Florent Lucon, Vincent Bousquet et Jean-Jacques Aulombard ont réactivé les connexions.
La salle informatique du collège Antoine-Pons vient d’être dotée de quinze nouveaux ordinateurs à écrans plats, ainsi que d’un vidéo-projecteur. Un renouvellement très apprécié par les élèves et leurs enseignants, puisque l’ancien matériel datait de 2002, rendant impossible toute connexion ou travail de qualité en réseau ou sur internet.
A l'initiative de Vincent Bousquet, principal du collège, le service informatique du conseil général a bien pris la mesure du handicap que cela pouvait représenter, et a donc consenti à une dotation exceptionnelle (hors programmation pluriannuelle). Les enseignants et les élèves sont donc ravis de pouvoir utiliser à nouveau cet outil indispensable à toute progression pédagogique. Il faut également souligner le travail de qualité effectué par le référent TICE de l’établissement, Florent Lucon, professeur de technologie, qui prend en charge le déploiement et l’entretien du parc informatique de l'établissement.
Jean-Jacques Aulombard, maire et conseiller général, précise qu’un rapport parlementaire de Jean-Michel Fourgous « Apprendre autrement à l’ère du numérique », met en lumière le rôle majeur de ces technologies pour l’éducation des jeunes générations. Il rappelle « la priorité pour le collège de Chalabre, de dispenser un enseignement de qualité, adapté à son époque. Alors que la réforme territoriale est au cœur du débat politique, il est bon de rappeler que le développement de notre territoire passe d’abord par la formation des futures générations : chaque denier dépensé pour l’enseignement et la pédagogie, est un investissement pour l’avenir. Réussir l’école numérique est un enjeu majeur pour notre système éducatif, et une priorité pour notre société ».
Jean-Jacques Aulombard et Vincent Bousquet ont invité les élèves à rester vigilants.
Livret en main, Jean-Jacques Aulombard et Vincent Bousquet ont rappelé aux élèves l'importance de cette action, qui permet de transmettre et de ne pas oublier ces moments de l'Histoire. Avant de les inviter à faire preuve de tolérance, et à résister à toute forme de totalitarisme.
Fantaisie et application, la recette d'une prestation réussie.

Jamais un tribunal n'était allé aussi loin
Avec la complicité de Richard, Sophie, Francis et Patrick, solistes d'une fanfare macrocosmique, une myriade de princesses, chevaliers, clowns, chasseurs, sévillanes, pirates, super-bat-spider men, et spationautes bien sûr, ont accompagné leur idole avec le faste qui sied à l'événement. Confiée aux contrôleurs de l'équipe éducative emmenée par Isabelle Boulbet, responsable du vol, la cavalcade sur les boulevards de la cité obtiendra un beau succès. Auparavant et sous la halle, les enfants avaient enchaîné les danses dans une atmosphère festive, en l'honneur de leur illustre copain, unique passager du vol 248.
Mais au détour de la rue des Pénitents Blancs, tout va se compliquer pour le candidat à l'exploration sidérale. Lequel sera en effet accueilli sur le cosmodrome chalabrois, par un tribunal de bric et de broc, exclusivement féminin, excusez du peu. La sentence tombera sur la tête de petits carnavaliers ainsi privés d'une mise à feu toujours spectaculaire, tandis que Badaluquet faisait une croix sur sa croisière céleste. La déception lisible sur les visages était énorme, chacun se demandant si deux semaines de vacances allaient suffire à l'atténuer.