Agrégé d'histoire, Georges-Patrick Gleize se partage entre l'Ariège dont il est originaire, et la Corrèze où il a des attaches familiales.

La rentrée littéraire est là et Georges-Patrick Gleize, écrivain ariégeois, propose en ce mois de septembre 2024, un 23e roman au parfum de tragédie de notre Histoire. En Corrèze après la guerre, un dilemme entre vengeance et pardon.

En juin 1964, sur le bateau qui ramène vers Marseille la dernière poignée de soldats français et de colons d'Algérie, Roger Lachaud, un capitaine du Train, sympathise avec Claire de Puymagnac, veuve d'origine corrézienne comme lui. Lachaud ne lui cache pas qu'il revient au pays avec l'idée de se venger de ceux qui lui ont pris les trois femmes de sa vie : sa mère, sa soeur et son premier amour, connu dans la Résistance.

Claire, qui a quitté la France alors qu'elle était enfant, découvre que la route de Lachaud mène à un village sur le plateau de Millevaches, tout proche du château familial des Puymagnac. De près ou de loin, les Puymagnac ont-ils été mêlés aux malheurs de Lachaud ?

Georges-Patrick Gleize revient sur les terres corréziennes qu'il affectionne tant, pour conter une histoire d'amour émouvante entre deux êtres contraints de se reconstruire sur les ruines laissées par les déchirures de l'Histoire.

« Comme une odeur de gentiane », édité chez Calmann-Lévy sera en librairie le mercredi 11 septembre, et Georges-Patrick Gleize viendra présenter et dédicacer son dernier ouvrage à la librairie des Couverts à Mirepoix, le lundi 16 septembre. Il sera également en signature le vendredi 18 octobre à Lavelanet, à la librairie les Tisseurs de mots. 

En ce même mois d'octobre, le vendredi 11, Georges-Patrick Gleize publiera aussi un opus consacré aux « Occitans, oubliés de l'Histoire » (éditions le Papillon Rouge).

Les célébrations du 80e anniversaire de la Libération ont permis d'évoquer le souvenir de toutes celles et de tous ceux qui auront apporté leur contribution pour le retour à la Liberté. Avec le Débarquement du 6 juin 1944 sur les plages de Normandie, ont également été évoqués les événements qui s'étaient déroulés dans les rues de Paris au mois d'août 1944.

Merci à Serge Fournié pour le rappel du documentaire « Ils ont libéré Paris », et à Gilbert Huillet pour le lien vers le film qui retrace ces événements.  Les images permettent de retrouver Victor Baro, entré dans Paris au soir du 24 août avec une unité de la 2e DB du général Leclerc.

Août 1944, Juàn Rico et le half-track les Cosaques devant l'Hôtel de ville de Paris

© Capture d'écran, « Ils ont libéré Paris » (Serge de Sampigny, 2014)

Lien vers le documentaire :

https://www.youtube.com/watch?v=O4g0lQciIhU

L'article en ligne avait paru dans l'Indépendant, édition du vendredi 10 septembre 1999.

Nos quinzistes vont retrouver les bonnes sensations 

Photo archives, Juillet 1999

Dans la perspective du prochain coup d'envoi du championnat de 3e série Midi-Pyrénées, les troupes chères au président Julien Bonnéry accueilleront demain samedi 11 septembre, la solide formation de Couiza. Les représentants de la Haute-Vallée entraînés par Alain Maurin et Régis Raynaud se présenteront sur la pelouse du stade Lolo-Mazon pour une rencontre amicale à 17 h 30.

Avant d'en découdre avec leurs futurs adversaires de poule, les Chalabrois auront samedi l'opportunité de faire le point face à une équipe de valeur, qui évoluera cette année en poule de brassage de 1ère et 2e série du Languedoc-Roussillon. Forte d'un effectif renforcé par l'arrivée de jeunes éléments, l'USK évoluera samedi devant son public et le coach Roger Daynié devrait entrevoir à l'issue de la partie, le profil de son équipe type. Les supporters chalabrois sont invités à venir nombreux encourager les deux équipes.

Le ciel du Gers a une fois encore souri à la fine gâchette sonnacoise

Les canons ont chauffé en ce week-end de l'Assomption du côté de Cazaubon Barbotan (Gers), où se déroulait le championnat de France de ball-trap. Dans la configuration spécifique du stand du ball-trap club de Cazaubon Barbotan les Thermes, calé au sein même de l'hippodrome de la ville, le canon de notre citoyen de Sonnac-sur-l’Hers a admirablement fait mouche. Avec 190 plateaux cassés sur 200 tirés, Roland s'adjuge le titre de champion de France en catégorie « Handisport debout », et bat dans le même temps son record de points lors d'un championnat de France.

Une fois encore, il devance de quelques points son poursuivant direct, le Palois Joël Sdrigotti. Deux fidèles de la compétition présents sur le pas de tir depuis plus d' une décennie, à la fois adversaires et amis, fédérés autour d’une même passion.

Avec un 13e titre national à son palmarès, Roland Fourcassa vise désormais une participation au Championnat d'Europe de la discipline, dont l'édition 2025 se déroulera en France. Roland et ses futurs concurrents sauront en décembre où et quand ils seront invités à épauler.

Les coaches, imperturbables sous la pluie