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C'était hier - Page 245

  • C’était hier : Handball : Yannick Martin et ses amis sur le parquet

    L’article mis en ligne avait paru dans l’Indépendant, édition du vendredi 12 octobre 2007.

    yannick martinYannick Martin, Christophe Le Foll, Julian Canilhac et Michaël Martin défendent les couleurs du Pays-d’Olmes (Photo archives, Octobre 2007).

    A l’image de leurs camarades rugbymen, de nombreux jeunes sportifs du Kercorb profitent de la proximité du Pays-d’Olmes pour s’adonner à la pratique de leur sport favori. C’est ainsi que Yannick et Michaël Martin, Christophe et Frédéric Le Foll, et Julian Canilhac partagent tous les vendredis avec leurs voisins ariégeois, les séances d’entraînement dispensé de 21 h à 22 h 30 par les moniteurs du Handball Club Lavelanet Pays-d’Olmes (HBCLPO). Plusieurs catégories d’âge sont concernées et des moins de 9 ans aux moins de 18 ans, six équipes se retrouvent engagées dans le championnat de Midi-Pyrénées. L’encadrement du club misant sur sa structure, vient de mettre en place une section « baby hand », réservée à l’initiation des enfants de moins de 6 ans.

    yannick martinLa belle motivation affichée par la bande à Yannick confirme comme s’il fallait, que le handball garde une place privilégiée en Kercorb. L’occasion d’évoquer le souvenir des années 1965, de Jean Tarbouriech * professeur de maths et coach de hand à ses heures, des tirs foudroyants de Serge Nègre, terreur des gardiens. Plus récemment, les titres UNSS attribués aux équipes du collège Antoine-Pons drivées par Patrick et Monique Rault. Handballeurs en herbe régulièrement présents dans les gradins du Palais des Sports de Toulouse, et premiers et vibrants supporters des Spacers et de Claude Onesta.

    Tout de jaune et noir vêtus, Yannick et ses partenaires entreront ce samedi à 18 h 30 sur le parquet du gymnase du lycée Jacquard, opposés au club de Lourdes pour la troisième manche du championnat 2007-2008. 

    * Année 1965-1966. De gauche à droite, debout, Jean Tarbouriech, Francis Romero, Serge Nègre, Daniel Delpech. Accroupis, Alain Saurel, Michel Brembilla, Gérard Calbo, Daniel Gaubert.

    yannick martin

    1965-1966 Finale contre Castelnaudary

    Serge Nègre ballon en main, au deuxième plan, Alain Saurel

  • C'était hier : Ils ont atteint le pic Aneto

    L'article mis en ligne avait été publié dans l'Indépendant, édition du jeudi 11 octobre 2007.

    randonneurs du kercorbDenis, Jean et Yvan ont posé le sac sur le toit des Pyrénées (Photo archives, septembre 2007).

    Les randonneurs du Kercorb qui restaient sur deux échecs consécutifs dans leur tentative d’ascension du « Pico Aneto » repartaient dernièrement à l’assaut des 3404 mètres de ce mythique sommet des Pyrénées. Six marcheurs chevronnés n’ont rien laissé au hasard dans la confection du paquetage, avant de prendre la route des Hautes-Pyrénées, cap sur l’Hospice de France via Luchon.

    A pied d’œuvre au douzième coup de midi, l’équipée franchissait un premier torrent à 1385 m, petit pas petit pied réglé dans le tempo de Jean premier de cordée.  Annie, Nicole, Denis, Yvan et Yves atteignaient ainsi le refuge de Vénasque perché à 2240m. Accueillis par le sourire d’Emma, les marcheurs souffleront devant le bleu profond d’un lac sur lequel flottent encore les derniers blocs de glace de l’hiver 2006. Le temps de passer commande d’une tartiflette pour six à consommer au retour et l’altimètre de Denis affichait 2450 m. Avec en prime une vue grandiose depuis l’échancrure du Port de Vénasque, sur le massif de la Maladetta. En contrebas, la cascade « del Aiguallut » déverse des trombes d’eau vers un Trou du Toro qui conserve tout son mystère. Le tout à quelques mètres du refuge de la Rencluse où les Chalabrois sont attendus pour la nuit.

    Précédant un soleil qui cette fois allait se lever, les lampes frontales de sortie dès 5 h du matin vont se révéler très précieuses jusqu’à la jonction avec le Portillon Supérieur là-haut à 2870m. Ivresse des sommets aidant, Yves s’en remet à une boussole qui va le conduire vers le Maladetta, tandis que Denis, Jean et Yvan négocient l’inamovible pluviomètre sur sa gauche et filent vers un glacier mis à mal par un effet de serre ravageur.

    Le Pas de Mahomet est en vue, les cordages sont tirés du sac, « el Pico Aneto » est là, les marcheurs précèdent la brume et s’accordent enfin le privilège de trinquer sur le toit des Pyrénées. Le retour vers la Rencluse permettra à la cordée de se reformer et d’abandonner la montagne à l’hiver.

  • C’était hier : Apprendre le geste qui sauve

    L’article mis en ligne avait paru dans l’Indépendant, édition du jeudi 10 octobre 2002.

    centre de secours jean cabanierLes jeunes stagiaires et leurs formateurs à l’issue des épreuves de contrôle de connaissances (Photo archives, Octobre 2002).

    Le centre de secours Jean-Cabanier servait tout dernièrement de cadre à un stage de formation aux premiers secours, ouvert à toute personne souhaitant apprendre le geste qui peut sauver. Un stage étalé sur quatre soirées au cours desquelles un groupe a très forte majorité féminine a consciencieusement disséqué les nombreux cas de figure pouvant se présenter, et les attitudes à adopter en cas d’urgence. Des jeunes filles très appliquées, ayant à leurs côtés Alexis Fontaneau, jeune stagiaire qui a depuis le 1er octobre intégré le corps des sapeurs-pompiers chalabrois, ont surmonté avec succès l’ensemble des tests d’aptitude.

    Sous la direction de Thierry Cnocquart et Lionel Calbo, formateurs, de Stéphane Rouzeaud, André Mamet et Aurélien Pierron, aide moniteurs, un programme aussi complet que possible a été dispensé, portant sur la conduite à tenir en cas d’accident. Comme pouvaient le déclarer les sapeurs instructeurs, « L’expérience montre qu’entre le moment où se produit l’accident et celui où les secours spécialisés arrivent, de nombreuses minutes peuvent s’écouler. En cas de saignement abondant, en cas d’arrêt respiratoire, la survie est une question de minutes, toute personne sur les lieux est le premier maillon de la chaîne des secours ».

    Au terme de la formation, l’ensemble des stagiaires a passé avec succès tous les tests requis, afin d’obtenir l’attestation de formation aux premiers secours (AFPS). L’occasion d’adresser des félicitations à toutes et tous.    

  • C’était hier : Une récré en noir et blanc pour les élèves de Louis-Pergaud

    L’article mis en ligne avait paru dans l’Indépendant, édition du mardi 9 octobre 2012.

    yvan fleissig,école louis-pergaud chalabreYvan Fleissig a tout expliqué à ses jeunes admirateurs (photos Yves Saddier, archives septembre 2012).

    Les élèves de la classe de CE1-CE2 de l’école Louis-Pergaud, accompagnés de leur maîtresse Isabelle Boulbet, rendaient tout dernièrement visite à la galerie d’art du peintre et sculpteur Yvan Fleissig. Accueillis à leur arrivée par l’artiste, installé au n° 10 de la rue Saint-Antoine depuis mars dernier, les élèves ont pu apprécier un environnement entièrement dédié au noir et au blanc. Face à un éventail de créations originales, les écoliers auront eu toutes les raisons de mettre à mal la théorie selon laquelle le noir et le blanc, ne sont pas des couleurs.

    yvan fleissig,école louis-pergaud chalabre

    Après avoir dialogué avec le locataire de la galerie « l’Oeil de Chalabre », les enfants ont poursuivi la visite, et confirmé leur intérêt pour cette symbolique bicolore. Tout en partageant un excellent goûter, offert par leur hôte.

    L’exposition reste visible aux heures d’ouverture, le samedi de 9 h à 13 h, le dimanche de 10 h à13 h, et sur rendez-vous au 06 80 51 63 70.