L’article mis en ligne aujourd’hui avait été publié dans l’Indépendant, édition du samedi 8 avril 2006. L’occasion d’aider les supporters à ronger leur frein, dans l’attente d’un nouveau coup d’envoi imminent pour l’US Kercob-Bastide-Peyrat XV, dont le retour sur la pelouse est annoncé, dans le cadre de la Coupe des Pyrénées.

Les guichetiers de l’USK seront les invités d’honneur à Quint-Fonsegrives (Martine Sicre, Pierrot Fonta, Lucien Baillat, Colette Gracia, Jean-Marie Courdil, Photo archives Mars 2006).

Après trois semaines de récupération agrémentées d’une rencontre amicale avec les voisins de Mirepoix (19-19), les rugbymen chalabrois repartent en campagne ce dimanche 9 avril. A l’affiche, une rencontre à quitte ou double comptant pour les quarts de finale du championnat de 3e série Midi-Pyrénées, face aux Tarnais de Cagnac-les-Mines, leaders de la poule A. Le coup d’envoi de la rencontre sera donné à 15 h, sur le stade de Quint-Fonsegrives, dans la proche banlieue de Balma où les supporters « bleu et blanc » sont attendus nombreux. Troisième de poule, le quinze chalabrois devra relever un nouveau challenge de taille face à une équipe dotée d’un pack très solide, vainqueur dimanche dernier de Finhan, leader de la poule B (21-17). Cette rencontre qui devait déterminer le leader de 3e série toutes poules confondues, a été suivie avec intérêt par le staff de l’USK, qui a pu examiner au plus près, le jeu de Tarnais efficaces par le jeu de leurs avants.

La mêlée chalabroise est prévenue, le duel promet d’être serré, et il faut à présent espérer que les voltigeurs du Kercorb puissent bondir hors de leurs starting-blocks afin de faire la différence. Les deux entraînements effectués cette semaine à Lolo-Mazon sous la direction du trio Garros-Saint Martin-Carbonneau ont permis de remobiliser un groupe quasi au complet, qui sera toutefois privé de Fabrice Lagarde, victime d’une déchirure à la cuisse. Supporters, dirigeants, « Las Roumegaïres », toutes et tous seront présents à Quint-Fonsegrives, pour encourager l’US Kercorb XV.

(Ndlr : L’USK XV avait remporté son duel face à Cagnac-les-Mines sur le score de 24 à 17, avec trois essais signés Jean-François Toustou, Thierry Cnocquart et Pascal Ilhat, une transformation d’Olivier Saint-Martin, deux transformations et une pénalité d’Eric Sanchez).

L’article mis en ligne aujourd’hui avait été publié dans l’Indépendant, édition du jeudi 23 mars 2006 .

Eliot Floch et Lucas Martinez ont réussi leur entrée dans la compétition (Photo archives, Mars 2006).

Le Tennis Club du Chalabrais, emmené par le président Roland Fourcassa, était de retour sur les courts le dimanche 19 mars, à l’occasion d’une nouvelle journée de championnat. En raison de fortes pluies, les seniors Messieurs engagés en 2e série ont différé leur déplacement vers Carcassonne où ils devaient rencontrer leurs homologues de l’Acacia. Dans le même temps, l’équipe Dames accueillait sur les courts du lac, les raquettes du Lauragais (Bram). Un duel que les Chalabroises ont dominé de bout en bout, ne laissant aucun jeu à leurs adversaires, pour une victoire finale sur le score de 5 à 0. L’équipe du TCC était composée de Fanny Birba, Sandrine Denjean, Sophie Pianzola et Marjorie Sanchez.      

Après les seniors, il revenait aux jeunes raquettes du Kercorb d’entrer en lice à l’occasion du premier tour de la Coupe de Printemps, réservée aux jeunes pousses passionnées par la petite balle jaune.

A l’affiche, une rencontre opposant le TC du Chalabrais au TC du Limouxin, pour un premier tour que les jeunes sportifs concluront avec la nuit. Lucas Martinez perdra le premier match face à Louis Calmet (5-7, 2-6), avant que son partenaire et ami Eliot Floch ne remette les deux équipes à égalité, grâce à une victoire face à Maxime Garrouste (7-6, 5-7, 6-2). Le double sera décisif, remporté en trois sets par Eliot et Lucas, face à Louis et Maxime (7-6, 5-7, 6-0). Et un score final de 2 à 1 pour le duo chalabrois, qui réalise une excellente entrée en matière malgré un stress perceptible, première compétition 2006 oblige.

L’article mis en ligne aujourd’hui, avait été publié dans l’Indépendant, édition du 25 mars 1996.

Badaluc avait réussi à se poser en douceur (Photos archives, Mars 1996).

Triste fin pour triste sire, c’était le dimanche 17 mars à la tombée du jour. Le prince des airs, le roi de la samba aérienne, le toréador des cumulo-nimbus, a lamentablement piqué du nez à la verticale de la place Charles Amouroux. La veille pourtant, Badaluc XXVIII avait réussi malgré un ciel très bas à se poser sur le tarmac du cours d’Aguesseau, devant les enfants émerveillés et admiratifs de l’école Louis-Pergaud. Après l’aubade offerte par les musiciens de l’OPVC et l’ensemble vocal de la chorale Eissalabra, après la dégustation très appréciée du vin chaud concocté à la perfection par l’ami Gilbert, la liesse pouvait s’emparer des rues chalabroises. Une multitude de masques allait parader ainsi autour de notre aviateur et de son superbe aéroplane jusqu’au bout de la nuit.

Belle prestation de la chorale Eissalabra.

Hélas, le dimanche sera fatal à notre héros, pris sous un tir croisé d’accusations et sommairement jugé par un tribunal de bric et de broc. Badaluc le 28e de la lignée allait périr dans les flammes et les reflets de l’immense brasier laissaient deviner de grosses larmes sur les joues de carnavaliers tristes et épuisés par deux jours de folles réjouissances. Un grand merci à toute l’équipe, à Anne-Marie, Sophie, Thierry, Yvon, Bernard, Jean-José, Frédéric, Jean, à tous ceux qui ont œuvré pour mettre sur pied une fin de semaine entièrement consacrée à la magie de la fête et du déguisement. Badaluc XXVIII n’est plus, vive Badaluc XXIX.

L’article mis en ligne aujourd’hui, avait été publié dans l’Indépendant, édition du dimanche 24 mars 1996.

Le quartier de Bon-Accueil a connu dans la nuit de mardi à mercredi, une animation inhabituelle avec l’arrivée d’une trentaine de pompiers bénévoles, encadrés par une équipe de professionnels issus du corps des marins-pompiers de Marseille. L’impressionnante quantité de matériel déployé autour de la ferme de Bon-Accueil, visait à un exercice de sauvetage-déblaiement, effectué dans des conditions particulièrement difficiles, de nuit et sous une pluie battante. Le repérage des lieux et l’évaluation des dégâts provoqués par un tremblement de terre (simulé), a entretenu pendant près de trois heures, plusieurs équipes qui se sont efforcées de porter secours aux victimes du séisme. Découpe de planchers, évacuation des blessés par le biais d’une complexe mais efficace combinaison de cordages, rien ne manquait afin de mettre en situation les futurs spécialistes (photos archives, Mars 1996).