Le vendredi 29 octobre, un dernier hommage était rendu à Marie-José Cayrol, née Castelnaud, décédée à l’hôpital de Carcassonne à l'âge de 67 ans. Née le 22 avril 1954 à Chalabre, Marie-José résidait rue Terre-Blanche, dans la maison où elle avait grandi aux côtés de Juliette et Adolphe ses parents, et de ses frères et sœurs. Après une scolarité à l’école communale de Chalabre, Marie-José était entrée dans la vie active d’abord au sein de l’entreprise Canat, puis aux établissements Textilia à Lavelanet, avant un retour à Chalabre lors de la création des ateliers de chaussures Sibra au Cazal. Elle s’impliquera également aux côtés des sapeurs-pompiers de la caserne Jean-Cabanier, effectuant les travaux de secrétariat et établissant les divers rapports de caserne, durant près de dix ans. Le 28 juillet 1973, Marie-José avait uni sa destinée en l’église de Léran avec Alain Cayrol, jeune Chalabrois bientôt promu chef du centre de secours chalabrois.
Passionnée par la lecture et les promenades, Marie-José laisse le souvenir d’une personne au caractère discret, partageant ses heures libres avec la nature. Une cérémonie a permis à ses proches et amis de lui adresser un dernier adieu, avant son incinération à Trèbes.
En ces douloureuses circonstances, très sincères condoléances à Alain son époux, Séverine sa fille, son petit-fils Charlélie, à toutes les personnes que ce deuil afflige.
Les moins de 15 ans ont chuté à domicile (Photo archives, octobre 2001). De gauche à droite, debout : Mickaël Rosich, Cédryc Courdil, Fabrice Canal, Fabien Conte, David Bénet, Thomas Walheim, Mickaël Cunillera, Alexandre Cassagnaud, Hugo Defernez, Lionel Martinez, Nicolas de Cat. Accroupis : Régis Bringuier, Alexandre Granger, Aurélien Barrière, Anthony Rosich, Gaël Planas, Aurélien Moralès, Jérôme Fransioli, Christian Matéo.
En 1995, Nelly Navarro avait été lauréate du prix du Concours de la Résistance (Photo archives, décembre 1995).
Un beau soleil au rendez-vous, avec lequel Ray Hulse, chargé de l’enregistrement des inscriptions, a été forcé de composer (Photo archives octobre 2011).
A l’issue de la première épreuve (relais de trois coureurs au format sprint), les orienteurs abandonnaient une foule de touristes intrigués par une bien étrange chorégraphie, et rejoignaient le lac de la Cavayère, cadre plus intime d’une course de nuit programmée à partir de 20h. Il suffisait de réinitialiser une puce électronique avant de partir à la recherche de quatorze balises, cachées au plus profond d’une nuit noire. Le ballet des frontales dansant sur les eaux de la Cavayère prendra fin vers 23h 30, il était déjà l’heure de s’orienter vers Conilhac-des-Corbières, décor final de ce challenge, clôturé par une « longue distance » entre garrigue, rochers et falaises.