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  • C’était hier : Des écoliers les mains dans la farine !

    L’article mis en ligne avait été publié dans l’Indépendant, édition du mardi 14 novembre 1995.

    école louis-pergaud chalabre« Rien n’est plus beau que les mains d’une femme dans la farine » chante le poète de Toulouse. Dernièrement, ce sont les élèves de l’école Louis-Pergaud qui ont profité de l’incontestable savoir-faire de Maître Jean, pour s’adonner aux joies de la pâtisserie dans une ambiance délicieusement parfumée à la fleur d’oranger. Laissant les fourneaux encore chauds derrière eux, et accompagnés par l’équipe enseignante, les petits disciples de Saint-Honoré ont ensuite traversé la cour jusqu’à la maison de retraite, où ils ont partagé douceurs et sucreries avec leurs aînés. Après un premier contact plutôt timide, la curiosité naturelle des enfants a fait le reste, et petits et grands ont pleinement goûté à un après-midi familial et gourmand que chacun est prêt à renouveler.

    école louis-pergaud chalabre

    école louis-pergaud chalabre

    école louis-pergaud chalabre

  • 11 novembre 1918 : L’hommage à Ceux de 14

    2020 11 Novembre 005.JPGUne rose est venue fleurir les onze tombes du carré militaire.

    A l’image du 8 mai dernier et la célébration à huis clos de la victoire des Alliés sur l’Allemagne nazie, l’hommage envers les Poilus tombés lors de la Grande Guerre s’est traduit par une cérémonie des plus intimes. Après lecture d’un message de paix donné par Jean-Jacques Aulombard, maire, et l’évocation des jeunes Poilus par Gérard Canal, conseiller municipal, un dépôt de gerbe précédait une minute de silence. Instant de recueillement au pied de la stèle de Jean Magrou, à la mémoire des Chalabrois et de leurs frères d’armes « Morts pour la France ». Une croix surmontée du symbolique poppy (coquelicot), avait été déposée dimanche par une délégation de la communauté anglaise.

    Aux côtés de l’adjudant-chef Franck Dessimoulie, commandant la communauté de brigades de Chalabre et Belvèze-du-Razès, les élus se sont ensuite rendus au carré militaire, où chacune des onze tombes a été fleurie.

    Célébré dans sa plus simple expression, sans porte-drapeaux, sans sonneries, le 102e anniversaire de l’Armistice aura permis de rendre un hommage très particulier aux 64 enfants de Chalabre qui ne sont jamais revenus.

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  • C’était hier : Concours des villages fleuris : un deuxième prix mérité

    L’article mis en ligne avait été publié dans l’Indépendant, édition du lundi 13 novembre 2000.

    village fleuri

    Aux côtés des élus, Marcel Martinez a tenu à complimenter les Chalabroises et les Chalabrois (photos archives Novembre 2000).

    Tout dernièrement, la cité du Kercorb se voyait attribuer le 2e prix ex aequo du concours des villes et villages fleuris année 2000, dans la catégorie des communes de 1 000 à 1 500 habitants. A cette occasion, la salle du conseil municipal accueillait Jacques Montagné, maire et conseiller général, accompagné des membres du conseil municipal, réunis afin de remercier et féliciter publiquement les lauréats. Présent aux côtés de nos élus, Marcel Martinez, président du Comité départemental du tourisme a également complimenté les artisans de ce succès, au premier rang desquels figurent les employés de la commune ainsi que les administrés ayant oeuvré en faveur de l’esthétique des artères chalabroises.

    Des lauriers bienvenus et mérités pour les amoureux des fleurs, prolongement naturel et encourageant pour tous ceux qui vont certainement trouver l’hiver encore trop long. Le printemps, vite !

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  • Rivel : Antoinette Marzura n’est plus

    Antoinette Marzura 001.JPGLa chapelle Sainte-Cécile de Rivel réunissait mardi 10 novembre, une assemblée recueillie, venue rendre un dernier hommage à Antoinette Marzura, née Lucchèse, décédée samedi 7 novembre à l’âge de 85 ans. Née en juin 1935 et originaire de Mansuè, province de Trévise, elle quitte l’Italie pour la France dans les années 1950, et s’installe avec une partie de sa famille dans le département de la Creuse. Un nouveau départ l’emmènera sur le territoire de Mirepoix en Ariège, où elle fera la connaissance de Pierre Marzura. Tous deux fondent un foyer en octobre 1958, avant de venir s’établir à la ferme de Campcaïrole, sur la commune de Sainte-Colombe-sur-l’Hers.

    Cinq enfants viendront agrandir le cercle familial, dans le même temps, Antoinette apporte sa contribution aux travaux du domaine aux côtés de Pierre. Vers le milieu des années 1960, ils font l’acquisition d’une ancienne usine de peignes sise à l'entrée de Rivel, qu’ils transforment en maison d’habitation et où ils se fixent en 1972.

    Le passe-temps favori, dans un emploi du temps bien fourni, était le jeu de loto, auquel Antoinette s'adonnait plusieurs fois par semaine. Confronté à des problèmes de santé, le couple devra par la suite s’éloigner de son cher cadre de vie, et en 2016, Antoinette intégrera l'Ehpad de Fronton (Haute-Garonne).

    Au terme de la bénédiction, Antoinette Marzura a été inhumée à Sainte-Colombe-sur-l’Hers où elle repose aux côtés de Pierre son mari, disparu en janvier 2018. Sincères condoléances à ses enfants, à ses petits-enfants, à toutes les personnes que ce deuil afflige.