L'article mis en ligne aujourd'hui avait été publié dans l'Indépendant, édition du dimanche 16 octobre 1994.

Les poussins du FCC, saison 1994-1995 (De gauche à droite, Debout, Johan Kolodjwesky, Laure Payet, Renaud Dumay, Romuald Cot. Accroupis, Renaud Tignard, Claude Cnocquart, Fabrice Rosich, Fabien Conte, Maxime Sanchez). 

Ils ne s'en doutaient peut-être pas, mais les jeunes joueurs du Football Club Chalabrois ont eu samedi, le privilège de fouler les premiers la nouvelle pelouse du stade Lolo Mazon. C'était à l'occasion du match qui les opposait à leurs homologues du Limoux-Pieusse Football Club. Cette première n'a malheureusement pas été fêtée par une victoire (1-5), mais les impressions d'après-match concordent, pour témoigner de l'excellente tenue du gazon, ce dont il faut se féliciter. En conclusion, ce fut un agréable après-midi de football, pour un match ordinaire qui permettra à certains éléments de l'école de foot du Kercorb, de pouvoir dire dans quelques années : " J'y étais !  "

L'article mis en ligne aujourd'hui avait été publié dans l'Indépendant, édition du samedi 15 octobre 1994.

Le plaisir des yeux vaut-il le plaisir du palais ? (Photo archives, Octobre 1994).

Lorsqu'il n'a pas le nez dans le guidon, César continue à arpenter les bois, versant après versant, à la recherche de ce trésor tant convoité, automne après automne. Si le chef de file du peloton du C.C.C aime la nature, celle-ci le lui a bien rendu en ce samedi matin peu ordinaire, un grand panier de cèpes est venu récompenser les efforts de notre chercheur assidu et méticuleux.

Cela se confirme, les champignons sont au rendez-vous et cette douceur automnale devrait dissiper les craintes de certains "prospecteurs " gagnés par le découragement. A vos paniers ! 

Très serré, le match a basculé sur un coup de dé.

Dimanche 5 octobre, à l'occasion de la troisième journée de championnat de première division, le FCC I qui accueillait son homologue de l'US Salles-sur-l'Hers, s'est incliné sur le score de 0 à 1 (mi-temps 0-0). A l'heure du coup d'envoi sifflé par Georges Lacote, le onze du Kercorb emmené par son capitaine Romain Cantos, investissait le camp de l'U2SH, contraignant les visiteurs à procéder par contres. Une légère domination qui va rester stérile, tandis que les " orange et noir " se mettent peu à peu en place. La rencontre va s'équilibrer et en l'absence de véritable occasion de but de part et d'autre, la pause intervient sur un score nul.

La rencontre choisira son vainqueur à la 70e minute, lorsqu'une balle en profondeur piège une défense chalabroise qui va s'arrêter de jouer, persuadée d'une position hors-jeu de l'attaque visiteuse. Le deux contre un qui suit ne laisse aucune chance au gardien Alexandre Cassagnaud, qui s'incline sur une lourde frappe de Laurent Garrigues (0-1). Prochaine journée, dimanche 19 octobre à Saint-Hilaire, face à la Vallée du Lauquet.

En ouverture, les réservistes du FCC II également opposés aux Salhersiens, ont enlevé leur match sur le score de 5 à 2 (mi-temps 3-0). Avec le coup du chapeau pour Andy Mamet, et deux buts de François-Pierre Courrent et Lucas Martinez, les partenaires de Romain Peille se positionnent dans le groupe de tête du championnat de deuxième division. Avant un rendez-vous à Bram, samedi 18 octobre à 20 h.

En juin 1996, la DDE coupe les virages du Bac. Elle supprime et enterre en même temps les bornes "mythiques" de la D620. L'article ci-dessous avait été publié dans l'Indépendant, édition du dimanche 16 juin 1996.

Une façon originale d'additionner les kilomètres (Photo archives, Juin 1996).

Il était facile de les imaginer sorties de terre, tant leur présence sur le bas-côté de nos belles routes départementales était devenue familière à des générations d'automobilistes, certains même passaient sans les voir, elles faisaient partie intégrante du paysage. Appréciée par le randonneur pédestre trouvant là un siège de fortune, guettée du coin de l'oeil par le cyclotouriste en perdition dans les lacets du col du Bac, nos vieilles bornes kilométriques ont vécu. Déjà remplacées par des panneaux métalliques à l'esthétique contestable, leur sort est scellé. Elles sont condamnées à disparaître sous des tonnes de terre et cette pyramide blanche et jaune contribuera à assurer la stabilité d'un nouveau virage en voie de modification sur la route sinueuse de Saint-Benoît.