand François Lopez, président fondateur du club cyclotouriste du Chalabrais a donné le top départ de la saison 98.

    cyclo vtt club du chalabrais

    En abaissant un superbe drapeau tricolore sur les scintillants rayons du peloton chalabrois, le président à vie des CCC n’a pas manqué de donner la priorité aux féminines du club, suivies de très près par les solistes du braquet. Au programme, soixante et dix kilomètres pour une mise en jambe qui a conduit les troupes du président Francis Amouroux sur les routes de l’Ariège via le château de Lagarde, Mirepoix, le château de Sibra, la Tour de Saint-Quentin, l’église du Casteilla à Laroque-d’Olmes, le col de Boyer et Chalabre.

    Les cyclos ont à présent rendez-vous tous les samedis à partir de 13 h 30 devant le siège café de la Paix, où les détails du circuit seront affichés grâce aux bons soins de César Martinez, vice-président du club. Une certaine assiduité aux entraînements est fortement recommandée, afin de préparer au mieux la première grande sortie qui aura lieu le 8 mars prochain.